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Blog : Michel Garroté

Le pire président de l'histoire des Etats-Unis est à la Maison Blanche

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Michel Garroté - Dans un article intitulé « Le pire président de l'histoire des Etats-Unis est à la Maison Blanche », article daté du mercredi 20 mai 2009, Guy Millière, pour Metula News Agency, se livre, une fois encore, à une très lucide analyse qui lui vaudra quelques ennemis supplémentaires, un motif suffisant pour reproduire intégralement son analyse ci-après : « Obama est le premier président des Etats-Unis essentiellement et fondamentalement hostile à Israël. Il est très difficile d'être premier ministre d'Israël. Particulièrement après les années où Ehoud Olmert a occupé ce poste et mené une politique erratique qui a laissé des traces. C'est tout spécialement difficile maintenant que Barack Obama est à la Maison Blanche. J'avais, suivant en cela l'avis de plusieurs commentateurs américains, considéré jusque là que Jimmy Carter avait été le pire président de l'histoire des États-unis. C'était exact jusqu'à une date récente : Obama a, en quatre mois, montré qu'on pouvait faire pire encore que Jimmy Carter. En ce court laps, Obama a permis au régime des mollahs de réaliser qu'il lui était possible de poursuivre son avancée vers l'arme nucléaire sans le moindre risque ; poussé le gouvernement pakistanais à abandonner une région du pays aux talibans, avant de lui demander de faire machine arrière ; distendu les liens de partenariat avec l'Inde, noués sous George Bush ; montré au Japon que les États-unis n'étaient pas prêts à le défendre face à la menace nord-coréenne ; fait savoir aux dirigeants de Pékin que l'administration américaine ne prêtait plus aucune attention à la situation des droits de l'homme en Chine, et déclaré, à plusieurs reprises, que les Américains avaient, humblement, beaucoup à apprendre de l'islam et du monde musulman. Je pourrais ajouter à la liste la promotion, en partenariat avec Hugo Chavez, d'un livre marxiste inepte d'Eduardo Galeano sur l'Amérique latine, un ensemble de décisions économiques engageant les États-unis sur la voie d'un socialisme à l'européenne, ou l'invitation, comme oratrice au dîner annuel de la presse, d'une comédienne gauchiste, militante de la cause lesbienne, Wanda Sykes. Cette dernière a beaucoup fait rire Barack et Michelle en souhaitant, en direct, la mort du commentateur conservateur Rush Limbaugh. Mais je ne veux pas faire un catalogue exhaustif des facéties dangereuses du nouveau président. En ce qui concerne Israël, Obama procède à des glissements progressifs vers la trahison, et, si des présidents ont, auparavant, eu des attitudes assez nettement anti-israéliennes, Obama est le premier président des États-unis essentiellement et fondamentalement hostile à Israël. Si l'on prend les propos tenus lors de la brève conférence de presse qui a suivi sa rencontre avec Benyamin Netanyahu, on peut noter, outre le ton général paternaliste utilisé par Obama, et au-delà de l'hypocrisie évidente de ce dernier, plusieurs messages nets, constitutifs d'une « doctrine Obama » en gestation. Parmi ceux-ci, le refus de fixer des dates limites aux pourparlers avec la République Islamique d'Iran, le refus de dire que l'option militaire reste sur la table (les seules menaces évoquées par Obama sont des sanctions supplémentaires, ce qui a dû faire beaucoup rire Ahmedinejad). La condamnation des mesures de surveillance étroite et de sanctions mises en ?uvre par Israël (accusé de ne laisser « aucun espoir aux Gazaouis ») ; les pressions pour que Netanyahu saisisse l' « opportunité historique » présente et fasse des « gestes sérieux », non pas vers l'avancée du processus de paix, mais vers « la paix » tout court, donc vers la création rapide d'un État palestinien. Dès lors qu'Obama a fait savoir, de manière redondante, qu'il était favorable au plan de paix arabe proposé par l'Arabie Saoudite, il n'est pas du tout difficile de savoir ce que la « paix » en question signifierait. Abba Eban avait parlé autrefois des frontières de 1967 comme des « frontières d'Auschwitz » : Obama est favorable aux frontières d'Auschwitz. Les États-unis, par ailleurs, viennent de réintégrer le Conseil des Droits de l'Homme des Nations Unies : oui, celui qui vient d'organiser la si remarquable conférence de Durban II à Genève. Ils entendent participer, dans le cadre de l'Onu, comme l'a confirmé récemment Susan Rice, dans la lignée de Rose Goettenmoeller, à un désarmement nucléaire et à une mise en ?uvre stricte de la non prolifération, dans le cadre de laquelle Israël se verrait demander des comptes, ce qui rompt avec quarante années d'accords entre Israël et les États-unis sur ce point. Très significativement, lors de son voyage vers l'Europe et l'Égypte, où il va lire, au Caire, sur son téléprompteur, début juin, un discours que je n'ose imaginer à l'avance, Obama ne passera pas par Israël. Lors de sa récente visite à Washington, Shimon Peres n'a, contrairement aux usages en vigueur et au minimum protocolaire, pas été invité à donner une conférence de presse en compagnie de son hôte, ce qui n'a pas été du tout une marque d'amitié : lui demandera-t-on passer par la porte de service la prochaine fois ? Lors des entretiens que Peres a eu avec Obama, Hillary Clinton a, semble-t-il, été invitée à ne pas venir (parce qu'elle serait trop « pro-israélienne », dit-on à Washington : c'est dire ce que sont les positions des autres). Les discours tenus à Peres sur les implantations israéliennes ont été si durs et si blessants, qu'il s'est, lui, le modéré d'entre les modérés, légitimement mis en colère. Ce qui rassure un peu est que le projet de deux Etats ne peut, au delà des formules verbales, avancer. En dehors des hurluberlus qui ont participé aux « accords de Genève » il y a quelques années, nul ne peut voir sérieusement comment Jérusalem pourrait être divisée : un immeuble pour le Hamas, celui d'à côté pour Israël, bien sûr' ».
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Copyright Metula News Agency
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30 commentaires
J'ai tendance à croire, malgré les signaux incontestablement négatifs ou, à tout le moins inquiétants, qu'il est encore trop tôt pour conclure à un renversement de positions. Barack Obama cherche à gagner en crédibilité auprès du monde musulman ( sur ce point, cf. les remarques de Bernard ) et, dans ce but, il est vrai qu'il en fait peut-être un peu beaucoup, mais ça ne veut pas dire que cette politique ne rencontre pas de limites. La principale, à mon avis, tient dans les éléments de réflexion et de réponse autour de la question : qu'est-ce que les Américains gagneraient à un renversement d'alliances ? ( et à la question connexe : quel prix les Etats-Unis devraient-ils consentir ? )

