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"Miss Burqa" met le souk au tribunal

Face au refus de cette femme de soulever sa burka pendant son témoignage, le président du tribunal, Javier Gomez Bermudez, lui a demandé de quitter la salle, après lui avoir expliqué que devant les tribunaux espagnols, il est obligatoire de s'exprimer à visage découvert.

En voyant votre visage, je peux voir si vous mentez ou non, si vous êtes surprise par une question ou non, a déclaré le magistrat à la femme, sœur d'un islamiste radical mort en 2005 en commettant un attentat suicide en Irak.

La femme a expliqué à son tour que sa religion lui interdisait de s'exprimer en public le visage découvert, mais quelle sétait brièvement découverte à l'entrée du tribunal pour que la police la laisse passer.

Lui rappelant qu'en Espagne, la loi civile prime sur la loi religieuse, le juge Bermudez la alors expulsée et la convoquée dans son bureau après l'audience, en présence de la procureur.

Un compromis douteux pour la démocratie

Un compromis a été trouvé pendant cet entretien. La femme viendra témoigner lundi avec sa burka mais à visage découvert: au moment de sa déposition, elle en soulèvera la partie supérieure, découvrant son visage du menton jusqu'aux sourcils et s'exprimera le dos tourné au public et aux journalistes.

La femme s'est dite satisfaite de cette solution, déclarant à la presse que le magistrat avait été très aimable avec elle.

Le juge Gomez Bermudez est un habitué des procès lié à la mouvance islamiste radicale. En 2007, il avait présidé le procès des auteurs des attentats contre les trains de banlieue de Madrid (191 morts et plus de 1.800 blessés) perpétrés par un groupe se revendiquant dAl-Qaïda.

Les femmes portant la burka, voile intégral couvrant le corps de la tête aux pieds, sont très minoritaires au sein de la communauté musulmane en Espagne.
Tags : islam, islamisme, burqa, burqua, tribunal, musulmane
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233 commentaires
Au nom de cette patrie des travailleur par substitution, au nom de cette « révolution palestinienne qui serait devenue « le nouvel épicentre » de la révolution mondiale et de la lutte contre l’impérialisme (voir l’article du Monde diplomatique théorisant des rapports « nord-sud » structurés par la « centralité » de la cause palestinienne occultant tout le reste), on devrait accepter les contre-révolutions en Iran et au Soudan. On devrait accepter, en France, les revendications salafistes et celles de l’islamisme politique concernant le vêtement enfermement des femmes dont l’apparition publique serait une sorte de promenade de prisonnier.

On devrait faire semblant de croire qu’il s’agit d’une simple liberté de s’habiller comme on veut.

On devrait croire que légiférer contre la bourqua serait comme dans la Grèce des colonels lorsqu’on légiféra contre la minijupe *5… Avec le vêtement féminin islamique, le salafisme et ses compagnons de route mettent en branle une action- revendication transitoire. Cette affirmation, -mise en pratique avec le port libre des uniformes de bagnard féminins saoudiens, iraniens et afghans-, est destinée à bouleverser progressivement tout l’édifice juridique issu de la révolution française.

Le recouvrement des femmes, de la tête aux pieds, jusqu’au bout des doigts, est imposé aux femmes afghanes, iraniennes et saoudiennes. Le revêtement enfermement « volontaire » vise, en France, de plus en plus de fillettes et de femmes musulmanes d’abord, puis, dans sa perspective stratégique, l’ensemble des femmes musulmanes et enfin les autres, comme le Hamas l’impose actuellement aux femmes gazaoui chrétiennes.

Au nom de l’imaginaire nouvelle patrie des travailleurs, aux basques de laquelle, stalinisme moribond et ex néo trotskisme NPA ont besoin de se raccrocher pour survivre, on devrait accepter en France, une variété de contre révolution particulièrement totalitaire, s’insinuant dans les différents domaines de la vie quotidienne. Celle-ci commençant à être régentée par la charia, en débutant par le vêtement féminin, en continuant par les relations professionnelles, le système bancaire, et enfin en terminant par l’ensemble des relations humaines. C’est d’ailleurs ce qu’écrit ouvertement la charte du Hamas, qui se définit comme un parti du djihad mondial visant l’ensemble des pays sur les différents continents.

