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Israël : infos SociétéQu'est-ce un antisioniste ? (Victor Perez)Combattre le Sionisme est devenu, pour certains de plus en plus nombreux, une raison de vivre. Tout antisioniste se revendiquant publiquement de ce combat, se drapera des vertus des droits de l’homme pour se justifier. Il vous exposera, au fil du temps, qu’il n’a rien contre les Juifs, mais qu’il est contre la politique du gouvernement israélien qui perpétue «l’occupation des territoires palestiniens», «sa colonisation» ainsi que la «répression des autochtones»
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Dernière mise à jour, il y a 39 minutes
De quelle terre veux-tu que je parle quand je prend en exemple "l´ideologie" des palos comme equivalent au "sionisme" puisque ce dernier se definit comme un mouvement de liberation, et que le sujet est de definir le sionisme, qui pour certains n´est qu´une revendication des temps modernes (comme celle des palos) ni plus ni moins?!
Leon, je vais te dire, pour l’Organisation de libération de la Palestine c´est l´OLP, pas le palestinisme.
Chalom.
Une avocate Égyptienne, sur une chaîne de télévision nationale, appelle les musulmans à harceler sexuellement les femmes israéliennes. “Si des femmes arabes sont des proies légitimes pour les hommes arabes, il n’y a rien de mal à ce que des femmes israéliennes le soient également.”
L’interviewer : L’avocate égyptienne Nagla Al-Imam a suggéré que de jeunes hommes arabes harcèlent sexuellement des femmes israéliennes, où qu’elles se trouvent et quelle que soit la méthode employée, en guise de nouveau moyen de résistance contre Israël.
[…]
L’interviewer : Nous recevons l’avocate Nagla Al-Imam, du Caire. Bienvenue. Quel est le but de votre proposition ?
Nagla Al-Imam : C’est une forme de résistance. De mon point de vue, elles [les Israéliennes] sont des proies légitimes pour tous les Arabes, et il n’y a rien de mal à…
L’interviewer : Sur quelles bases ?
Nagla Al-Imam : Tout d’abord, ils [les Israéliens] « violent » nos droits, et ils « violent » la terre. Peu de choses sont aussi graves que le viol de la terre. De mon point de vue, [l’action proposée] est une forme de résistance.
L’interviewer : En tant qu’avocate, ne pensez-vous pas que cela peut valoir à des jeunes Arabes une sanction pour avoir enfreint les lois contre les agressions sexuelles ?
Nagla Al-Imam : La plupart des pays arabes… à l’exception de trois ou quatre qui, de toute façon, me semble-t-il, ne permettent pas l’entrée sur leur sol de femmes israéliennes, la plupart des pays arabes n’ont pas de lois contre les agressions sexuelles. C’est pourquoi, si [des femmes arabes] sont des proies légitimes pour les hommes arabes, il n’y a rien de mal à ce que des femmes israéliennes le soient également.
L’interviewer : Viol inclus ?
Nagla Al-Imam : Non. L’agression sexuelle… Selon moi, les [femmes israéliennes] n’ont aucun droit à se plaindre. Les combattants de la résistance ne prendraient pas l’initiative d’un tel acte, parce que leurs valeurs morales sont plus nobles que cela. Toutefois, si cela leur arrive, les [femmes israéliennes] ne sont pas habilitées à émettre quelque exigence que ce soit, parce que cela nous mettrait à égalité - quittez le pays si vous ne voulez pas qu’on vous viole. Les deux situations s’équivalent.
[…]
Je refuse que des jeunes Arabes soient soumis à un interrogatoire [de police]. Je veux que ces filles sionistes qui ont la citoyenneté israélienne soient expulsées de nos pays arabes. C’est une forme de résistance, et une manière de rejeter leur présence.