La " solution à deux Etats " , que tout le monde ( pas seulement Obama ) répète comme un mantra, est, en l'état actuel des choses, une pure vue de l'esprit - ne serait-ce que du fait qu'il n'y a pas deux, mais trois ébauches d'Etat " palestinien " : c'est le moment de répéter la célèbre formule du Président Mao " un se divise en deux " ! Ce n'est donc pas d'une " solution à deux Etats ", mais d'une solution à trois Etats ( Israël, le Fatahland et le Hamastan ) qu'il faudrait parler ... En plus, comme on le sait depuis le coup de force du Hamas à Gaza en juin 2007 et comme on a encore pu le voir pendant et après l'opération " coulée de plomb " , Hamas et Fatah sont, au sens littéral de l'expression, à couteaux tirés. Les services égyptiens s'arrachent les cheveux à tenter, de rapprocher
Envoyé par Edmond_002 - le Jeudi 21 Mai 2009 à 12:47
Je pense aussi qu 'Obama cherche à plaire aux muzz de la planète ...son pays ne lui suffit pas ??
Envoyé par Jacqueline_013 - le Jeudi 21 Mai 2009 à 12:55
( suite ) les deux factions, sans y parvenir le moins du monde et ce n'est pas George Mitchell qui y réussirait mieux. La " solution à deux Etats " suppose que l'Etat " palestinien " soit en mesure de garantir à Israël ( c'est bien le moins ) et une reconnaissance en bonne et due forme, et la sécurité. Sur le premier point, on voit que le Hamas s'y refuse absolument et, sur le second, l'achoppement des négociations entre Fatah et Hamas précisément sur la question des forces de sécurité en dit long sur l'infaisabilité de toutes mesures permettant d'assurer à Israël sa sécurité.
Et puis il ne faut pas oublier que les forces en jeu et en présence sur le terrain ou à proximité immédiate ne se limitent pas à Israël et aux " Palestiniens ". Le Hamas est le bras armé de l'Iran ; et il en va de même du Hezbollah ( sans parler, mais il faudrait en parler, de la Syrie ).

