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VidéoGoldnadel pulvérise Gisèle HalimiG.W Goldnadel dénonce le "tribunal" fondé par... Leila Chahid, représentante des organisations arabes en Europe. Gisèle Halimi, rougissante, dément d'une manière surprenante et incorrecte.
80 commentaires
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Ma ze rouah hakodesh ?
Sherout male hassidim!
" il faut se souvenir que, nous, israélites,"
Tu sais ,ce que Daniel,le Juif te dit a toi,l'israelite
Quel plaisir de s'affubler d'adjectif aussi desuet ???
"certaine politique du gouvernement israélien ait des répercussions négatives sur notre intégration dans les pays où nous vivons"
La,tu t'enfonces encore plus dans la decheance
Reste bien en fronce et voile toi bien la face ,et celle de tes filles
Tu suis la droite ligne de george soros,kapot notoire,qui n'a meme pas honte de ses mefaits
Ne pas amettre que l'antisemitisme francais actuel provient majoritairement de l'immigration est un aveuglement d'une stupidite infinie
Mais ,mettre l'antisemitisme sur le dos d'Israel,je n'ai encore jamais lu une affirmation AUSSI STUPIDE sur un site internet,a fortiori Juif ...
Je t'accorde le croissant de Platine avec grande distinction
Daniel,bientot en Judee
Car, si réussie soit l'assimilation, ou l'intégration, elle ne préserve pas des retours de flamme de l'antisémitisme. Sous la Monarchie de Juillet et sous le Second Empire, l'intégration des Juifs français, doublée d'une remarquable ascension sociale semble un acquis que rien ne pourrait remettre en cause : les frères Péreire, banquiers saintè-simoniens ; Achille Fould, ministre de Napoléon III ; Jacques Offenbach, certes venu d'Allemagne, mais dont la musique est le symbole même de la France et de Paris ... Et, là aussi, il faudrait multiplier les noms, les exemples.
Mais rien de tout cela ne prévaut contre l'ouragan d'antisémitisme qui balaie la France au temps de l'Affaire Dreyfus : plus rien ne semble alors tenir de cette intégration. Je ne vous apprends pas que c'est même cet incroyable retournement qui arrache Theodor Herzl à ses illusions sur l'intégration et l'amène à concevoir l'idée d'un Etat pour les Juifs.
En Allemagne, " das Land der Dichter und Denker " , l'intégration semblait encore plus profonde, s'il se pouvait. Et si l'on parle du pays des poètes, il n'y avait pas un Allemand qui n'eût fredonné, un jour ou l'autre, le Lied de Silcher
"il faut se souvenir que, nous, israélites, sommes une minorité et qu'il st bien fâcheux qu'une certaine politique du gouvernement israélien ait des répercussions négatives sur notre intégration dans les pays où nous vivons."
Je n'ai qu'une supplique à adresser à ce pauvre type: "convertis-toi ! quitte la religion juive que tu dégrades,
dès que tu ouvres la bouche, et fous-nous la paix ! Que les choses soient claires ! tu es un peu fou !"
L'intégration ou l'assimilation est donc une illusion - qui peut florir des décennies durant, d'ailleurs - : si haut que soient montés les Juifs dans l'échelle sociale ( songez à Don Isaac Abrabanel ), si parfaite que soit leur fusion avec la langue, la littérature, l'art, la science du payus d'accueil, un moment vient toujours où l'accueil se mue en rejet, où l'antisémitisme fait un retour brutal, et d'autant plus ravageur que l'illusion d'intégration avait été profonde.
Alors, me direz-vous peut-être, si c'est comme ça, qu'est-ce que vous attendez pour faire votre aliya ? - C'est une excellente question, en effet, et je vous remercie de me l'avoir ( presque ) posée ...
Mais il y a encore une chose qui me choque dans ce que vous dites. On peut certes tout à fait légitimement se situer dans la tradition litvake, du côté des mitnagdim, et se sentir très loin du hassidisme. On peut même se sentir proche des maskilim. Mais cela autorise-t-il le mépris assorti de lachon ha-ra à l'égard des 'hassidim ? Car les caractériser tout de go et sans autre forme de' procès comme des " adeptes de la vodka " n'est ni très gentil, ni très juste ( et je passe sur votre plaisanterie à propos de l'odeur de sainteté ... ).
Je trouve, ,finalement, Patrick, qu'il y a au total beaucoup de mépris dans vos propos. et je ne suis pas sûr que
Je ne sais pas s'il y a un aristocratisme comtadin, disons qu'appartenir à un groupe humain très réduit, minorité au sein d'une minorité, incline à ne guère partager les sentiments e la majorité, que ce soit celle du groupe juif ou du groupe français. Je préfère la notion de groupe à celle de peuple. Je ne crois pas à un perple juif, je crois à l'existence de groupes juifs. Je ne crois pas à l'existence d'un peuple français, je crois à l'existence de groupes se référant à l'existence d'une langue et d'une culture indépandamment de ce qu'on appelait jadis la métrople . Michelet a d'ailleurs écrit dans son Tableau de la France quelques belles lignes sur les traits communs entre paysages de Provence et ceux de Judée. J'en ai retenu la luminosité, les pierres ocres et le chant des cigales, ce qui me suffit amplement
Quant ç votre alyah, c'est un choix qui ne regarde que vous. Avec le risque éventuel d'une déception analogue à celle que j'ai éprouvée en allant vivre quelque temps à Aix dont Lunel et Milhaud avaient si bien parlé. L'exil est toujours préférable à l'enracinement
AM ISRAEL HAY
Envoyé par Viviane_005 - le Jeudi 18 Novembre 2010 à 09:28
Je te remercie ma chère Viviane, de ton soutien chaleureux; il m'aide à surmonter la souffrance que nous inflige
P_080 à chacun de ses mots. Je ne juge plus utile d'entamer le moindre dialogue avec lui; j'ai juste envie de prier
dans l'espoir de sauver son âme, mais c'est tout. ...Moi-même, je n'ai pas toujours été compris, ni apprécié ici, mais
je n'ai jamais cessé de vous aimer et sentir que sans vous, je n'existerais pas non plus, en ce qui est précieux en moi.
Avec P.la douleur vient de ce que les amarres sont rompues. Qui peut se sentir relié à lui ? C'est vrai que notre époque produit industriellement, des êtres perdus, mais quand on est juif, comment être perdu ? Même si on se perd; l'antisémitisme nous rappelle qui nous sommes ! Avec P. on le sent réellement perdu, justement parce qu'il est plein de pensées, de convictions, de certitudes, il prend des postures. C'est triste tout celà: croire tenir sur des convictions aussi vides ! c'est vertigineux ! Dès qu'on discutte et raisonne avec lui, on est piégé ! cela le renforce dans ses discours.
Qu'il se séduise lui-même , tout seul ! Bisou Viviane , bonne journée ! Laurent