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VidéoUne fillette palestinienne accuse le Hamas d'etre responsableUne fillette palestinienne tenant le Hamas pour responsable de la guerre. Les détails sont clairs.PATV News (Fatah), 29 décembre 2008
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1 ) si cette personne qui m'accuse te dis : "NE DIS PAS que c'est MOI qui te l'ai DIT " sache que cette personne est a coup sur une MENTEUSE et toi tu donnes la main a un FAUX TEMOIGNAGE ! je n'ai jamais etudie en yeshivah mais ca ne m'empeche pas de me poser des questions et de reflechir avant de porter une accusation par un ouie-dire ! donc, comme tu es venu, tu repars reflechir a ce que tu viens de faire, va dire a ton rav que tu as de graves LACUNES et que tu dois a nouveau rejoindre les bancs des eleves afin d'etudier les commandements 3 et 9 ensuite tu apprendras a reflechir avant de porter un jugement sur qui que ce soit avant d'en avoir verifie la veracite.
ce garcon, s'est excuse, il m'a dit qu'il n'avait pas pense a cela, qu'il s'excusait et parti avec son copain, tous deux la tete basse.
une femme qui leur donne un shihour TORAH !
"pourquoi te baser sur ce que font les autres et accepter leur propre experience. j'ai plus de faciliter a l'oral qu'a l'ecrit... je me lance donc.
est-ce que tu vis ta vie en fonction des autres ou en fonction de toi ?"
Ne disais-tu pas qu´il fallait faire comme les anciens?
Envoyé par Elie_010 - le Jeudi 3 Décembre 2009 à 13:45
je suis une ancienne elie mais pas un SAGE ! et encore moins ton ANCETRE !
« …Le Saint, Bénis Soit-Il, construisait des mondes et les détruisait jusqu’à ce qu’Il construise ce monde… ». (c´est encore plus culotté de dire, s´il avait compris d´abord...)
Envoyé par Elie_010 - le Jeudi 3 Décembre 2009 à 13:41
tu abondes donc dans le meme sens que moi elie ? !!!
J'ai en mémoire un échange que tu as eu avec Elie sur le 'fais et tu comprendras'. Tu avais mentionné qu'une réponse faite par le rav Ron Chaya à un certain William t'avait aidée à en accepter le concept. Et bien, je me souviens avoir cru déceler une contradiction (à juste titre ou pas) dans ses dires. J'avais renoncé à le relancer pour mettre le doigt sur ce qui m'échappait mais j'étais resté sur ma faim. Si je te lis bien, tu es toujours dans la réserve.... ?
Envoyé par William_010 - le Jeudi 3 Décembre 2009 à 12:08
absolument pas william, cette reserve, il y a longtemps qu'elle est depassee, c'est bien pour cela que j'avais ecrit au rav, j'ai retrouve mon commentaire au rav ron chaya, je te l'affiche.
http://www.leava.fr/cours-torah-judaisme/veracite-de-la-torah/93_la-preuve.php
rabbi ron shalom,
j'ai commence ma techouva en 1986 apres avoir lu tout le tana'h en 7 jours, j'avoue que ces 7 jours etait 7 jours de shiva. j'ai appris plus tard que normalement je n'aurai pas du lire le tana'h pendant cette periode de deuil mais, le Livre s'est trouve par hasard entre mes mains... trop long a expliquer.
donc apres lecture, j'ai cru !
j'ai cru et j'ai fait. j'ai fait pas mal de choses sans comprendre et ce n'est qu'apres avoir fait que j'ai compris... exemple ?
j'ai commence a respecter shabbat mais mon telephone restait branche au cas ou mes enfants m'appelleraient. a chaque fois qu'un de mes enfants m'appelaient je raccrochais avec " colere ". une engueulade avec celui qui m'avait appele, contrariete, mon shabbat etait fichu.
la cacheroute, j'ai fait et j'ai compris. pour pessa'h n'ayant pas de vaisselle kachere je pratiquais la kacherisation de tous mes ustensiles comme on me l'avait appris a le faire, a voir l'eau se salir, bien que ma vaisselle soit sortie du placard, propre
" apparemment ", j'ai compris le pourquoi de la kacherisation de la vaisselle.
la kacherisation des aliments... j'ai fait sans comprendre et, c'est apres avoir fait, que j'entendis les explications donnees par les rabbins a la radio. ensuite sont arrivees les explications donnees par des professeurs " eminents " non-juifs qui eux, commencaient a preconiser ce que les femmes juives font " sans savoir pourquoi ".
suis-je une exception ? une baalat-techouva arrieree qui a " fait et ensuite appris " ?
je crois sincerement que en suivant cette loi HACHEM decide ensuite de nous prendre en main et de nous eclairer tout naturellement.je suis certaine que toutes ces pratiques ont un sens plus profond, c'est pour cela que je suis assidument tes cours apres avoir commence par
" faire et comprendre ensuite "
j'avoue ne pas avoir tres bien compris ce cours, il a quelque chose de
( derangeant ) tout au moins pour moi.
je crois que ce commandement veux plutot dire... pratique deja ta religion ensuite tu comprendras sa beaute et sa verite.
je pense que c'est un cours a approfondir car il peut preter a confusion mais, ce n'est tout simplement que mon avis, ce cours a besoin d'un supplement les avis partages de chacun m'ont confirmee sur cette impression.
shalom rabbi ron
et voici ce que rav ron chaya repondit au commentaire de (william ) qui ecrit :
Cher Rav,
J'ai deux observations à faire.