Quant à un éventuel grand " deal " avec l'Iran, auquel renvoient aussi les remarques ci-dessus, il pose la question de savoir ce que les Etats-Unis sont prêts à concéder à une puissance dont les ambitions, régionales stricto sensu mais aussi extra-régionales ( cf. les menées en Afrique sud-saharienne, les amitès de plus en plus poussées avec Hugo Chàvez, Evo Moralès etc. ) s'apparentent de plus en plus à celles qui animaient le Japon des années 30 et 40. L'Iran a les dents très longues et beaucoup d'appétit. Ses dirigeants, et, vraisemblablement, une large partie des couches populaires,
Envoyé par Edmond_002 - le Jeudi 21 Mai 2009 à 13:03
si peti HUSSEIN OBAMA ne compendre pas comme il est devenu president, ici 4 anne c'est fini pour lui,
Envoyé par David_056 - le Jeudi 21 Mai 2009 à 13:22
sont aussi dans une sorte de rêve millénariste : la désoccultation de l'imâm caché, la venue du Mahdi et, en tout cas, la perspective d'une expansion planétaire de l'Islâm, particulièrement sous sa forme shî'ite. C'est dire que leurs ambitions ne sauraient être satisfaites par la concessions de quelques rogatons - d'autant plus que la possession prochaine de l'arme nucléaire leur donne les moyens d'appuyer leur triomphalisme et leurs exigences de tous les chantages imaginables.

C'est pourquoi l'issue et le succès des négociations qu'Obama veut ouvrir avec l'Iran sont rien moins que garantis d'avance. Notamment sur la question cruciale du nucléaire, les mollahs n'étant certainement pas prêts à se priver d'u tel atout ( comment n'auraient-ils pas tiré enseignement du chantage que la possession de l'arme atomique permet à la Corée du Nord, y compris à l'égard des Etats-Unis ? )

D'ailleurs, la réaction, hier, de l'administration américaine à la nouvelle du lancement réussi par l'Iranj d'un missile à moyenne portée montre que les Etats-Unis n'ont pas vraiment baissé leur garde.
Un point encore peut être noté : si les Etats-Unis n'ont pas accédé à la demande israélienne de fixer une " deadline " aux négociations Iran-Etats-Unis, ils ne l'ont pas non plus totalement ignorée puisqu'Obama a indiqué la fin de l'année 2009 comme période à partir de laquelle les Etats-Unis pourraient être amenés à reconsidérer ces négociations.
Envoyé par Edmond_002 - le Jeudi 21 Mai 2009 à 13:34
(suite) Bien sûr, il faut attendre de voir ce que dira barack Obama au Caire le 4 juin ( si je ne me trompe pas sur la date ...). Mais je crois que, là aussi, Obama ne peut vouloir apparaître en " maître du monde " dictant ses ordres ... Et que ses hôtes des bords du Nil pourraient bien eux aussi demander ( ô certes discrètement ) des garanties contre le danger d'un expansionnisme irano-shî'ite nucléaire qui les a dans sa ligne de mire.

Pour conclure, je dirai que je crois que rien n'est joué, rien n'est encore définitivement arrêté, fixé. Et, à mon avis, la diplomatie israélienne ( " Bibi " + Lieberman + Daniel Ayalon ) agit très finement, très habilement, sans négliger aucune carte : elle est loin, très loin, d'avoir perdu la partie, à ce jour.
Envoyé par Edmond_002 - le Jeudi 21 Mai 2009 à 13:45
Nouvelles au 19 mai

80 % des électeurs d'Obama sont favorables à des pressions accrues sur Israël (Sondage Zogby) et 67 % des électeurs d'Obama sont favorables à un dialogue avec le Hamas.