Les exigences violentes, exacerbées, liées au ramadan, illustrent encore mon propos.

En 2008, à Bruxelles, un belge a failli payer de sa vie d’avoir osé boire une canette de bière sous les fenêtres d’un observant du ramadan. Quand la police est venue arrêter les deux agresseurs, le père s’est étonné : ben quoi ! J’étais en état de légitime défense, il (parlant de sa victime sur laquelle son fils s’était acharné à coups de planche cloutée) a offensé le prophète. Il a offensé le ramadan ! (en buvant sa canette de bière sous les fenêtres de l’assassin, un fidèle indigné !) Cette année, un faubourg de Belgique a connu une émeute, une ville française a vu ses trois cinémas être fermés pour prévenir des incidents, parce que leur activité avait « contrarié » le ramadan précédent… et la techno parade a subi une descente massive et violente qui a décidé les organisateurs à l’interrompre plus tôt que prévu.

Si des groupes, voire des groupuscules néo nazis avaient fait le dizième et même le centième de tout cela, et si des groupes de catholiques traditionalistes avaient réclamé le millième de ce qu’exige par les moyens du fait accompli nos tenants de la mise en œuvre pure et simple de la charia par la méthode des revendications et des objectifs transitoires, NPA et Cie hurleraient. Ils crieraient « Alerte ! Alerte ! Halte au fascisme ! ». A tout le moins, ils défileraient sur le petit écran, pour y dénoncer « la bête dont la ventre est encore fécond ».

Pour cent fois plus, ils gardent un silence épais et poisseux. Plus grave, en collant des badges NPA sur des autocollants défendant la République laïque, ils affirment le contenu de ce qu’est en 2009 leur « camp de classe ». Ce n’est plus la bureaucratie de Moscou ni ses annexes. Ils montrent cyniquement que leur camp de classe ne se trouve pas du côté de la démocratie politique incarnée dans la République laïque mais de celui de l’islamisme politique, et que NPA, en effet cela veut bien dire : Nouveau Prosélyte Asservi.
Envoyé par Sonia_004 - le Samedi 17 Octobre 2009 à 21:09
Alain RUBIN

(1) Le néo socialisme est né, en France, au sein du parti socialiste SFIO. Exclus au congrès de Royan en 1935, les néo socialistes poursuivirent une évolution qui les fit rompre avec la démocratie politique comme cadre nécessaire à toute transformation sociale progressiste. Sous l’occupation allemande, les « néos », comme on les appelait, rejoindront activement la collaboration, sous la houlette du RNDP de Marcel Déat.

(2) Trotski était tout sauf un sectaire. Quand de puissantes tendances vers la révolution prolétarienne se firent jour au sein du Parti socialiste ouvrier espagnol, le parti de Largo Caballero le chef du gouvernement du Front populaire en Espagne, Trotski essaiera de convaincre ses amis espagnols de devenir des membres et des militants du plus important parti ouvrier en Espagne, le PSOE. Il ne fut pas suivi par les trotskistes espagnols.

(3) POUP, parti ouvrier unifié, ce parti est le produit de la fusion forcée engagée après 1944 entre le PPS et le PPR. Le PPS était un grand parti ouvrier, membre de la seconde internationale. Avant guerre il était le parti de Pilsudski, représentatif d’une bonne part de la nation polonaise. Le PPR regroupera, à partir de 1943, les rares staliniens survivants de la liquidation du parti communiste polonais. Convoqué à Moscou en 1938, le comité central du PCP sera liquidé, une balle dans la nuque. Motifs de ces exécutions et de la dissolution du PCP qui s’en suivit : « luxembourgisme du PCP… avoir dirigé un parti devenu un repaire d’espions trotskistes, sionisme »