Palestinisme et palestiniens: histoire d’une manipulation
J’ai été frappé, lorsque, allant sur des sites français pour m’informer de ce qui se passe au Proche-Orient, il m’arrive de lire les commentaires que laissent des internautes manifestement pro-palestiniens, de la méconnaissance profonde de l’Histoire dont ils témoignent. Cela se rapproche plus d’une mythologie ou des contes de bonne femme que de la vérité historique. Politiquement cela s’appelle de la propagande éhontée, de la veine de celle du Dr. Goebbels qui disait : « plus c’est gros, plus ça passe. ». Historiquement cela s’appelle une manipulation et c’est de ce point de vue que je voudrais me placer.
Si on lit ces interventions, on a l’impression que, de toute éternité, en tout cas depuis plusieurs millénaires, juifs et arabes vivaient en paix sur cette terre de Palestine sous la sage administration des palestiniens dont Jérusalem est la capitale éternelle. C’est après la deuxième guerre mondiale que le vilain sionisme, colonialiste, impérialiste, (voire nazi !) est venu troubler cette belle harmonie. Certes, il ya eu la Shoah, reconnaissent certains propagandistes palestiniens, (encore que d’autres leaders islamistes comme le Président iranien vont jusqu’à la nier), mais ce n’est pas notre faute.
On retrouve bien sûr dans cette argumentation l’effet de la propagande palestinienne sur des cerveaux européens bien enclins à la croire sur parole. La difficulté, et c’est ce qui m’a poussé à écrire ce texte, c’est qu’elle n’est qu’un amoncellement de contre-vérités historiques. On ne fait pas la paix avec un mensonge ou plus exactement maintenir une fiction historique comme base de revendication n’est jamais le signe d’un désir sincère de trouver un compromis.
1) D’abord, l’imposture du mot : Palestine.
C’est cette imposture qui m’a poussé par réaction, entre autres raisons, à écrire mon ouvrage « le 3ème Temple – Retour à Massada» dans le contexte de sa véritable réalité historique.
Pour cela il faut en revenir à l’apparition de ce mot sur les cartes au deuxième siècle de l’ère chrétienne.
Au début du premier siècle, après la mort d’Hérode, l’ancien royaume de David, conquis par le général Pompée en -67 est passé directement sous l’administration des procurateurs romains, nous dirions aujourd’hui sous administration coloniale.
En 44, Cuspius Fadus, est nommé préfet en Judée Samarie pour succéder à Ponce Pilate de sinistre mémoire. A sa mort en 62, un nouveau préfet, Albinus, est désigné pour lui succéder. En 65, Gessius Florus succède
Le Sanhédrin, l’organe religieux suprême de la religion juive, avec le grand prêtre à sa tête, jouait la carte de l’occupant romain, estimant, non sans raison, qu’une révolte armée serait fatale à l’existence de l’identité religieuse juive. Il préservait aussi de la sorte son pouvoir sur le peuple juif et les richesses provenant des offrandes qu’il recevait.
Mais en 65, le grand sacrificateur Ananias est assassiné par les Zélotes, assassinat commandité par Menahem ben Yaïr, le chef des Zélotes, ce qui creusa un peu plus profondément le fossé entre les différentes factions juives.
La première guerre juive avait vraiment commencé en 66, après les exactions du nouveau procurateur Gessius Florus, corrompu jusqu’à la moelle, qui avaient abouti à un soulèvement généralisé, à la fois contre l’occupant romain et contre le Sanhédrin, tribunal suprême de la religion juive, gestionnaire du Temple, accusé de pactiser avec l’ennemi.
Cette révolte avait été inspirée par les Esséniens dont, selon toute probabilité, le personnage historique du Christ était issu. On leur devait certainement l’Apocalypse, dite de St-Jean, qui était un brûlot messianique contre la « bête » romaine.
C’est leur branche « dure », les Zélotes, avec son chef Menahem ben Yaïr, qui avaient soulevé le peuple. Menahem se proclamait descendant de David et pré
Entre temps, Vespasien, alors général de l’armée d’orient, avait débarqué à Antioche en Syrie à la tête de 3 légions et de leurs troupes auxiliaires. Il devait reconquérir une à une toutes les villes de Galilée grâce à un matériel de siège efficace, pendant qu’à Jérusalem les luttes intestines occupaient toute l’énergie des différentes factions et de leurs chefs.