La rencontre Obama- Netanyahou. Difficile pour plusieurs motifs:
- il est clair que Obama traite en priorité ses problèmes économiques internes.
- dans la logique capitaliste américaine qui est le fondement de l'Etat, il a opté pour le maximum de contrats économiques possibles avec le maximum d'Etats dont les Etats arabes et non pour le seul Etat d'Israël.
- et même envers l'Iran, apparemment, dans la mesure où cela peut sembler bon aux pays arabes: un lachage d'Israël et un choix des pays arabes avec leur plan.
- les meilleurs analystes certifient ces choixcomme déjà fixés et qui sont aussi ceux personnels de Obama. Donc est finie l'époque de ce que l'on appelait "l'amitié US-Israël".
- concrètement, les analystes disent que Obama sera dans des bonnes paroles avec Bibi, certifiant qu'il ne peut pas décider de la sécurité d'Israël et laissera israël agir comme il l'entend en ce domaine. Mais, en fait, toute son équipe a déjà le feu vert pour mettre en jeu et réaliser la politque arabe totalement contraire aux intérêts d'Israël en ce qui concerne ses défenses mais aussi son existence.
- bien plus Obama n'exigera pas d'ISraël de prendre des mesures parfois terribles pour sa survie mais qui retourneront contre elle toutes les nations. Car Israël sera isolée. Obama le sait, l'organise.
- Péres est allé aux USA et a favorisépar son discours l'appui à la politique d'Obama en pronant les deux Etats alors qu'il sait pertinemment lui qui a organisé les fondations de l'arrivée du Hamas à Gaza par Oslo que c'est entourer Israël de hordes ne voulant que la destruction d'Israël et il a proné auissi la remise de territoires internes au Vatican, le don à ces pays des zones de défenses d'Israël qui sont des territoires immensément vides où les populations arabes ou dites "palestiniennes"sont placées dans des zones très réduites de ces territoires.
- Barak organise aussi cette même politique en pressurisant les zones habitées par des Juifs dans ces zones immensées.
Dans ce contexte, évidemment,
- les nations se liguent contre Israël
- les Juifs de la diaspora ne réagissent pas pour israël mais s'enferment dans des luttes contre l'islamisme radical dans leurs pays pour défendre la civilisation européenne ou américaine, mais ne viennent pas davantage faire vivre Israël sur place: un lâchage effectif et historique terrible et on n'entend aucun ou presque leader spirituel ou communautaire de la diaspora lancer l'appel aux Juifs de ces communautés pour venir rapidement vivre en ISraël selon les valeurs de la Torah. - alors, les Arabes d'Israël, imaginant la fin d'Israël se liguent entre eux dans un courant nouveau: la destruction d'Israël et le sondage publié aujourd'hui et réalisé par l'Université de Haïfa révèle des données plus qu'inquiétantes et qui prouvent la mobilisations massives des Arabes d'Israël contre l'Etat:
- 40% des Arabes israéliens nient la Choa.
- 65% ne reconnaissent pas l'Etat d'Israël.
-13% sont favorables à la violence contre l'Etat.
- 40% sont prêts à manifester contre l'Etat massivement.
- 47% sont opposés à ce que leurs enfants soient dans des écoles où ils seraient en contact avec des Juifs israéliens.
- ils refusent Israël comme Etat et comme Etat juif.
- ils ne veulent pas vivre non plus auprès de voisins juifs.

Belle réussite que le plan des nations et de la gauche extrêmiste israélienne qui, d'ailleurs, de Mérets au parti travailliste, n'a quasiment pas reçu de mandats des Israéliens cette fois.

Mais le mal est fait et Péres continue de le promouvoir et il reçoit l'appui des honneurs de la diaspora.
Sachez que seulement 31% des Israéliens considèrent que Obama est pro-ISraël (Lien ici).

Que comprendre, que faire?