(4) Cette « révolution », via le Fatah et ses satellites stalino nationalistes, et via le Hamas, soutient démonstrativement ce qu’ils appellent, je cite : « le combat du peuple frère soudanais » et le gouvernement de Khartoum. En d’autres termes, la « révolution palestinienne » est solidaire de la contre révolution militaire islamiste qui a détruit le mouvement ouvrier au Soudan en 1974, et mène depuis 35 ans des guerres incessantes contre les populations, pour leur imposer la dictature de la charia.

Sous l’étendard de la charia, le petit djihad soudanais a fait plus de deux millions et demi de victimes et déplacés autant de Soudanais et de Darfouri. C’est avec ce « combat » que se solidarisent ostentatoirement Fatah et Hamas. Une authentique révolution la « révolution palestinienne », c’est évident.

En 2009, la nature ayant horreur du vide, surtout la nature politique, elle prend même le vide pour en faire un plein. C’est ainsi que nos ex néo trotskistes enfilent avec délectation, leurs petits pieds, dans les grands godillots troués de générations de dizaines de milliers de serviles fonctionnaires français stipendiés de la bureaucratie des satrapes moscovites, pour eux aussi déclarer noirs ce qui est blanc ou blanc ce qui est noir.

(5) La comparaison est tellement ridicule que je me suis demandé s’il fallait s’y attarder. Peut-on en effet, du point de vue de la liberté, du point de vue de la riposte à une mesure ou à un projet de loi liberticide, comparer les jeunes femmes grecques qui s’affirmèrent comme individualité propriétaire d’elle même et les militantes volontaires ou obligées du port de la bourqua ? Peut-on honnêtement comparer l’exigence des jeunes femmes grecques : se mettre en valeur, sans exiger des autres femmes qu’elles partagent vos goûts esthétiques, et le militantisme choisi ou imposé pour que progressivement, par capillarité, toutes les femmes, musulmanes d’abord, les autres ensuite, portent un vêtement noir ou marron, au nom d’un ordre moral transcendant s’imposant à chacune parce que ce serait une volonté de Dieu ? Comment oser qualifier de libre choix personnel, risquant d’être écrasé par un projet de loi « liberticide », une « liberté » qui n’est pas l’envie de s’habiller comme on veut mais au contraire est une exigence effectivement liberticide, elle, adressée à toutes les femmes, au nom de l’affirmation d’une norme divine universelle !

La liberté « vestimentaire » d’exiger par la vertu de l’exemple, la fin de la liberté « vestimentaire » des autres femmes, est-ce que c’est une liberté que la Démocratie doit protéger ?

Ce libre choix, qu’ose invoquer Ramadan, ses complices et ses comparses, consiste à pouvoir dire publiquement : mesdames, voici ce qui est bien ! Mesdames, voyez le vêtement que Dieu exige que vous portiez. C’est ce vêtement, que tôt ou tard vous devrez toutes porter !

Afghanistan, ordre « moral » taliban, Arabie Saoudite, rigorisme wahhabite, Iran, dictature de la police religieuse, nous voici, semblent-elles dire.

Une observation : la télévision, ces derniers jours, a montré et fait parler des femmes voilées de la tête jusqu’au bout des ongles et des orteils. Volontaires, nous sommes volontaires pour suivre ce que veut Dieu répondent-elles aux reporters. Mais peut-être des paroles, des questions et des réponses m’ont-elles échappées. Je n’ai en effet pas entendu les journalistes demander à ces femmes ce qu’elles pensaient du statut de la femme en Iran, en Arabie saoudite et en Afghanistan, ces pays où le libre choix qu’elles revendiquent pour s’emprisonner n’est pas un choix personnel mais une obligation absolue, même pour des femmes étrangères de passage.

