Blog : Votre juriste en Israel

Ce qu'il faut comprendre, à la base, le catholicisme est conçu et dessiné pour conquérir des peuples par le truchement de conversions forcées, il ne s'agit même plus vraiment de prosélytisme mais de colonisation de la pensée, ce n'est en tout cas pas par le dialogue que la quasi totalité des catholiques le sont devenus Ce n'est pas non plus suite à une réflexion mais par l'imposition de ce culte ou la mort.
Dés lors, comment pourrait on parler de dialogue basé sur l'imposture. L'ampleur de son emprise sur les peuples et nullement le fruit de dialogues, que je sache, mais le fruit de conversions forcées, donc nous sommes confrontés à une méthode de conversion quantitative fonctionnant sur un dictat hiérarchique, l'essence même du catholicisme et le refus incarné de toute forme de dialogue, dans l'unique but de régner à grande échelle, ce dialogue est impraticable, pour cette raison l'église à tout au long de son histoire utilisé le concept de la publicité mensongère. Ils parlent d'amour du prochain, de la Thora, du culte de la charité uniquement pour s'enrichir en proscrivant toute forme de réflexion, de remise en question des fonctionnements dictés par une autorité supérieure.
Dans ce contexte, comment parler de dialogue possible avec, alors que toute cette organisation a basé ses modèles de fonctionnement sur l'absence absolue de toute forme de communication possible, sous peine de mort. Il s'agit d'une prison de la pensée où toute forme d'exception est bannie d'office !

Le dialogue, est la base de la pratique de l'étude de la Thora, lors de Talmud Thora, le maître et l'élève consacre la plus grande partie de leur temps à la pratique de la rhétorique, dans laquelle s'affrontent les questions et les réponses, c'est la une des principale richesse de la pratique de Talmud Thora, de l'étude des textes sacrés. Le but des ces textes sacrés est de résister à la critique et aux générations, les interprétations ne peuvent de cette façon que s'enrichirent et s'adapter à la pluralité des esprits venus à sa conquête.
Dans les pratiques des goyim, le fonctionnement est diamétralement à l'opposé de cette démarche évolutive, les buts ne sont pas les mêmes, d'un coté, il s'agit de faire grandir les âmes, développer les facultés intellectuelles, affuter l'esprit critique, augmenter les défenses par la gymnastique mentale, le débat autours des questions juridiques, la liste ne pourrait qu'être exhaustive.
De l'autre coté, le catholicisme a prit le Judaïsme comme base afin d'inverser systématiquement toute les modèles de la culture Juive. Le catholicisme est exactement le contraire du judaïsme, son étude est rigide, statique, hiératique, inamovible, la critique est factice, le juridique est compromit à des intérêts ne prenant pas en compte les critères humains, anéantir l'esprit critique sous peine de mort où d'excommunication ce qui revenait aux même car leurs sorts était la torture létale.
L'appauvrissement des âmes, l'hypocrisie systématisée !

Le catholicisme s'est construit sur autour du pouvoir absolu, centralisé et et inconditionnel, comme l'était l'empire romain avant l'avènement de l'église romaine. L'empire romain à juste pratiqué un relooking superficiel, vu que son commerce d'idoles hellénistes ne tenait plus face à la notion de D.ieu Unique. Cette empire frappé par la décadence à transformé l'observation du Judaïsme en une pratique décadente, il s'agit de l'imposition d'un système fabriqué à la hâte, sans passé ni expérience, ni d'ailleurs aucune volonté de parvenir à quelques formes de sagesse qu'il soi, au contraire.
Le catholicisme est une extension de la dictature romaine et rien d'autre.
L'empire romain ne pouvant plus continuer dans la décadence dans laquelle elle avait abouti, a feint de puiser dans le Judaïsme les mythes fondateurs d'un développement "nouveau" modernisé dont les fondations sont inexistantes et doivent obéissance à des dogmes sans remise en question.
Donc le catholicisme exclut toute forme d'interrogation, la moindre remise en question dans ce labyrinthe de faux dans les titres, déstabilise l'ensemble des fondations de l'édifice.
Avec le catholicisme, il suffit, au hasard de traiter un seul mot de ses texte pour anéantir l'ensemble de sa doctrine, c'est un château de carte maintenu que par le dictat d'une entreprise hiérarchique, comme toute dictature.
Pourquoi cette pratique disparait au fur et à mesure du développement des démocraties ?

