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VidéoUne fillette palestinienne accuse le Hamas d'etre responsableUne fillette palestinienne tenant le Hamas pour responsable de la guerre. Les détails sont clairs.PATV News (Fatah), 29 décembre 2008
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http://www.juif.org/communaute-juive/115372,elle-ne-perdra-pas-son-bebe-grace-a-vous.php
Alors comment s´est passé le cours du rav Dynovisz à Montreal, est-ce qu´on te voit en fin de cours, attablée parmi les femmes?
http://www.ravdynovisz.tv/
Je vous ai lu avec attention, votre conversation est très instructive.
Oui Élie, j'étais là et ses autres cours étaient très intéresssants aussi. De même que les cours avec Aleph ce dimanche concernant la résurrection et la réincarnation. Je ne peux pas faifre ça tout les week-end mais je peux dire que j'ai l'impression de revenir d'un mois de vacances.
Le Rav Dynovisz racontait ce week-end que le Shabbat est la seule vraie journée de "travail" pour le juif : il travaille pour D.ieu. Les autres journée, D.ieu travaille pour lui.
Je dois travailler beaucoup cette semaine, je me ferai plus discrète sur le site mais je vous lirai tous.
A bientôt !
Bonne journée.
Decidement, comment font ceux qui parle de D.?
Comme Jocelyne, ils n´ont que des reponses, et moi que des questions! Snif...
J´ai du mal à concevoir, un D. tout puissant et qui soit contraint au travail, n´a-t-il pas des employés, les fait-il travailler au noir? Un tout puissant a-t-il besoin d´autres, tels des anges à son service?
"Ecoute Elie, fais pas chier, on t´a déjà dit, si tu fais tu comprendras".
Mais j´ai du mal à comprendre qu´il faut faire pour comprendre.
Vous avez pas compris pourquoi?
Faites le!
Vous avez pas compris pourquoi?
Faites le!
Envoyé par Elie_010 - le Lundi 7 Décembre 2009 à 11:34
"une femme avertie en vaut 10"...
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 6 Décembre 2009 à 21:16
es-tu pret a en lire une autre de "belle histoire" edmond ?
http://mptorah.net/index.php?option=com_content&task=view&id=407&Itemid=202
Vayichla’h: Le vrai bonheur
Le vrai bonheur
Par le Rav Mordehaï Bendrihem
Contrairement à bien des idées reçues, le bonheur n’est pas d’accéder à ses rêves facilement. Au contraire, c’est la difficulté et les efforts nécessaires pour obtenir un objectif, qui en font sa valeur et la satisfaction que nous aurons à l’atteindre.
Au début de notre paracha, nous assistons à la rencontre historique entre Jacob avinou et son frère Essav. Jacob, notre patriarche, s’est préparé à cette rencontre en mettant en place trois procédés différents : d’abord, il a prévu des cadeaux dans le but d’amadouer son frère. Ensuite, il a prié. Il s’est tourné vers D.ieu pour lui demander assistance dans cette confrontation qui allait décider du destin du peuple juif.
Enfin, il s’est préparé à une troisième extrémité, qu’il préférait éviter : la guerre.
Après avoir prié, et lorsqu’il envoya des cadeaux à Essav, il trouva nécessaire de se justifier : « Je n’ai pas pu me présenter à toi avant cet instant, car j’ai été retardé jusqu’à présent. »
Nos sages expliquent que par cette phrase, Jacob signifie à son frère Essav que la bénédiction qu’il a reçu de son père, cause de tant de jalousie, ne concernait pas le monde matériel. Ainsi, Jacob précisa à son frère que ce qu’il possédait n’était que le résultat de ses efforts et de son labeur. Par cette explication, il parvint à apaiser son frère Essav, qui n’en voulait à Jacob au sujet de la bénédiction paternelle, que dans la mesure où elle promettait une réussite matérielle.
► Devenir grand
Nous allons découvrir que c’est le labeur et les efforts qui, justement, donnent leur valeur et leur prix à tous les événements heureux de la vie.
Un jour, un homme se rendit auprès du fils du Baal Chem-Tov et lui dit :
Rabbi, je voudrais savoir comment l’on devient un juste, un tsadik comme vous.
Dans notre ville, à Pinsk, il y a deux hommes fortunés. Le premier doit sa richesse à un héritage. Le deuxième est un nanti parce qu’il a travaillé pour devenir riche. Et pour cela, il n’a pas hésité à fournir de grands efforts, à se lever tôt et à se coucher tard. Si tu veux apprendre comment t’enrichir, celui qui a tout reçu par héritage ne pourra pas t’aider. En revanche, si tu t’adresses à celui qui n’est pas né riche mais qui, par son labeur et ses efforts, a pu le devenir, tu auras sans doute des réponses intéressantes.