1 - Je suis absolument en accord avec ce que vous dénoncez dans l'injonction de 'faire' pour 'comprendre' ensuite, dans la mesure où cette dernière se revendique en tant que passage obligé et moyen infaillible.
On peut toutefois considérer que l'idée n'est pas forcément mauvaise du point de vue pédagogique si l'on précise que le résultat n'est pas pour autant garanti.
2 - Le commentaire d'Eliezer datant du 29 - 5 - 2006 est une contradiction en ce sens qu'il parle d'abord d'une 'très belle preuve' pour donner dans un deuxième temps un argument qui entretient le doute dans son esprit.
Je pense également que c'est la nature du dévoilement qui brille par son absence dans votre cours. Qu'ont vu et/ou entendu les bné Israël ?
Cordial chalom
William
voici donc a present la reponse du rav : ( tu vas voir comme il sait si bien expliquer ce que je veux dire car il n'y a pas que moi qui apprehende la Torah ainsi )
Réponse à William du 17/11/2008
Chalom William,
A propos du premier point, je pense non seulement que du point de vue pédagogique l'idée n'est pas mauvaise mais je pense qu'elle est nécessaire. Mais au lieu de dire que le résultat n'est pas garanti, il faut tout simplement recadrer les choses et dire qu'il n'y a aucun résultat au niveau de la compréhension car ce n'est pas parce qu'on fait qu'on comprend; mais au niveau du ressenti, quand on fait, on ressent de la kédoucha, la proximité de D., donc en somme on ressent notre néchama juive.
A propos de la nature du dévoilement de D. au mont Sinaï, il est clair que la torah ne peut donner aucune nature du ce dévoilement, si ce n'est que D. s'est dévoilé, car D. n'a pas d'image. Et toute "nature" que nous donnerions à ce dévoilement reviendrait à donner une image. La torah a simplement dit qu'il s'agissait d'une vision prophétique dans la mesure où il est écrit que le peuple "a vu" les voix, or une voix ne se voit pas, elle s'entend.
william, as-tu lu les TEHILIM ? et les as-tu lu ou vraiment tu en avait un besoin express ? (sans plaisanteries oiseuses stp. elie !)
elle va ramasser les copies
elle va ramasser les copies
Envoyé par Elie_010 - le Dimanche 6 Décembre 2009 à 19:12
http://mptorah.net/index.php?option=com_content&task=view&id=400&Itemid=202
Millionnaires sans le savoir
Par Rav Mordehaï Bendrihem
Qui est riche ? Celui qui est heureux de ce qu’il possède. Pour illustrer cette maxime des Pères, Jacob, Essav et un millionnaire vont nous donner une petite leçon de bonheur…
Lorsqu’Essav parle de son patrimoine, il dit à Jacob : « Je possède beaucoup » (ièch li rav). Lorsqu’à son tour, Jacob doit faire part de son capital, il lui dit : « Je possède tout » (ièch li kol). (Genèse 33 ; 9-11)
En réalité, il n’est pas évident que Jacob possédait plus qu’Essav. Pourquoi a-t-il choisi de dire qu’il possédait tout, en réponse à son frère qui lui dit posséder beaucoup ?
Une anecdote qui fait partie de l’histoire contemporaine va nous permettre de pénétrer, un temps soit peut, la pensée de Jacob.
Un jour, le Rav El’hanan Wasserman, grand érudit et sage d’avant-guerre, devait se rendre chez un donateur important, millionnaire de son état, et qui avait l’habitude de faire des dons substantiels pour la Yéchiva du Rav. Ce donateur s’appelait M. Davis, et il avait convenu avec le Rav que lors de sa prochaine visite, il lui donnerait une somme conséquente.
► Que faire ?
Notre histoire se déroule en Lituanie, entre la Russie et la Pologne, en plein hiver. Le chemin entre la Yéchiva et la propriété de M. Davis était assez long et le Rav devait voyager en train, en calèche, à pied, bref, par tous les moyens qu’il avait à sa disposition en ce début de siècle.
La pluie et la neige rendaient les chemins boueux, et alors qu’il n’avait pas parcouru la moitié du chemin, le Rav se rendit compte que ses bottes étaient déjà totalement croutées, et que lui-même était parfaitement dégoulinant. « A quoi bon continuer ? se demanda-t-il. En arrivant là-bas, je vais salir la maison luxueuse de M. Davis, et de toute façon, je ne suis pas vraiment présentable. D’un autre côté, retourner jusqu’à la Yéchiva, n’est pas forcément une bonne idée. En effet, en dehors du temps perdu, qui me dit que lorsque je devrais repartir, il fera meilleur et que la neige aura cessé de tomber. Il y aura peut-être une tempête en chemin et j’arriverai dans un état encore plus lamentable… »
Finalement, le Rav résolut de poursuivre son chemin. Il se dit que plutôt que d’entrer par la porte principale de la maison de M. Davis, il se présenterait devant la porte de la cuisine, ce qui lui éviterait de salir l’entrée et le salon du millionnaire.