BOLIVIE - Le 21 janvier 2006, Evo Morales était béni par les dieux andins, lors d'une cérémonie précolombienne. Assiste-t-on au rétablissement officiel des croyances ancestrales?
Avec la spectaculaire victoire d'Evo Morales à la présidentielle de Bolivie, les Amérindiens, victimes d'un ethnocide, massacrés, exploités, relégués au plus bas de l'échelle sociale, ont reconquis le devant de la scène latino-américaine. Fier de ses racines aymaras, le nouveau chef de l'Etat a légitimé son investiture par une cérémonie religieuse précolombienne, le 21 janvier, sur le site pré-inca de Tiahuanaco, près de La Paz. Evo Morales s'y est senti «connecté avec la force» des divinités, et a promis de tout faire pour éliminer «l'historique exclusion» des peuples indigènes des Andes. Comment comprendre ce recours à la religiosité populaire?
Lors de la cérémonie, Evo Morales est apparu vêtu d'une tunique rouge et d'une coiffe à quatre pointes, réplique des costumes andins précolombiens, confectionnée grâce à la technologie numérique. Il a remercié la Pachamama, la Terre nourricière, pour sa victoire. Puis il a reçu d'un chaman le bâton du commandement indigène, lui confiant l'autorité suprême sur les peuples andins. Des milliers de quechuas, aymaras et guaranis, du Pérou et de Bolivie, étaient venus acclamer «leur» chef.

Message de Radio Vatican du 22 août 2009 :

C’est un signal positif : après des mois de tractations, une convention de coopération a été signée jeudi en Bolivie entre les évêques catholiques et le gouvernement du président socialiste Evo Morales, dans le cadre de la nouvelle constitution. Cet accord règle la question des œuvres de l’Eglise en matière d’éducation, de santé et de service social. Selon le cardinal Terrazas, président de l’épiscopat bolivien, cet accord signé en présence d’invités spéciaux et de la presse, va permettre à l’Eglise de poursuivre et même d’améliorer son travail en faveur des plus nécessiteux. Pour les catholiques - a ajouté l’archevêque de Santa Cruz – l’annonce de l’Evangile passe aussi par des œuvres concrètes de promotion humaine. Les relations entre l’Eglise et le gouvernement d’Evo Morales – au pouvoir depuis janvier 2006 - n’ont pas toujours été au beau fixe. D’où l’importance de cet accord pour l’épiscopat bolivien qui s’engage à œuvrer pour le bien commun du pays. En Bolivie, l’Eglise dirige quelque 1.500 écoles et instituts de formation et 600 œuvres sociales et sanitaires. Elle gère actuellement une cinquantaine de projets de développement dans les régions rurales et auprès des autochtones, financés en grande partie grâce à la solidarité des catholiques des pays plus riches. fin

Qui y a t-il de spirituel ? Que de la politique de colonisation cachée derrière la charité !

Le Brésil et l'évangélisme !

