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Communauté JuiveQui est Juif ?Un cas banal d'admission scolaire a poussé la justice britannique à s'interroger sur les fondements du judaïsme. Tout a commencé lorsqu'un élève a présenté son dossier pour être admis dans une école juive de Londres. Enfant de père juif et de mère convertie au judaïsme par un rabbin libéral et non orthodoxe, il n'est pas juif selon les critères orthodoxes (le judaïsme se transmet par la mère, et les conversions libérales ne sont pas considérées par les orthodoxes comme de vraies conversions). L'école, qui a le droit lorsqu'elle reçoit plus de dossiers qu'elle ne peut admettre d'élèves, ce qui fut le cas, de favoriser les élèves juifs, a refusé le dossier du garçon. La famille porte alors plainte pour discrimination et perd- jusqu'à ce que la décision soit rejetée en appel, et que la Cour affirme que les tests auxquels l'Ecole recourait étaient par définition discriminatoires. Toute la question était de savoir si le judaïsme de l'enfant était basé sur sa religion, ce qui est légal, ou sur sa «race» ou son «ethnie», ce qui ne l'est pas. Puisque l'enfant échouait le test, non parce qu'il ne pratiquait pas ou ne se sentait pas juif, mais parce que sa mère ne l'était pas assez, la Cour décida que ce test était discriminant. Le principe de juger un élève juif en fonction du judaïsme est donc rejeté; or c'est toujours le judaïsme de la mère qui a prévalu dans la religion juive pour décider du judaïsme d'un enfant. L'école a saisi la Cour Suprême qui devrait rendre sa décision avant la fin de l'année. «Il pourrait s'agir là de l'affaire la plus importante de l'histoire moderne des Juifs britanniques», explique Stephen Pollard, rédacteur en chef du journal américain Jewish Chronicle interviewé par le New York Times. «Cela aborde directement la question du droit du gouvernement à intervenir dans la façon dont fonctionne une religion». [Lire l'article complet sur le NYTimes] Vous souhaitez proposer un lien complémentaire sur ce sujet ou sur tout autre sujet d'actualité? Envoyez-le à infos @ slate.fr Image de Une: Un rabbin dans une synagogue à Jérusalem; Reuters/Baz Ratner 209 commentaires
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"pourquoi le monde descend-il apparemment vers l'abîme ? Ecoute mon fils, les Sages ont enseigné dans la Michna que quand un guér vient pour entrer dans le judaïsme, il faut lui tendre la main et l'amener sous les ailes de la Chékhina ; car ainsi les guérim de chaque génération sont des témoignages pour cette génération".
On peut entendre aussi en ce sens ce qui est dit des guérim qui continuent leur démarche et étudient la Torah et sont mis à égalité de poids avec le Cohén gadol (guérim ché ôsseqim ba Torah chéqoulim hém ké Cohen gadol. Tan'houma sur la paracha Vayaqel 8). Il ne s'agit donc pas là d'un auteur mais d'une fonction interne pour le bien du peuple.
En ce sens, quand le Machia'h sera venu et que la valeur de la Torah apparaîtra clairement aux yeux du monde entier au point de donner une estime sans borne à chaque juif, alors on n'acceptera plus de conversion. Et il serait également trop difficile de la faire avec une intention désintéressée. C'est le motif pour lequel aux temps de David et du roi Salomon, on n'a pas accepté de conversion (Yébamote 24 b : guérim lo qiblou lo bimé David vé lo bimé Chlomo).
Attitude selon la Torah. Amour
L'attitude d'amour est une obligation selon la Torah : "tu aimeras le guér" (Dévarim 10, 19) et "tu ne l'oppresseras pas ni ne l'importuneras pas" (Chémote 23, 9 et Vayiqra 29, 33). L'exemple est donné par Hachém lui-même qui "aime le guér" (Psaume 146, 9).
Honneur
Hachém honore le guér de même que celui-ci a honoré Hachém en venant chez Lui (Bamidbar Rabba 8,3 sur I Samuel 2, 30 et Psaume 50, 23.
Le Middrache Bamidbar Rabba 8, 2 décrit par de nombreux exemples de versets parallèles comment le guér est aimé exactement dans les mêmes termes du texte qu'Israël lui-même :
J'ai moi-même demandé si mon fils pouvait intégrer une école juive, étant un peu comme cet enfant, son "géniteur" seulement étant juif.