► Visite guidée
En arrivant chez M. Davis, le Rav El’hanan Wasserman fit comme il avait prévu et frappa à la porte de la cuisine. Ce furent les deux filles Davis qui lui ouvrirent et qui s’écrièrent, en apercevant le Rav qu’elles connaissaient déjà : « Papa, Papa, Rav Wasserman est là, Rav Wasserman vient d’arriver ! »
A chaque fois que Rav Wasserman franchissait le seuil de la maison des Davis, il était accueilli chaleureusement. Mais cette fois-ci, M. Davis, qui avait accouru en entendant ses filles, reçut le Rav avec peine, presque en pleurant.
- Que m’avez-vous fait ! Ne vous rendez-vous pas compte ce que vous m’avez fait ?
- Comment… Avez-vous quelque chose à me reprocher ? Vous a-t-on raconté quelque chose d’incorrect sur moi ?
M. Davis demanda alors à ses filles de bien vouloir se retirer pour pouvoir rester seul avec le Rav. Il s’adressa à lui sans tergiverser :
- J’ai bien compris, avec tout le respect que je vous dois, pourquoi vous étiez entré par la cuisine. Vous avez préféré entrer par la porte de service pour éviter de salir ma salle à manger et mes beaux meubles. Mais sachez que toute ma vie, j’ai eu l’ambition et la volonté d’enseigner à mes enfants que notre vraie richesse, c’est la Torah et ses préceptes.
Chaque jour, par mille et un détails, je leur fais sentir cette réalité. Nonobstant ma réussite financière, je ne manque jamais une prière en myniane. Malgré mes occupations et mon emploi du temps chargé, j’étudie chaque jour la Torah durant de longues heures. Je leur fais ressentir que l’essentiel dans la vie, ce ne sont pas mes canapés et mon tapis luxueux, c’est l’amour de D.ieu et de sa Torah, et le respect dû aux Sages d’Israël, aux talmidé ‘ha’hamim. En entrant par la cuisine, même si vous n’avez pas pensé à tout cela, vous laissez entendre à mes enfants que le plus important pour leur père, c’est que la maison reste rutilante, l’honneur dû à un grand Rav passant au second plan.
- Que puis-je faire maintenant ?, demanda Rav Wasserman, impressionné par la grandeur de cet homme.
- Il y a une solution, répondit M. Davis, un sourire mystérieux aux lèvres.
Le millionnaire prit le Rav par le bras, et l’entraîna pour une visite guidée un peu spéciale de sa maison. Il le fit asseoir, tout boueux qu’il était, sur un canapé cossu, puis sur un autre, lui fit traverser le salon en prenant bien soin de le faire marcher sur les épais tapis avec ses godillots crottés, l’invitant à table et le faisant asseoir sur les chaises d’un prix inestimable, bien qu’il fut encore imprégné de la pluie sale de son voyage. Et à chaque étape, il redoublait de bonheur et de respect, tout à sa joie de recevoir un homme de Torah chez lui. Ainsi, il put montrer, mieux que par cent discours, que le plus important pour lui, c’était le respect dû aux Sages d’Israël. Bien évidemment, après cette petite visite, on proposa au Rav de nettoyer ses affaires et de décrasser ses bottes.
► L’essentiel et le superflu
Dans notre paracha, Jacob demande à D.ieu : « Donne-moi du pain pour manger, et des habits pour me vêtir » (Genèse 28 ; 20). On ne peut éviter les questions : A quoi du pain peut-il bien servir en dehors d’être mangé ? Quelle autre fonction peut avoir un habit en dehors de s’habiller ?
La réponse réside dans le fait que Jacob ne perdait pas la vraie valeur des choses et la raison pour laquelle on les possède. Aujourd’hui, il est très difficile de savoir mettre les limites entre le nécessaire et le superflu. On possède, on consomme, et on oublie qu’il y a beaucoup de pain qui n’est pas mangé, ou qui n’a pas pour fonction principale de nous nourrir, et que bien des tenues que nous possédons ne sont pas tellement utilisées…
Lorsqu’Essav dit : « J’ai beaucoup » il se place dans la dimension de la profusion, de l’opulence, du nombre. Lorsque Jacob dit : « J’ai tout », il nous demande une réflexion.
Quelque soit ce que l’on a, on doit constamment considérer son patrimoine à l’aune de son utilité, et non du plaisir intrinsèque de le posséder. L’important c’est de posséder ce que l’on a besoin, et non ce que l’on a envie. Ainsi, celui qui dispose du nécessaire, pourra dire, en toute quiétude : « J’ai tout ».
Souhaitons être les dignes descendants de Jacob, les vrais Bné-Israël, qui ne cherchent pas à posséder beaucoup, mais qui savent que le plus important, c’est se réjouir de tout… ce que D.ieu nous offre !