Nous sommes arrivés au point annoncé dans la Bible clairement où, si les Juifs ne vivent pas selon la Torah sur leur terre, les nations se grouperont contre le peuple juif où qu'il soit. Et les nations nous le rappellent sans cesse: l'utilisation du médicament du souvement de la Choa pour justifier l'Etat d'Israël, ils ne veulent plus en entendre parler.

C'est donc le problème de fond qui est vraiement posé, et cela comme la Torah nous en avait prévenu..Allons vite étudier la paracha de la semaine Bémidbar et faire nos choix de ie en conséquence. Sinon, nous savons clairement ce que l'histoire nous réserve et nous ne pourrons plus jamais dire: nous ne savions pas. Tout le bonheur est possible et dépend seulement de nous car HAchem a tout donné mais nous...

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Nouvelles au 13 mai
Tentative du Vatican de déplacer le problème des tempêtes soulevées par le discours du Pape à Yad VaChem. Avec vigueur le porte parole du Vatican déclare que jamais le Pape n'est entré dans les jeunesses hitlériennes de son plein gré. Effectivement, les historiens ont trouvé les traces des protocoles d'enrôlement avec la mention "contraint" et il serait de mauvaise foi de jouer contre le Pape sur ce point. Autre diversion, réalisée cette fois par des sites de rapprochement judéo-chrétien: ils citent toutes les bonnes paroles du Pape en Israël pour noyer le véritable problème qu'a créé soi-même le Pape par son discours et qu'à relevé immédiatement le Rav Lau qui est un personnage mesuré et toujours pour les compromis et a le respect d'autrui: le fait que le Pape n'a pas demandé pardon pour l'attitude de la Papauté dans l'histoire, dans la Choa avec Pie 12, le fait qu'il a volontairement falsifié par le terme de "tués" au lieu d'exterminés et assassinés, etc et se place ainsi dans le courant des "minimiseurs" lui qui a réintroduit un négationniste et a dû reculer seulement par la tempête soulevée et qui, précisément, a osé ensuite faire ce discours où tout était bien pesé et où ce qui qui manquait ou était faux a son importance énorme.
C'est uniquement le problème et il est malhonnête de déplacer le problème.
Autre point de polémique en ISraël dans ce contexte: selon son habitude d'aller dans le sens des autres, le Président Péres travaille pour que l'on remette au Vatican la propriété des lieux ayant un rapport avec le christianisme y compris des montagnes. Est-ce que l'Italie ou la France remettent à des pays étrangers des lieux de leur territoire national? C'est la politique continue d'Oslo: deviser le territoire d'Israël par tous les prétextes et les remettre à d'autres qu'aux Juifs.
C'est écrit dans nos textes que nous sommes un peuple difficile. Et cela a un sens car nous créons les problèmes et il faut ainsi aller au fond des choses, pour le bien. Mais nos textes disent aussi "eine ménou'ha la tsadiqim, il n'y a jamais de repos pour les justes".
Envoyé par Judith - le Jeudi 21 Mai 2009 à 19:52
ouvelles au 11 mai
Obama se révèle
1.

Caroline Glick ,
THE JERUSALEM POST -
Adaptation française de Sentinelle 5769

Des vents arctiques soufflent sur Jérusalem depuis Washington ces jours-ci. Alors que la visite du Premier Ministre Benyamin Netanyahou le 18 mai à Washington approche, l’administration Obama accentue sa rhétorique anti-Israël et travaille fébrilement à coincer Israël dans un corner.

Utilisant la conférence annuelle de l’AIPAC en toile de fond, cette semaine l’administration Obama a lancé son attaque la plus sévère contre Israël à ce jour. Cela a commencé par des articles de media rapportant que le conseiller national à la sécurité, James Jones a déclaré à un ministre des affaires étrangères européen que les USA projettent de monter une coalition anti-Israël avec les Arabes et l’Europe pour obliger Israël à rendre la Judée, la Samarie, et Jérusalem aux Palestiniens.

Selon ‘Haaretz’, Jones, dans un câble classifié du ministre des affaires étrangères, aurait déclaré à son interlocuteur européen : « La nouvelle administration convaincra Israël de faire un compromis sur la question palestinienne. Nous ne pousserons pas Israël sous les roues d’un bus, mais nous serons plus contraignants envers Israël que sous l’ère Bush ».

