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Antisémitisme : racisme envers les Juifs & IsraëlCroix gammée sur une annexe du Mémorial de la Shoah à Paris- Une croix gammée a été taguée sur une annexe du Mémorial de la Shoah à Paris, dans le Marais (IVe arrondissement), a annoncé mercredi Bertrand Delanoë, maire PS de la capitale, en dénonçant "une atteinte à la mémoire des victimes du génocide"."Je tiens à dénoncer l'acte commis contre une annexe du... -
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78 commentaires
| Membre Juif.org
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On ne les arrête jamais,mais si cela doit arriver un jour ( inch'allah),on enterre l'affaire puis on les relache.
Pourqu'oi tant d'hypocrisie??????
Yehudit
cest etrange on condanne mais... rien ne se passe reellement..
quelle honte.. tout a fait daccord avec vous..
J’ai survécu, je suis vivant ? Pourquoi moi ? Pourquoi nous ? Nous avons fait notre devoir, mais nous n’avons pas terminé notre tâche.
Notre mission actuelle tant qu’il existe encore des survivants, c’est de témoigner, sans nous glorifier, afin que les générations qui nous suivent, ces jeunes pleins de promesses, sachent les horreurs et les malheurs que peuvent engendrer certains régimes politiques.
Bernard Decleve, déporté au KL-Natzweiler
Classification catégorie III (parmi les plus sévères)
Localisation 60 Km de Strasbourg, Alsace, France
Superficie du camp 4,5 hectares
Altitude 800 mètres
Orientation
nord-est, pente 20%
Climat
été : températures élevées, plein soleil, pas d’ombre
automne : pluies fréquentes, brouillard dense
hiver : vent glacial, températures entre - 10° et - 20°, 1m50 de neige
Gare d’arrivée des déportés
Rothau, 8 Km
Distance par rapport à la carrière
1 Km
Distance par rapport à la chambre à gaz
1,5 Km
Moyen d’accès
la route construite par les déportés
Nombre de nationalités représentées
± 30
Nombre de déportés camp central + camps annexes
± 52 000
Nombre de morts
± 22 000
Taux de mortalité
40%
Effectif normal du camp central
± 2 000 déportés
Effectif du camp central en période d’affluence
± 7 000 déportés
Effectif par baraque
150 à 250 déportés
Effectif par baraque en période d’affluence
650 à 750 déportés
Durée d’internement la plus courte
1 jour
Durée d’internement la plus longue
3 ans et 6 mois (42 mois)
Durée d’internement moyen au camp
entre 1 et 6 mois
Déporté le plus jeune immatriculé au camp
11 ans
Déporté le plus âgé immatriculé au camp
78 ans
Age moyen
20 ans
Uniforme
1 chemise, 1 pantalon, 1 veste, 1 paire de claquettes en bois – souvent sous forme de pyjamas rayés ou alors vieux vêtements civils en provenance d’autres camps
Alimentation
matin : 1 louche de « café »
matinée : sur les lieux de travail, 1 fine tranche de pain noir et 1 fine tranche de saucisson
midi : soupe de rutabaga ou de choux
soir : 1 bout de pain noir
1 fois par semaine : 50g de marmelade
Nombre de blocks
en 1944, 17 blocks
15 blocks en bois : 6 dortoirs, 5 pour l’infirmerie, 1 pour les malades du typhus, 1 bureau, 1 cuisine, 1 de quarantaine ;
2 blocks durs : 1 block cellulaire (de 20 cellules et 12 cachots) et 1 block crématoire
Superficie des blocks
12,50 m de large, 44 m de long
Ergonomie des blocks dortoirs
espace rectangulaire divisé en deux ailes, dans l’une le réfectoire avec 12 tables ; dans l’autre, les châlits de 3 étages, plus une chambre séparée pour le kapo. Au centre, deux vasques pour la toilette et des WC
8 miradors
10m de haut, 3m30 de large, 3m40 de long (12 m2) équipés de puissants projecteurs orientables
Barbelés
- double enceinte, 3m de haut, autour du camp de barbelés électrifiés, 380 Volts
- une troisième enceinte autour du périmètre de sécurité délimite la zone interdite
Encadrement du camp
- 5 commandants entre 1941 et 1944
- 1 garnison de SS Totenkopf (« Tête de mort »)
- environ 80 hommes, officiers, sous-officiers et hommes de troupe
- sentinelles armées de mitraillettes en haut de chaque mirador
Un jour, en rentrant de l'école avec les enfants, un attroupement s'est formé dans la rue. Des brutes en uniforme frappaient un homme sur le pas de sa porte. C'était notre porte, c'était mon homme !
Il a juste eu le temps de me faire signe de passer mon chemin. Son visage était ensanglanté. Il ne m'a pas regardée pour ne pas me trahir. Il a juste fait un signe de la main : " Va, continue comme si de rien n'était ! Pense aux enfants ! " Il a juste levé la main pour me désigner le bout de la rue. Un soldat l'a frappé au visage avec la crosse de son fusil. Il s'est effondré sur le trottoir sans que mon regard puisse, une dernière fois, croiser le sien ... Ils sont passés !
Au bout de la rue, j'ai tiré les enfants par la main. Je me suis mise à courir. Depuis, je n'ai jamais vraiment cessé de courir. J'ai traversé le Rhin. Moi aussi, j'y ai cru à la France des libertés. Elle m'a vite jugée indésirable.
Moi, je ne désirais plus rien, sinon un refuge pour mes petits. Ici, je peux encore les serrer contre mon coeur, caresser leurs boucles brunes. Mais pour combien de temps encore ? Ils sont si faibles. Demain, nous prenons le train. Beaucoup, parmi nous, croient que ce camp est l'enfer. Je crains qu'il ne soit que la porte de l'enfer ! Demain, nous prendrons le train ! Il doit bien y avoir un pays où les gens aux creux des lits font des rêves ...
J. HERREROS
Webmaster
Par pitié monsieur le modérateur, ne laissez plus France s'exprimer. Non seulement elle alimente la polémique de manière désastreuse mais elle blesse par ses propos car il y a des sujets tabous et la Shoah en est un sur lequel on n'a pas le droit de plaisanter! C'est une honte. vous êtes une honte! trouver vos propos malfaisants après ce reportage est insupportable!
Yehudit