On m'a dit que non.
Vous n'êtes pas sans savoir, en tout cas c'est le cas sur Nice, que les écoles juives n'accueillent qu'une petite partie des enfants de la communauté, manque de places, manque de personnels, peut être manque d'aides aussi ? Il me semble qu'elles n'accueillent que 1 enfant sur 5 !
Alors, entrez dans une synagogue orthodoxe, vous y trouverez un accueil chaleureux, on vous servira du cola, de l'eau, du jus d'orange, on vous donnera des chips, ... Vous serez très bien accueilli !
Il est évident que l'enseignement ne peut pas être ouvert à tous, et qu'ils doivent faire quelques restrictions pour rentrer.
Je pense que ces personnes ont voulu faire parler d'elles, en montrant du doigt une communauté déjà trop jugée par diverses groupes antisémites et des informations anti-sionistes, et que si elles aimaient réellement Israël, elles auraient fait preuve de sagesse et de compréhension !
Selon la hala'ha, ce qui permet à l'enfant d'avoir sa neshama juive c que la mère le soit. Et pour qu'elle le soit elle doit etre soit convertie de façon consitoriale, ou bien elle meme deja juive.
Il n'y a pas d'autres issus, alors pour ceux qui sont anti-orthodoxe (ou du moins qui pensent l'etre) imaginez ce genre de situation un père juif et une mère non-juive dans ce cas les enfants ne sont pas juifs
maintenant de ce couple nait une fille (elle n'est pas juive) mais se considere tout comme, si elle se marrie avec un juif alors ces enfants ne seront pas juifs.
Le problème dans ce genre de situation est que l'entité juive à proprement parler n'existe plus et donc au bout de 2 générations on arrive au constat que tous les descendants issu de ce couple sont goy.
Voila pkoi la hala'ha de devoir se marrier avec un juif ou une juive (ci je peux me permettre certifié).
Envoyé par Elie_010 - le Mardi 10 Novembre 2009 à 00:22
nous arrivons elie !
Je suis assez perdue sur la question, est-il vrai que en Israël les juifs libéraux sont considérés comme juifs à part entière ? En tout cas, selon moi, la conversion n'est possible que chez les orthodoxes.
Envoyé par Caroline_004 - le Mardi 10 Novembre 2009 à 00:14
le parti liberal n'est NULLEMENT RECONNU PAR LA RABBANUTH HARACHI D'ISRAEL !!!!
Envoyé par Y?ochoua - le Mardi 10 Novembre 2009 à 05:36
yeochoua, s'ils sont juifs par leur mere qu'ont-ils a faire dans une tradition liberale ???
tu veux certainement dire que si des hommes juifs se sont maries avec des goyot qui ont fait une conversion LIBERALE sont malgre tout RECONNUS en tant que juifs MAIS !!! et leurs ENFANTS ??? je peux te certifier et signer, que ces enfants ne seront pas reconnus comme etant juifs EN ISRAEL ! en plus, aucun rabbin en israel n'acceptera de celebrer un mariage entre des convertis liberaux et des juifs, juifs selon la HALA'AH. d'ailleurs le meme probleme se presentera si ces juifs liberaux ont des garcons, par de circoncision sans GUYOUR ORTHODOXE !
Envoyé par Alexander - le Mardi 10 Novembre 2009 à 06:52
c'est tres certainement la hala'ha LIBERALE ALEXANDER !
PS: Je ne suis pas un juif libéral mais je comprend
Envoyé par Frank Samuel - le Mardi 10 Novembre 2009 à 09:24
s'ils se sentent tellement juifs, pourquoi alors ne pas envisager de faire un VERITABLE GUYOUR dans ce cas ?
qu'est-ce qui les empeche d'entrer dans la VERITABLE ALLIANCE ? on ne fait pas un guyour pour pouvoir epouser l'homme ou la femme de sa vie, et le jour ou le couple ne fonctionne plus comme il voudrait, il se separe et celui qui a fait une conversion liberale abandonne tout.
le judaisme n'a pas besoin de tels juifs ! qu'ils restent ce qu'ils sont ca serait deja plus honnete.