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VidéoCérémonie : les soldats reçoivent leur Bible + Fusil147 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 15 minutes
BE-EZRAT-HACHEM SHMUEL ! KEN HEHYE RATSON AMEN VE-AMEN !
ps shmuel, essaie plutot de CONTINUER D'ECRIRE !
sylviane, ne te fache pas car nous sommes a meme de nous poser des questions sur " certaines " personnes qui disent VOULOIR COMPRENDRE mais en meme temps en profitent pour nous balancer la propagande "pacifico-gauchiste quand ce n'est pas carrement la propagande de ceux qui revent de nous detruire bien que les premiers ont la meme esperance ". ils commencent en general avec des mots doux et mielleux contenant beaucoup de dards empoisonnes " nous nous sommes laisses avoir bien souvent mais, malgre tout, nous finissons par devoiler leurs veritables intentions.
je t'ai ecrit que seul un yehudi peut comprendre nos messages sans avoir a developper des pages et des pages de C/C.
tu ne m'as toujours pas repondu sylviane, " l'es-tu ou ne l'es-tu pas ? " je ne parle pas de salades vertes bien sur pourquoi cette question ? si tu pretes attention, les autres du forum comprennent ce que j'ecris, et je comprends leurs reponses, il y a aussi sonia, qui comme elle te le dira certainement elle-meme, est non-juive et allemande ! qu'elle est cette difference entre toi et elle ? elle saisit immediatement ce dont nous discutons et apporte aussi des complements d'informations et de sentiments qui enrichissent le dialogue, alors que toi ? tu ne reponds a nos messages qu'a travers d'autres questions identiques qui nous donnent l'impression de se rabacher. alors, l'es-tu ? oui ou non ?
Une grande mitsva: Un silence qui en dit long…
Par Rav Mordéhaï Bendrihem
Toutes les vérités sont bonnes à dire ? Pas forcément… Il existe une mistva de se taire quand on sait qu’on ne sera pas pris en considération. Une histoire ‘hassidique véridique va nous le prouver, avec humour et émotion !
Lorsque D.ieu demanda à Moché rabbénou d’aller voir Pharaon pour obtenir qu’il libère les Bné-Israël, Moché lui dit : « Quand j’ai dit aux Bné-Israël que nous allions sortir d’Égypte, ils ne m’ont pas écouté. Comment Pharaon, le roi d’Égypte, pourrait-il m’entendre ? »
Dans le Talmud (traité Yébamoth, p. 65b), il est rapporté une mitsva étonnante : de la même manière que nous avons le devoir de dire une chose qui va être pris en considération, il est interdit de dire une chose qui ne sera pas entendue.
A ce propos une petite histoire. Le Rav Israël de Vijnitz avait l’habitude de faire quelques pas tous les soirs avec son assistant (gabbaï) pendant une demi-heure. Un soir, leur promenade les mène jusqu’à la maison du directeur de la banque de la ville, qui n’était pas particulièrement proche du Rabbi.
► Mystère, mystère…
Le Rabbi frappe à la porte, un domestique ouvre et le fait entrer dans le vestibule, toujours accompagné de son gabbaï, extrêmement surpris de cette situation, dans la mesure où il ne comprend pas très bien de qu’ils viennent faire dans la maison du banquier.
Ce dernier, qui est un notable, propose un siège au Rabbi sans comprendre non plus quel bon vent l’amène, mais désirant faire honneur à cet invité de marque.
Et là, contre toute attente, le Rabbi, avec un visage sympathique et souriant, n’entame pas la conversation. C’est le silence total. Gênés, le banquier et le Gabbaï se regardent, cherchant à comprendre le motif de la visite du Rabbi. Finalement, le banquier fait quelques allusions pour le découvrir. Le gabbaï, comprenant ces allusions, déclare même :
- Je suis aussi étonné que vous de cette visite, dont je ne connais pas la raison…
Le Rabbi reste quelques minutes assis, silencieux. Puis il se lève et s’apprête à partir. Notre hôte, toujours aussi médusé, l’accompagne quelques pas à l’extérieur de la maison, et lui dit :
- Kevod harav, avec tout le respect que je vous fois, je ne peux pas m’empêcher de vous questionner. Quelle et la raison de votre venue ?
- Je suis venu pur accomplir une mitsva, répondit le Rav.
- Laquelle ?
- Il y a une mitsva qui consiste à dire quelque chose qui sera pris en compte. Et il y a une autre qui nous ordonne de se taire quand on sait qu’on ne sera pas entendu. Aujourd’hui, j’ai quelque chose à te dire, et je sais que ce ne sera pas pris en compte. C’est la raison pour laquelle je suis venu faire cette mitsva de me taire.
- Pourquoi dites-vous cela ? Peut-être vais-je prendre en considération ce que vos voulez me dire !
- Non, je sais bien que vous ne pourrez pas, c’est impossible.
Et plus le Rabbi refusait de parler, plus le banquier insistait. Finalement, le rabbi accepta.
- Il y a une femme qui est veuve, pauvre, très pauvre, et qui doit énormément d’argent à la banque pour le prêt fait sur sa maison, qui contient une clause d’hypothèque. Dans quelques jours seulement, la banque va vendre aux enchères sa maison, et elle va devoir partir de chez elle, pour se retrouver dans la rue. Je voulais vous demander, en tant que directeur de la banque, de renoncer à la dette de cette veuve. Mais je me suis dit que jamais vous en pourrez considérer cette demande. C’est pour cela que je suis venu pour au moins accomplir cette mitsva de me taire…
Peut-être encore plus surpris par la réponse du Rabbi que par son silence, le banquier répondit :
- Cette veuve ne me doit pas de l’argent personnellement. Elle a une dette envers la banque. Comment pourrais-je intervenir ?
