Vidéo

David,
tu sais pq ce petit Patrick a été battu à mort?

David_169,
mes commentaires se volatilisent sur Juif.org.
Je ne cherche plus à comprendre le pourquoi et le comment de ces disparitions.
Peut-être est-ce mieux ainsi s'agissant de répondre à vos commentaires.
De toute façon, je m'étonne de lire vos regrets quant à l'arrêt des échanges par les autres intervenants!
Comment pourrait-il en être autrement alors que vous trouvez les débats stériles!!!
En ce qui me concerne, je vous invite donc à en rester là!
Comme vous, les débats.....stériles me lassent rapidement!
Chalom.

Jacqueline,
Être un enfant précoce ou surdoué n’est pas une sinécure pour les parents et autres grandes personnes. Pour l’enfant, c’est un immense handicap ! Il vit en F1, alors qu’il lui faut vivre en 2 CV. J’ai eu une chance inouïe d’entrer en internat avec « mon frère jumeau et sa mère » (15 ans de + que nous. Papa les a adoptés, médecin de brousse en Côte d’Ivoire. Elle, violée par son oncle, avait un nourrisson de mon âge. Nourrissons, bébés, enfants, nous n’avions qu’un parc pour dormir. Etc.). Le directeur a vu la différence. Il était grand temps de mettre un terme à la symbiose. Ma « sœur » était pion des plus jeunes. Nous n’étions séparés que pour les cours. 9 ans/5ème. En 4ème j’ai fait le programme de math en 1 trimestre, celui de la classe de 3ème au second et les bases de l’informatique au 3ème. J’ai eu mon brevet sans passer par la classe de 3ème. 11 ans en seconde. Imaginez 1 enfant devant écrire une dissertation ? Des ado sont tombés amoureux de la « miniature » (un suicide : je ne lui avais pas prêté attention) etc. Le corps allait à 1 rythme lent à cause de la malaria. La tête avançait à la vitesse V. Mon « jumeau venait me voir à Paris tous les vendredis. Nous redormions ensemble, pudiquement. Il était tout ce que je n’était pas : « normable » et mon ange gardien. Il n’aimait pas les math. Il est prof de math en université et marié à une prof de math de lycée. A 23 ans, j’ai fait comme mon père, j’ai donné mon nom à des jumeaux que j’ai pu adopter quand le

Jacqueline, (suite et fin)
j’ai donné mon nom à des jumeaux que j’ai pu adopter quand leur mère les eut abandonnés. Ce jour là, ils étaient « égarés ». Pour qu’ils puissent s’endormir, nous les avons mis dans le même lit, contre la porte ouverte de ma chambre, mon vêtement de corps entre eux. Quand je me suis couché, les regardant, enfin paisibles, j’ai pleuré d’amour. Deux ans après, j’épousais ma femme : une jeune juive d’Europe central (Erasmus) qui était arrivée aux urgences, dans le coma. Tous la considéraient morte. Avec l’accord de mon père, une équipe, spécialiste en neuro, a bossé toute la nuit. Je l’opérais dès 04.°° le lendemain. Je m’étais remis au lit vers 07.°°. Elle se réveillait à 12, parlait normalement. La fête ! moi en pyjamas. Je ne sais comment l’équipe ne m’a pas réduit en sandwich. Aucune trace visible de cette trépanation à la radio ou dans ses cheveux. Salut. Il faut que j’aille travailler. Vous serez condamnée pour détournement de médecin de garde… Heureusement que mon D.IEU veille sur moi. Ca va ! (avec une sage femme par enfant, j’ai fait naître ces merveilles, sans douleur pour la mère : sophrologie). Pour les autres, + tard. L'exercice a mis mon cerveau en ébullition.

Il semblerait que les tours (800 m pour la + haute) de Dubaï soient devenues des tours de Babel. Un erzatz de + pour qui veut « péter » trop haut !

Elie,
Il ne me revient pas de diligenter une enquête. Le tribunal a reçu mon fax et le double de toutes les photo et radio prises et mises sur C.D. Un coursier est venu le chercher. La police fait son job. Le notre est de veiller sur lui, de toute notre attention. Dès demain, le cocktail prescrit sera vérifié par le laboratoire qui analysera son sang. L’équipe saura très vite si elle peut se permettre de diminuer les dosages (vus sa taille et son poids).
Il y a tellement de violence, partout. Tellement de « fausses-bonnes raisons » : enfant non désiré, d’un autre père, l’alcool,…. sans raison. Le grégaire, en nous, vise toujours le faible, le différent,….., pour satisfaire sa/ses névroses ! La DDASS interviendra.
Avant, ces enfants étaient placés d’office dans 1 ferme où ils devenaient larbins. Avec le Domaine, la DDASS ne paie plus de pension. Elle paie simplement les artisans qui lui prépareront sa chambre et sa première vêture. Une famille du Domaine le prendra totalement en charge jusqu’à son BAC. Il aura 2 noms. La DDASS viendra à la rescousse s’il veut entreprendre des études, si nécessaire. A ses 16 ans, il choisira s’il veut être adopté. Il n’aura + qu’1 nom. Voilà pourquoi le Domaine est si précieux et que mon père et moi n’en avons pas la jouissance, mais la responsabilité. Pour lui, si le tribunal lui accorde ce droit, tout son à-venir s’ouvre devant lui. Tous les métiers s’exercent sur le Domaine. Il n’aura que l’embarras du choix,

Elie, (suite et fin)
. Il n’aura que l’embarras du choix, s’il ne veut pas faire d’études. Le Domaine reçoit suffisamment de chercheurs et de scientifiques que même là, il aura le choix. La revanche du faible contre l’Inquisition !