Je n’ai pas entendu ces femmes qui veulent que les députés français respectent leur « libre choix » se prononcer pour le libre choix des femmes de ces trois pays, enfermées malgré elles, de la naissance à la mort. Je ne les ai pas entendues revendiquer pour les femmes enfermées leur droit personnel de sortir de la prison vestimentaire. Leur démarche, à nos volontaires de la bourqua, c’est : donnez- nous ce que nous vous refusons aux femmes des pays d’islam !

Il faut énormément de jésuitisme, de tartuferie, d’auto aveuglement et/ou de connivence avec le système de dictature intériorisée, défendu par Ramadan et Cie, pour voir une mesure « liberticide » dans une loi s’opposant à la dictature rampante qui a pour but précis d’établir, même en France, par petites touches successives, la domination de la charia.

Alain RUBIN
Envoyé par Sonia_004 - le Samedi 17 Octobre 2009 à 21:10
HS : Une âme charitable pourrait elle me traduire cette chanson israélienne que je trouve fort agréable à l'oreille ? http://www.youtube.com/watch?v=PCI_lD7_IOY&feature=related
Envoyé par Caroline_004 - le Samedi 17 Octobre 2009 à 21:25
sonia, j'ai et relu, je vais faire une copie pour analiser tout cela,j'ai pas la tete a ça en ce moment, et je reviendrai vers toipour en discuter si tu veux bien,
Envoyé par Elie_043 - le Samedi 17 Octobre 2009 à 21:26
Des islamistes somaliens ont fouetté en public plusieurs femmes pour avoir porté des soutiens-gorges, rapportent vendredi des habitants du nord de la capitale Mogadiscio. "Les islamistes disent que la poitrine d'une femme doit être ferme naturellement, ou bien plate", a raconté une habitante de Mogadiscio, Halima, dont les filles ont été fouettées jeudi. Les militants du groupe Al Chabaab estiment que le port de soutiens-gorges est contraire à l'enseignement de l'islam car il constitue selon eux une tromperie.

A quand le soutien-gorge islamique ?


Source: http://www.lepost.fr/article/2...malie.html
c'est vraiment n'importe quoi, si tu es à poil tu es fouettée, si tu mets un pantalon tu est fouettée aussi et maintenant c'est au tour du soutien gorge, mais ils n'ont donc rien à foutre que de harceler ces pauvres femmes
Envoyé par salima - le Samedi 17 Octobre 2009 à 21:34
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Hilda - le Samedi 17 Octobre 2009 à 21:54
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Jean_010 - le Samedi 17 Octobre 2009 à 22:14
Welcome back à notre amie Salima sur le site. Ca fait plaisir de vous re-lire ici.

Et d'accord avec vous sur le fait que ces illettrés/barbares enturbannés n'ont vraiment rien d'autre à foutre que de s'occuper des vêtements et sous-vêtements de leurs femmes.

Ah oui, j'oubliais leurs grandes préoccupations; comment faire pour anéantir le monde civilisé, traduction non-muzz-, et convertir ceux qui restent encore debout. Quelles belles perspectives pour l'humanité en vérité!!!!!

Ce serait un sacré retournement de situation si toutes les femmes femmes musulmanes du monde entier (et elles sont nombreuses) cessaient d'être les "pondeuses" attitrées de ces débiles profonds. Et qu'elles se révoltent ENFIN contre toutes les injustices dont elles sont victimes, de la part de ces fumiers enturannés (père, fils, frère, cousin, grand-père, et j'en passe) depuis bien trop longtemps.

Dès que ces femmes musulmanes, pour la plupart intelligentes, mais malheureusement non éduquées, à dessein, se révolteront contre leurs bourreaux, le monde civilisé aura enfin la paix, puisque tous ces nazebroques, démunis des ventres de leurs femmes et de leurs progénitures envahissante, seraient remis d'équerre rapidement, et "retournés à l'envoyeur". ET les femmes musulmanes seraient "libérées"....

A méditer...