- C’est exactement ce que je vous disais, répondit le Rav. Ce que j’avais à vous dire ne peut pas être pris en compte.
Le Rabbi mit fin à la conversation et repartit chez lui.
► Il l’a fait !
Seulement, cette histoire tournait dans la tête de notre banquier, qui ne trouvait plus le sommeil. Finalement, il se dit en lui-même : « Je suis capable d’entendre ce qui m’a été dit. » C’est ainsi qu’il décida de prendre sur lui la dette de la veuve, et de rembourser lui-même la banque. Ainsi, il permettait à cette pauvre de veuve de rester chez elle, lui évitant la mendicité.
De ce récit ‘hassidique véridique, nous apprenons que cette mitsva de se taire est valable dans toute situation où l’on perçoit que l’on ne sera pas entendu. Et quand on ne parle pas, et que notre interlocuteur sent un mystère, cela peut déclencher la volonté, présente en chaque Juif, de mieux faire, de comprendre, d’agir pour le Bien. Le silence est d’or. Ce silence permet de faire entendre certaines vérités. Finalement, l’interlocuteur a envie de savoir, et il est donc plus disposé à entendre.
Le Rabbi, est allé encore plus loin dans ce sens : dans la mesure où il n’y a pas de mitsva de rester chez soi, et de ne rien dire, il a cherché à réellement appliquer le commandement divin en se déplaçant dans un endroit où il savait qu’il ne serait pas entendu, et en se taisant !
De notre côté, nous devons être capable d’une remise en question, comme celle dont fut capable ce banquier hors du commun, et savoir écouter l’autre.
C’est une idée très importante qui permet de ne jamais se scléroser dans ses convictions ou ses certitudes. Et le Juif est suffisamment dynamique pour vouloir toujours entendre ce que l’on ne veut pas lui dire… Profitons-en !
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je vais finir par croire mes amis sylviane, tu es comique de nature ou tu te forces ?
lis le shihour du jour, et tu comprendras que ce soit la derniere reponse que je t'adresse.
cette etude du jour, me demontre combien est sage l'enseignement de nos mekoubalim, encore une fois, lorsque l'on demande de l'AIDE a HACHEM, IL nous l'envoie immediatement !
je n'aime pas rentrer dans le jeu du "dialogue de sourds" en plus si tu prends la peine de t'instruire comme tu le pretendais au debut de tes interventions, tu comprendras que, je suive ce que l'enseignement de mes rabbins me disent de faire ne te fais pas plus naive que tu ne l'es.
tout d'abord, je n'ai jamais DIT que je me sentais dans l'ERREUR, mauvaise interpretation de ta part ? j'en doute,
nos soldats executent les ordres de nos dirigeants MAIS s'ils sont contraire a leurs idees, peuvent s'y soustraire ! cet exemple te suffira, enfin je l'espere.....
GUSH KATIF mon fils devait participer a l'EXPULSION DE NOTRE PEUPLE ! j'ai dit a mon fils, : " je ne suis pas venue en israel pour que mes enfants ACCEPTENT une telle ignominie... ! " il etait bien sur avec moi comme beaucoup de ses amis qui avaient recu cet ordre, il me repondit : " ils vont me mettre ba-kelei " ! je lui repondis :
(suite)
il dit a son katsinn qu'il refusait l'ORDRE DONNE et qu'il etait pret a entrer au keilei, il lui dit " je suis GOLANI pour proteger ma famille et tout le peuple d'ISRAEL ce n'est pas pour sortir par la force les yehudim de CHEZ EUX ! je suis CROYANT ET HACHEM N'A JAMAIS EXIGE UNE TELLE HORREUR DE LA PAR DE SES ENFANTS ! je n'irai pas contre la VOLONTE DE HACHEM QUI NOUS A RAMENE SUR NOTRE TERRE ! CETTE TERRE OU JE SUIS NE ".
et oui, mon petit est totsereth HA-HARETZ en plus ! son katsinn lui repondit que il prenait son refus en compte et qu'en plus l'armee avait recu ordre de SHARON de ne pas user de la force pour envoyer les soldats effectuer ce que lui-meme trouvait horrible..... mon fils est reste a son poste, sans passer par la case prison !!!
ca te suffit comme explication ? je l'espere car si tu as bien lu mon message, dorenavant, " JE GARDERAI LE SILENCE " en ce qui te concerne. sans rancune aucune.
Envoyé par Moshe - le Jeudi 22 Janvier 2009 à 17:11
nous avions un moshe qui aurait pu t'expliquer mais il a ete censure... au benefice de sympathisants PRO-ARABES ! mais avant, il a donne son explication a elie, moi j'ai pris une option plus simpliste mais demande a elie il se fera un plaisir de t'expliquer
Charly attention de ne pas tomber de l'échelle
Envoyé par Sylviane - le Jeudi 22 Janvier 2009 à 16:06
oh que c'est bas la sylviane, ce n'est pas beau du tout, je n'aurai pas cru que tu puisses menacer de la sorte, la delation a present ? mais tu sais tres bien a quoi tu t'exposes en participant a des forums, si tu vas sur les sites islamistes defendre israel tu liras une autre prose bien plus provocante, insultante et diffammante. nous avons eu notre lot sur ce site, ils ont tout fait pour faire fermer notre site juif.org ! est-ce la ton intention aussi ?