Puis il expliqua que les USA, l’UE, et les Etats arabes modérés doivent déterminer ensemble ce que sera une « solution de fin de partie satisfaisante ». Pour Jones, Israël devrait être mis à l’écart de ces discussions et se voir simplement présenter un ‘fait accompli’ qu’il sera obligé d’accepter.

Les évènements de la semaine ont montré que la déclaration de Jones était une description exacte de la politique de l’administration. D’abord, le médiateur du quartette Tony Blair a annoncé que d‘ici six semaines, les USA, l’UE, l’ONU et la Russie dévoileront un nouveau cadre pour établir un Etat palestinien.

S’entretenant avec des journalistes palestiniens mercredi, Blair déclara que ce nouveau cadre sera une initiative sérieuse parce que « on y a travaillé aux niveaux les plus élevés dans l’administration américaine ».

De plus, nous avons appris cette semaine que l’administration essaie d’obtenir que les Arabes eux-mêmes écrivent le nouveau plan du Quartette. Le journal ‘Al-Quds al-Arabi’ édité à Londres a rapporté mardi que, agissant au nom d’Obama, le roi Abdullah de Jordanie a pressé la Ligue Arabe de mettre à jour le soi-disant plan de paix arabe de 2002. Ce plan, qui appelle Israël à se retirer de Jérusalem, de Judée, de Samarie et des Hauteurs du Golan, et à accepter de millions d’Arabes étrangers comme citoyens comme part d’un soi-disant ‘droit au retour’ en échange de relations ‘naturelles’ avec le monde arabe, a été rejeté par les gouvernements israéliens successifs comme un subterfuge diplomatique dont le but est la destruction d’Israël.
Envoyé par Judith - le Jeudi 21 Mai 2009 à 19:56
Nouvelles au 10 mai


1. Un grand branle-bas se produit dans le monde depuis la venue de Obama au pouvoir, ses fluctuations incertaines ou délibérément doubles qui sont verbalement en faveur d'Israël mais concrètement en faveur du plan arabe de deux Etats (ce qui veut dire pour eux un Etat arabe musulman sans aucune place pour les Juifs sinon la mort - et un Etat soi-disant juif mais où les musulmans et arabes ont aussi le droit de vivre en n'acceptant pas Israël et, par ailleurs encore, les pays arabes reconnaissant Israël mais continuant à lutter contre son existence, tandis que les Islamistes radicaux ayant de plus en plus de pouvoir en Europe, affirment carrément vouloir réaliser la volonté de D.ieu qui est le massacre des Juifs et des autres non-Musulmans.
Voyez pour ces mots qui ne sont pas des positions politiques de notre part mais les faits les nombreux documents videos recueillis par le meilleur des sites MEMRI sur les chaînes de télévision arabes et donc où on ne peut accuser d'être partial ou falsificateur). Donc, ne vous dispersez plus en de multiples débats où la dialectique n'est que l'insistance jonglante sur quelques paramètres mais l'oubli des autres, allez vraiment explorer ces documents de Memri et vous y découvrirez aussi un courant montant à l'intérieur de l'arabisme et du monde musulman de hauts dignitaires religieux (non pas en Europe mais au coeur des pays arabes et musulmans), qui protestent contre le radicalisme montant, falsifiant l'islam lui-même et l'intelligence.