De la même manière, poursuivit le Rav Tsvi Hirsch, mon père était le Baal Chem-Tov, et c’est beaucoup par son mérite, et par l’éducation que j’ai reçue, que j’ai pu devenir à mon tour un Rabbi. Si tu veux savoir comment l’on devient un Grand Sage Torah et un Juste, il vaut mieux que tu ailles voir Rabbi Aaron de Karlin. Lui, sans même avoir des parents Rabbins, il a pu se construire spirituellement pour éclairer le monde de sa sagesse.
Nos Sages expliquent que pour Yaacov avinou, le même enseignement peut être tiré : c’est par sa volonté et son courage qu’il a pu devenir Israël, le père du peuple juif. C’est d’ailleurs ce que fait remarquer à ce propos le Ben Ich-‘Haï, dans une autre histoire, qui va nous faire saisir plus « concrètement » ce principe.
► Le plaisir de la conquête
Il y avait dans une ville un prince très riche. Mais par la force des choses, il perdit toute sa fortune et il ne lui resta que deux belles pierres précieuses.
Il était sûr qu’il pourrait les vendre à un très bon prix, et qu’il pourrait ainsi se refaire. Il alla trouver deux hommes très fortunés. Au premier, il proposa la première pierre à un prix exorbitant de cinq cent pièces d’or.
Car il était bien évident que cette pierre ne valait pas plus de dix pièces d’or. Cet homme riche se dit par devers lui : « Je sais bien que ce diamant ne vaut pas plus que dix pièces d’or. Mais pour honorer ce prince, et pour l’aider, je vais lui donner les cinq cent pièces qu’il me demande. » Et c’est ce qu’il fit.
Notre prince vint ensuite proposer sa deuxième pierre au deuxième bourgeois, qui lui aussi, fit preuve de générosité, mais dans une autre mesure :
Écoutez, je devrais vous donner dix pièces d’or car c’est la véritable valeur de votre diamant. Mais comme vous êtes quelqu’un d’important, et que je veux vous aider, je vous en offre vingt.
Comment ! s’exclama le prince. Vous plaisantez, c’est une pierre de très grande valeur. Il n’en est pas question.
Après négociations, l’homme d’affaire accepta enfin de donner cent pièces d’or. Mais le prince ne put s’empêcher de le questionner :
Je ne comprends pas. Untel, que vous connaissez, et qui est très riche aussi, m’a acheté exactement la même pierre précieuse pour cinq cent pièces d’or, et cela, sans aucune négociation. Avec vous, et après une âpre négociation, je n’en reçois que cent !
Je connais bien cet homme dont vous parlez. Vous ne le savez peut-être pas, mais il doit sa fortune à un héritage. C’est la raison pour laquelle il vous a offert cinq cent pièces d’or : cela ne lui fait pas grand-chose. Mais moi, je ne suis pas né riche. J’ai toujours dû travailler dur. Et je sais le prix de chaque pièce d’or que je possède, je parle de son prix en effort et en fatigue. Lorsque j’accepte d’acheter votre diamant cent pièces, c’est comme si cet autre homme vous en avait offert mille !
Mais il ne faut pas conclure de cette histoire que la vie a été plus dure pour le deuxième millionnaire, celui qui s’est bâti seul. Car nos Sages disent qu’un homme préfère un petit capital, mais qui soit le sien, plus que tout ce qu’on pourrait lui offrir gratuitement. Et la raison de cette préférence est que les hommes tirent une satisfaction particulière de ce qui provient de leurs efforts (Rachi, Bava Metsia 38a).
Notre génération qui a reçu en cadeau du confort matériel à profusion, qui a pris l’habitude d’avoir accès facilement et rapidement à tout, dévalorise et amenuise la valeur des choses. Il n’en reste pas moins que la vraie valeur n’est donnée que lorsqu’on arrive au résultat, après de grands efforts, que ce soit dans le domaine de l’argent gagné, ou des qualités morales acquises.
Envoyé par Elie_010 - le Dimanche 6 Décembre 2009 à 20:34
lis la derniere histoire affichee, >
c'est tout a fait toi. si tu ne questionnais pas tu serais vraiment ce que tu voudrais nous faire croire par ton message ci-dessus.
"il n'y a que les sots, a mon avis, qui ne questionnent pas."
Ne disais-tu pas:
"Elie, toi tu te poses des questions"
"Moi je n´ai que des réponses".
Difficile de jouer sur les deux tableaux.
C´est pas la premiere fois que ca arrive, alors que des forums restent fermés pour certains (tel qu´en ce moment celui de "il n'y a que les sots, a mon avis, qui ne questionnent pas"), d´autres peuvent continuer à commenter, est-ce un probleme technique ou intentionnel de la part de Juif.org, car le fait de ne pas pouvoir repondre, d´être contraint à rester sous silence, peut laisser un malentendu pret à polemique par la suite.
La Torah est vérité, je me questionne pour la vérité, si en même temps je le fais pour la Torah, cela ne peut que me faire plus plaisir.
Notre difference est la, toi tu suis la Torah vraiment, alors que pour moi, vraiment la Torah me suit