On ne parle plus que d’elles. Nouvelle puissance religieuse dans le pays le plus catholique au monde, les Églises évangéliques brésiliennes comptent aujourd’hui plus de 30 millions d’adeptes soit plus de 20% contre 6% en 1980, ces chiffres sont évidement faussés car l'église catholique considère que la majorité des indiens sont catholiques, ce qui est absolument faux dans les faits, il ne s'agit que de baptêmes négligeant toute forme de pratique.
Les diverses organisations évangélistes, spécialement celles de tendance pentecôtiste, sont concentrées à la périphérie des grands centres urbains et dans les zones agricoles limitrophes, où les émigrants, géographiquement et culturellement déracinés, abandonnés par les pouvoirs publics, sont à la recherche de meilleures conditions de vie. Malgré la présence des classes moyennes, les revenus et la scolarité des fidèles pentecôtistes renvoient à une religion de pauvres pour qui la conversion est synonyme de bénéfices matériels (nouveaux liens sociaux) autant que symboliques (un nouveau sens donné à la vie). Ce processus de conversion religieuse, qui modifie la vie privée, a envahi l’espace public.
Il est très rare de trouver de jeunes brésiliens baptisés déclarant leurs foi dans le catholicisme, au contraire, ils expriment de la répulsion, le catholicisme est le principal obstacle à la conversion a la foi évangélistes, le travail doit être fait sur la différenciation entre christianismes !

L'un des objectifs prioritaire de l'église catholique depuis le 14 ème siècle est de contrôler les registres civiles, des naissances, des mariages et des décès, cette mainmise absolue de l'église a été abolie par la mise en place de 'ordre napoléonien. Egalement, les catholiques ont appelés du nom de Bible l'ouvrage qu'ils diffuses à leurs fidèles, il s'agit d'un ouvrage contenant des traductions frelatées pour la plupart, du Pentateuque et de leurs évangiles. Le Pentateuque appartient à la liturgie sacrée Juive et a été volée par l'église catholique afin de promouvoir honteusement leur propagande mensongère. Certaines cours de justice font utilisation du Pentateuque afin de faire sermonner les témoins et inculpés, lors de leurs procédures semi-païennes ou païennes !
Les droits mécaniques sur cette liturgie sacrée appartiennent au peuple Juif et à Israel pour le moins et son utilisation ou son impression doit être fait sous certaines conditions nécessitant l'approbations de Rabbinats !
L'état d'Israel à le devoir de réglementer l'utilisation de nos écritures sacrées afin d'éviter tout sacrilèges fait au nom de pouvoir étranger à notre morale culturelle.
Cette usurpation constitue un dol permanent, une preuve de l'imposture de cette église issue d'aucun dialogue fait sans aucune forme de contrat avec les Rabbinats. Comment dialoguer avec des imposteur, il faut remettre "l'église au milieux du village", en empêchant cette imposture comme bien d'autres, avant de dialoguer !

Tout juste Moshé , objectif et vrai !

Moshé, bonsoir. Je trouve votre approche du christianisme extrêmement rigide et - pardonnez-moi - un peu simpliste. On pourrait discuter longuement la plupart de vos affirmations, qui me paraissent trop tranchées. Je vous donnerai un exemple : la question des conversions au christianisme. Il n'y eut pas, loin de là, que des conversions forcées : les premières communautés chrétiennes ne résultaient pas de conversions forcées.

A l'époque où le christianisme devient la religion officielle de l'Empire romain ( en gros, au IVè siècle de l'ére commune ), l'Empire connaît certes, des difficultés d'ordres divers ( économiques, sociales, militaires, politiques, etc.), comme il en a connu à d'autres périodes, mais on est très loin de pouvoir parler d'une " décadence " .

Sur un tout autre plan, je crois que les dictateurs et les tyrans essaient volontiers de s'abriter sous le manteau d'une idéologie ou d'une croyance. Hugo Chàvez, qui pose au nouveau Castro ( et qui, en tout cas, est l'homme de l'Iran sur le continent américain ), se présente comme l'héritier moral et politique du plus célèbre des Libertadores, Simon Bolivar - ce qui est une pure imposture. Quant à Evo Morales - allié de Chàvez et, lui aussi, très lié à l'Iran - il pose démagogiquement au continuateur des cultes incas ; en fait, c'est surtout le patron de la production de coca et il illustre l'alliance maintenant étroite entre guérillas néo-castristes - les FARC vénézuéliennes -, narcos et minorités sh