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NOTE : Sonia, c'est ça un pilpoul!!
Envoyé par Men - le Jeudi 17 Décembre 2009 à 14:16


Bon on va laisser D. décider pour nous.

Men, voilà ce qu´on va faire, pil c´est toi qui gagne, poul c´est moi.

men et william, pour vous puisque l'hebreu n'a pas de secret pour vous... c'est la chaine hidabroot que je visionne actuellement...

http://www.hidabroot.org/Media.asp

NOTE : Sonia, c'est ça un pilpoul!!
Envoyé par Men - le Jeudi 17 Décembre 2009 à 14:16


Bon on va laisser D. décider pour nous.

Men, voilà ce qu´on va faire, pil c´est toi qui gagne, poul c´est moi.
Envoyé par Elie_010 - le Jeudi 17 Décembre 2009 à 16:44

mauvais pilpoul elie, quel est l'enjeu ?

Men merci pour le clin de l'œil ! Voila le pilpoul comme ça me plait .

William Je pense la conclusion de Men est plus que vrai ! Moi aussi tes comments me ont donné un petit sourire et malheureusement Men a me devancé ! Sans te rendre compte peut etre tu parles avec un grand amour dans ton cœur .
Je ne sais pas bien de te expliquer , on est si différant , mais dans tes mots ou entre les lignes j'ai trouve beaucoup de moi . Je veux te dire - ose , ne te arrête pas la a te questionner encore et encore . Tu comprends que je veux dire ?
Plus en plus je regrette que nous restent tout seulement virtuellement ensemble ! Car tout on peut pas dire ici , c'est normal , mais imagine que on été tous ensemble pour parler .

Elie , mon petit poète , dommage que on peut pas lire un poème de toi ! Pour moi tu rassembles a une châtaigne .
Piquant si on prend pas garde mais si dommage de passer a coté par peur de se piquer . Comme tu est un homme j'ai pas pu trouver meilleur exemple . Alors tu peux rigoler !
Quand je te ai dit que ton pilpoul me énerve ça été pas dans le mauvais sens , je espère que tu comprends .

En un mot j'ai hâte jour après jour de vous retrouver ici !
Et la une question pour vous tous - j'ai longtemps pas lu une message de Viviane !!!! Elle me manque aussi et je espère que tout va bien pour elle ! Si un de vous sait quelque chose , alors je suis content que il nous dit que tout est ok !
Ou si Viviane lit que elle fait un petit signe !

Où était Dieu pendant la Shoah? video sous-titree en francais. ( lorsque l'on compren ce qui est ecrit dans le TANA'H, on n'a plus tellement envie de "comprendre avant de faire" )

http://video.google.fr/videoplay?docid=-814590775042710416&ei=B10qS5PhHYTS-AaQtKjgAw&q=hidabroot&hl=fr#

elie, regarde comme nos grands SAGES savaient rire aussi... RABBI NA'HMAN MI BRESLEV ZTSKL.

LES PARABOLES DE RABBI NAHMAN




L'HISTOIRE DE WERDA

Rabbénou raconta cette histoire.

Un homme voyageait accompagné de son cocher à destination de Berlin et d'autres grandes villes. Il laissa son cocher nommé Yvan (homme rustre et insensible) au beau milieu d'un marché, dans sa charrette, et alla s'occuper de ses affaires. Un agent s'approcha du serviteur et lui demanda pourquoi il stationnait là en disant : « Werda (Que fais-tu là en allemand) ? » Pensant qu'on lui demandait son nom, le cocher répondit: « Yvan. » Sur ce, l'agent le frappa et lui demanda à nouveau:

- Werda?

- Yvan, répéta le cocher.

Il le tapa de plus belle tout en criant: « Werda ? » N'obtenant pas de réponse, il déplaça le cocher et sa charrette dans une rue à l'écart.

De retour, son maître partit à sa recherche et le trouva enfin; il lui dit alors:

- Yvan ...

- Ne m'appelle pas Yvan mais Werda, répondit en

chuchotant le cocher effrayé.

Au sortir de la ville le serviteur ajouta:

- A présent tu peux m'appeler Yvan. Là-bas je m'appelle Werda; mais ici mon nom est Yvan.

Rabbénou conclut ainsi cette histoire : « Chez moi l'homme est "Werda'' ("Que fais-tu là ? (dans ce monde)"), alors il

prend conscience de sa petitesse et il purifie son corps (son "Yvan'') ; mais dès qu'il me quitte il redevient ‘Yvan" (un homme rustre et matériel). »

La matière n'est que matière.

(Co'hvé Or, Sipourim Niflaïm, 224.)

Men
Merci pour ce moment la ,
merci pour ta générosité ,
ce que je comprends maintenant c'est qu'il est possible de faire et d'être a l'écoute ,
je suis très sensible a ta façon de prendre du temps en partage ,ta patience ,ta sérénité chaleureuse
je ne sais pas si un jour j'arriverais a comprendre ,l'exemple que tu prends est terrifiant pour moi ,,presque tétanisant mais chose certaine je sais que faire n'empêche pas de regarder autour de soi