L'armée romaine monta ensuite le siège de Jérusalem. L'assaut final fut entravé à deux reprises par des révoltes parmi les troupes romaines, dues à la succession de Néron et à l'accession au trône de Vespasien, sans que les insurgés juifs minés par leurs divisions puissent mettre à profit ces délais inespérés. Le nouvel empereur envoya son fils Titus parachever la défaite des juifs. Titus entama un nouveau siège en avril 70 et réussit à prendre la ville qui fut pillée et incendiée. Le second Temple fut détruit (accidentellement, dit Flavius Josèphe). La grande Menora, symbole de l’Alliance, fut emmenée comme trophée à Rome. La reine Béré
La 2ème guerre juive commença 59 ans plus tard, en 132. La révolte éclata lorsque l’empereur Hadrien lança une vaste campagne d’hellénisation de la population juive et voulut interdire la circoncision. Il avait décidé d’introduire dans tout l’Empire le culte de son amant, Antinoüs, divinisé, mort en 130, ce que les Juifs avaient refusé, non sans quelques considérants peu amènes sur l’origine du nouveau culte. Par rétorsion, il voulut éradiquer la religion juive qui pourtant était une religion reconnue par l‘Empire : ‘religio licita’. Le légat, Tineius Rufus, pour faire du zèle, décida de faire de Jérusalem une ville à la gloire de l’empereur qu’il voulait appeler Colonia Aelia Capitolina. Colonia, car c'était une colonie romaine. Aelia, en l'honneur de l'empereur Hadrien dont le prénom était Aelius. Et Capitolina, parce que la cité avait été dédiée à Jupiter Capitolin et qu’il voulait construire un temple de Zeus sur les ruines du deuxième Temple.
Bar Kosiba avait organisé une puissante guérilla armée et réussi à chasser les Romains de Jérusalem et d'Israël. Les succès de Bar Kosiba avaient encouragé beaucoup de gens du peuple et des religieux - et parmi eux Rabbi Akiva - à croire qu'il était le Messie. On l'avait surnommé " Bar-Korba ", ou " fils de l'étoile ", allusion à un verset dans le livre des Nombres: " Une étoile viendra de Jacob ", cette étoile étant censée désigner le Messie.
Cette fois, la révolte avait donc un leader, le « fils de l’étoile » qui se déclarait, comme Menahem ben Yaïr, 60 ans plus tôt, prétendant au trône du royaume d’Israël. Il était soutenu par le clergé et réussit à faire l’union autour de
Rome ne pouvait pas, à son tour, subir un tel revers militaire sans réagir à la situation. Les fondements politiques et économiques de l’Empire étaient remis en cause et la révolte juive pouvait être contagieuse chez tous les peuples assujettis.
Mais les Juifs, unis cette fois, ne furent pas faciles à vaincre. Les Romains perdirent une légion entière dans une bataille, la 22ème légion romaine qui était tombée dans une embuscade et avait été massacrée.
Hadrien envoya de plus en plus de troupes en Israël pour combattre les forces de Bar-Korba, au point de consacrer douze légions et leurs troupes auxiliaires à cette guerre, la moitié des forces armées dont disposaient l’Empire, plus de 240.000 hommes. Cela représentait près de quatre fois ce que les Romains avaient mobilisé pour écraser la " grande révolte ", 60 ans plus tôt.
C'est le meilleur général romain, Julius Séverus, qui commandait cette armée énorme. Mais malgré la puissance dont il disposait, il avait peur d'affronter les Juifs dans une bataille rangée. Ce fait est à lui seul très révélateur de leur état d’esprit, parce que les Romains étaient passés maîtres dans ce genre de combat. Mais ils craignaient les Juifs, parce qu'ils pensaient qu'ils étaient prêts à mourir po