Et de plus la liste est longue des mesures obtenues en Europe par ces musulmans pour supprimer de l'enseignement et de la vie publique toute mesure que l'on estime désormais comme portant atteinte à la sensibilité de ces nouvelles honorables personnes, comme toute référence ou enseignement de la Choa, comme ce qui ne serait pas l'application de la charia musulmane dans ces Etats laïcs.
Ce qui est encore plus étrange mais non plus surprenant, c'est que le Président d'Israël qui doit n'avoir qu'une fonction de représentation honorifique de l'Etat, double la position exécutive du Chef du gouvernement et mène dans le monde une campagne publicitaire pour ces deux Etats afin de mettre le plus possible le gouvernement et le peuple d'Israël devant un fait accompli de l'immense pression mondiale sur Israël. Cela semble plus que surréaliste mais, non car c'est simplement la fonction de Président de l'Etat détournée vers la politique partisane d'Oslo dont Péres fut le promoteur obstiné. - En Israël, la préparation du budget n'est pas un simple débat mouvementé comme dans tous les pays démocratiques, mais, contrairement aux promesses électorales qui bien entendu bernent ceux qui veulent bien se faire rouler dans la farine, le gouvernement a reçu du Trésor la proposition de budget qui commet les restrictions nécessaires en raison de la crise mondiale sur les pauvres, les rescapés de la Choa, l'éducation, les handicapés, etc: une écoeurante et vulgaire manifestation du capitalisme sauvage. On craignait cela avec les précédents de Netanyahou mais cela a déjà été sauvagement trop loin, au point que nombre de ministres ont vraiment hurlé sur les radios et télés pour s'y opposer. Bibi, roi des mots, maintiendra-t'il son jonglage bien connu ou sera-t'il contraint de rectifier. Cela choque d'autant que des dizaines de millions de chéqels vont été dépensés pour la visite du Pape qui a favorisé le négationiste de la Choa, qui avait dès le début de son mandat certifié qu'il travaillerait à effacer la tâche noire placée sur son pays, l'Allemagne et qui refuse obstinément que les chercheurs accèdent aux archives historisques plus de 60 ans après la Choa qui pourraient éclaircir le rôle déclaré comme ambigû, double ou silencieux colloborateur de fait ou au contraire lavé de spoupçon de Pie XII. Et nombre de rabbins vont payer des publicités dans les journaux pour souhaiter la bienvenue au Pape alors que l'on annonce aussi qui'il se prêtera aux manoeuvres publicitaires de la cause palestinienne anti-israélienne comme il l'a fait au Vatican en revetant le symbole vestimentaire des Palestiniens. En effet il aurait l'intention de se rendre devant le mur de séparation anti-terroriste que les militants palestiniens anti-Israël définissent dans le monde comme étant un signe d'aparteid. Quel monde de médias qui bernent ceux qui ne demandent qu'à se laisser berner par les médias. On comprend que parfois, en France par exemple, même des émissions populaires en ont plus qu'assez de ces manipulations médiatiques mensongères et le crient dans leur style populaire typiquement français (lien ici).

Quant à nous, nous devrions trouver dans la Torah de vérité (Torate émete) les moyens et la force pour être des phares éclairants et solides sur notre rocher dans ce monde de manipulations virtuelles, carnavalesques mais sinistres et criminelles. Toute la dynamique des années 1933-1940 est remise en place en Europe mais cette fois-ci, l'alliance de Hitler- du propagandiste Goebbels et de l'Iman de Jérusalem Husseini ne se limite plus à ces zones géographiques mais elle atteint l'ensemble du monde occidental et moyen-oriental
Ce ne sont pas les armes ni les politiciens qui nous sauveront ni les seules campagnes de contrage médiatique ou de brossage des chaussures des Chefs d'Etats occidentaux qui réussiront à retourner l'histoire mais uniquement notre fidélité à la Torah, d'abord en allant la vivre vraiment en Israël et pas seulement en vacances ou dans un seul sionisme politique sécuritaire agressif, lieu qui est tellement important pour le Pape et pour les musulmans et que la moitié du peuple juif abandonne de fait (et eux le savent et en jubilent).
Ne continuons pas à saboter la survivance de notre peuple, il y a des heures où cela n'est plus possible, quand les autres veulent se substituer à nous et par notre mort. Et le problème est précisément celui-là et on vit un tournant de l'histoire où on ne peut pus se contenter de se camoufler dans les wagons que les autres nous préparent avec flonsflons. Nous connaissons l'histoire, et la Torah, tout y est clairement écrit et les acteurs sont montés sur la scène . Nous ne pourrons plus dire: nous ne savions pas. Nous ne pourrons plus mentir encore une fois en accusant le "silence de D.ieu".
Envoyé par Judith - le Jeudi 21 Mai 2009 à 19:59
Les commentaires que je viens de mettre en ligne sont extraits du site modia.org
Envoyé par Judith - le Jeudi 21 Mai 2009 à 20:01
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 10 minutes