AM ISRAEL HAY Sourire Clin d'oeil En colère ! Embarrassé Star Triste
Envoyé par Viviane_005 - le Dimanche 18 Octobre 2009 à 03:01
bonjour
Envoyé par Elie_043 - le Dimanche 18 Octobre 2009 à 03:55
MOEURS. arabes

Polémique autour d’une fatwa

Islam : un imam suggère que les femmes qui travaillent puissent allaiter leurs collègues de bureau
vendredi 18 mai 2007 - 14h44, par Chawki Freïha - Beyrouth


En islam, il est strictement interdit qu’un homme et une femme puissent se retrouver seuls dans un endroit fermé. « Satan » sera systématiquement leur troisième compagnon et une relation illicite peut naître de cette fréquentation.

Pour remédier à cette problématique, notamment dans les entreprises où une femme employée peut partager le même bureau avec un collègue masculin, l’imam Izzat Attiyah, directeur du département des études du Hadith à l’université islamique d’Al-Azhar, la plus haute autorité sunnite en Egypte, a autorisé dans une récente fatwa qu’« une femme puisse allaiter son collègue à cinq reprises afin de nouer avec lui une relation de sein ». Selon le quotidien « Al-Ayyam » édité à Bahreïn, Izzat Attiyah considère que « les liens de lait ainsi établis entre ces deux collègues les empêchera d’avoir des relations sexuelles prohibées et leur mixité dans le bureau ne posera plus de problème. De plus, une fois ce lien est établi, la femme pourra ôter son voile au bureau et montrer ses cheveux, même en présence de son collègue ». Attiyah suggère ainsi que « l’allaitement soit officiellement inscrit et qu’un certificat nominatif soit délivré pour en attester ».

Cependant, l’imam Attiyah ne précise pas dans sa fatwa comment une employée peut allaiter son collègue à cinq reprises, si elle n’a pas d’enfant en âge de téter. Il nous explique pas non plus si les mensurations des candidates à l’embauche feront partie des critères de recrutement, ou si les recruteurs doivent demander l’avis des hommes susceptibles de partager leur bureau avec ces nouvelles recrues !

En tout état de cause, l’imam Attiyah s’est appuyé dans sa fatwa sur un livre publié il y a quelques années par un enseignant de la Charia à l’université islamique d’Al-Azhar, Abdelmehdi Abdelkader Abdelhadi. L’auteur évoque la tradition héritée du temps du Prophète, quand Mahomet avait interdit à Aïcha, son épouse, de rencontrer des hommes étrangers à la famille. Après la mort du Prophète, Aïcha exigeait que « tout homme désirant la rencontrer devait téter ses cousines et ses nièces, avant d’accéder à sa tente ».

La fatwa de Izzat Attiyah soulève une vive polémique, tant dans la sphère religieuse que politique. Plusieurs députés égyptiens menacent de porter l’affaire devant le Parlement afin d’en débattre et d’en interdire l’application. Les oulémas et autres experts en islam reconnaissent quant à eux que « la pratique de “l’allaitement des grands” avait bel et bien existé », et admettent qu’« il s’agit d’un moyen de lutter contre les relations sexuelles prohibées ». Mais ils s’opposent sur l’opportunité de l’appliquer au XXI° siècle.

L’ancien secrétaire général de la commission des études légitimes à l’université Al-Azhar, Sayyed Assaker, estime à cet égard que « le Hadith relatif à Aïcha et à l’allaitement de ses visiteurs par ses cousines et nièces est une réalité qu’il ne faut pas nier ». Mais, ajoute-t-il, « il s’agit d’un cas particulier qu’il ne convient pas de généraliser et d’en faire une loi. Dans la société actuelle, autoriser “l’allaitement des grands” pousse à la déviation », conclut-il, « même si la nourricière et ses filles deviennent interdites au nourri, du fait du lien de lait »...

Traduction et synthèse de Chawki Freïha
Envoyé par Jacqueline_013 - le Dimanche 18 Octobre 2009 à 07:45
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