Mustapha,
Pour qui me prends-tu ? Tu as ton mot à dire sur ce forum. Je ne suis rien de + ou de – que toi. La seule chose, apporte quelque chose qui intéresse tout le monde. Chacun de nous a au – une richesse à partager. Samedi prochain, écoute France Inter de 07.°° à 09.°°. Tu me comprendras. Stéphane Paoli est arrivé à glisser : « Le chiffre de la bête 8.8.8. » Réac immédiate : je l’ai insulté. Une connerie que tu peux rectifier. Je viens de le vérifier. Essaie de me le sortir sans aller le chercher. Un album du groupe grec les Aphrodite's Child a pour titre ce nombre avec la voix (quelle voix) de Denis Roussos (entre autres) 1971. Je l’ai reçu en vinyle. Salut. Bonne semaine. David

Elie,
Je n’ai toujours pas compris ta question. Les informations sont traversées de faits horribles. Des enfants congelés, noyés, des femmes broyées à coups de couteau, presque au quotidien. N’aurais-tu jamais vu une femme pressée presque soulever son enfant, ses jambes battant l’air. Tout s’aggrave, si par malheur il rate le trottoir. Fessées. Pleurs. Elle s’énerve et frappe + fort. Cercle vicieux de la violence. Normal qu’il fasse pipi au lit. La violence est là, tapie ! Et des cons de médecins aveugles prescrivent : « Théralène » !
Je n’ai jamais touché à un enfant dans ce sens là. Gilles et moi n’étions pas toute la journée dans le parc. Des ivoiriennes nous portaient à dos. Quand S a abandonné les jumeaux, j’opérais avec mon père de 04.°° à 16.°°. Isolés du monde, la surprise était de taille. Mes amis, le consul espagnol, le directeur de l’hôpital, tous se sont mis en quatre pour eux et moi. J’ai envoyé 2 fax aux tribunaux de Nice et de L, ainsi qu’aux préfectures : DDASS. Le chauffeur du consulat nous a conduits au Domaine. Là tout était prêt pour nous recevoir. Pendant tout le trajet, les enfants (2 ans ½ ) s’accrochaient tellement qu’ils m’empêchaient de respirer. Les portails de ferronnerie étaient ouvertes pour que la voiture soit le + près possible. La dame assumant le mairie a voulu nous séparer, mpossible tellement ils me serraient fort. Sortis, le chauffeur en a pris un sur son dos. Moi le second. Ces dames avaient préparé une soupe de maïs vert à la crème.

Elie, suite
Nous leur avons fait un biberon. Une fois bu, le chauffeur et moi sommes ressortis, les enfants sur notre dos, saluant, un long moment, les espagnols du haras. Nous sommes montés sur le toit du château (à la place prévue pour chanter Noël ou Pâques) et avons regardé les étoiles en parlant aux enfants comme à des malades. Un nouveau biberon. Ils étaient plus détendus. Avec madame le maire, nous sommes montés aux chambres : toilette vite faite, pyjamas, un seul lit, collé à la porte ouverte de ma chambre. Ils ne voulaient pas s’endormir. Torse nu, je leur ai confié mon maillot de corps. Je leur ai raconté une histoire en allemand et chantonné une berceuse Ils se sont laissés aller, tétant le vêtement.
Les dames et nous avons partagé le repas prêt. Madame le maire faisant part de ce qui avait été prévu pour les 3 semaines de « maternité » accordées. Nous étions détendus. Tôt au lit, regardé les enfants paisibles. J’ai pleuré d’amour pour « mes enfants ». J’ai pris conscience de tout ce que cela impliquait de changements dans ma vie. Ces pleurs, du fond de mes tripes, étaient louanges. Ils ne seront peut-être pas juifs, mais le Seigneur me les a confiés, IL l’a fait par amour pour nous 3. Je me suis endormi heureux.
Levé à l’heure habituelle, je les ai réveillés avec un petit biberon pour les changer. Biberons bus, ils se sont rendormis, volets ouverts. Ainsi, pour eux, je ne les avais pas quittés de la nuit. Je les couvais.

Elie (fin)
Quand ils l’eurent décidé, nous avons pris notre petit déjeuner, au bol, tartines au beurre naturel d’une des fermes, confiture maison, le tout coupé en petites bouchées pour respecter leur âge. Toilette vite faite. Nous sommes allés au haras. Inoubliable, la fête. Ceux qui s’inquiétaient du temps de mon célibat m’ont offert un somptueux poulain indomptable, d’un noir lumineux (quelques millions d’Euros). J’allais leur offrir une descendance !
Le chauffeur est reparti la voiture pleine de bonnes choses, avec un bisou des enfants. Ce soir là, nous avons dormi près du poulain. Excuse. J’ai été long. Je t’en dirai plus. Bonne semaine. David