Je comprends a travers ton regard ,c'est magnifique en te lisant .
Mais aussitôt l'exemple ,cette connexion entière vers D. jusqu'à ne plus avoir de volonté propre et être prêt a tuer me glace d'horreur ,
je comprends que c'est une image mais
les 0,0002 que je comprends me glace d'horreur

je me dis aussi que faire jusqu'à ce que l'habitude de faire devienne une seconde nature n'est pas a recommandé pour tous ,,
des gens fragiles peuvent y laissé leur raison ,
il n'y a plus de protection ,
men , ce que j'entends par comprendre c'est une approche graduelle pour ne pas risquer un genre d' « hydrocution , »
dans l'absolu bien sur
le libre choix n'est il pas impossible si pour ne pas être dans l'erreur je ne peux pas choisir

différemment ?
Comme s'il y avait comme choix tu choisis le faux ou le vrai ?
Ce n'est pas pour relancer juste te dire que j'ai entendu et que j' aime le résultat sur toi


Chose sure merci Men pour ce partage ,
Merci pour toutes ces paillettes de sérénité ,

William
En te lisant j'ai fredonné le premier amour du monde
tous tes mots font écho en moi
je sais que faire rassure ,conforte , apporte comme un semblant de garanti ,
fait et tu comprendras en te lisant me fait penser au travail d'un apprenti ou la pratique vient avant la théorie

mais je ne peux m'empêcher de penser que s'il y a un seul D. il y a tant et tant de façon de croire que la seule manière de rendre tangible cette croyance est de faire ,, mais jusqu'' ou ?
Si a force de faire et refaire je n'ai plus de temps ,plus d'espace pour comprendre ,
Pour aimer aime t on vraiment l'autre à partir de qui il est ou l'idée qu'on se fait de l'autre ou encore le bien qu'il nous fait ,
ce que je tentes d'écrire c'est qu'en faisant c'est nettement plus facile d'être dans une unité ,,mais dans l'intimité de soi vers soi quel decallage entre les croyants ,le rapport a D.
Il est des mots que l'on écrit que de soi vers soi

Qu'est on prêt a offrir vraiment de nous ?
Il y a tellement de choses qu'on est pas prêt a dire pour de mauvaises raisons ,,
Si on osait se montrer nu offert combien de ressemblance verrai le jour
et la je reviens au premier amour du monde
puisque les mots n'existaient pas comment pouvaient il savoir ,,,
merci William

Bah, j'ai encore parlé 3/4 d'heure il y a 2 jours avec Erets et on n'a même pas évoqué cette pluie...
Bon, d'accord on a parlé de Torah pendant au moins une demi heure, je lui ai posé une shééla (il est Rav assez réputé dans son domaine qui est la cacheroute), puis nous avons évoqué nos familles chéries mais sans doute n'a-t-il pas pensé à me parler de cette pluie dans notre discussion (comme j'aime tellement en avoir)...
J'vais r'garder la météo sur le net en Israel!
Envoyé par Men - le Jeudi 17 Décembre 2009 à 15:40

pour la cacheroute il doit etre super en colere non ? si il ne t'a pas parle de la pluie c'est parce que vous avez parle Torah. tu sais qu'a ces moments-la tu ne penses a rien d'autre.

(1)Hélène,

Je suis absolument d'accord avec toi. J'ai dit confiance aveugle dans le sens de obéissance aveugle.

Entre humains, on dit : vraie confiance. S'agissant de D... on dit confiance tout court. J'entends : aveugle. Pour moi, ne pas avoir confiance en D... revient à nier son existence. L'amitié qui m'unit à lui remonte à bien longtemps. Une grande histoire d'amour qui en a fait mon meilleur pote. Je suis sûr de l'avoir amusé plus d'une fois.
Faudrait que je te raconte ma vie pour que tu touches du doigt ce que je veux exprimer. Nier son existence me ferait passer pour fou à mes propres yeux. Il est mon carnet de bord, ma conscience, mon père, ma mère, mon maître et mon ami. Je lui parle en pensée, de vive voix, souvent, je le taquine. Ma confiance en lui ne peut qu'être aveugle. S'il me demande de me peindre en bleu, je me peints en bleu. Mon obéissance lui est acquise car ne sait-il pas mieux que moi ce qui est bien pour moi ?
Le craindre ? Je veux bien... mais dois-je forcer ma nature ? D... me pardonne, tout de suite, je ne crains qu'une seule chose, c'est qu'il prenne sa retraite.

S'il faut faire un milliard de trucs pour en arriver là, c'est que quelque chose ne tourne pas rond. Lorsque je lis nos textes AU PREMIER DEGRE, il m'arrive de les trouver ennuyeux. C'est souvent tellement évident que je me dis que ça LE changerait qu'on le surprenne de temps en temps, en cessant de lui réciter par cœur les mêmes louanges, parfois sans même les comprendre. Une petite poésie que chacun lui composerait avec sa différence lui mettrait certainement plus de baume au cœur.

D... punit, D... récompense. Qu'il ne change surtout rien ! Il faut bien que les choses aient un sens non ? A quoi me servirait ma conscience si D... lui-même devait passer outre ?

Dire, je ne suis rien, il est tout, C'est vrai et c'est faux. C'est vrai, mais c'est tellement vrai que de le dire est suspect car, superflu. Qui sauf un fou se compare à lui ? C'est faux car si on fait monter en mayonnaise le contenu de la bible pour en retirer l'homme et son histoire, que reste-t-il sinon un ascenseur en panne dans un immeuble inachevé de construction ? Il ne faut pas pousser l'humilité plus loin que le bouchon, cela risquerait d'offenser l'artiste. Dans le meilleur comme dans le pire des cas, nous sommes le produit de sa volonté. C'est rien ça ? Faut surtout pas qu'IL l'entende ! Moi, un rien me suffit, mais lui...