Communauté Juive

Helène!!
as tu vraiment rien compris,-ou seulment veut tu pas comprendre!??
Les Rabbins sont de descendents des .....-ecrie tu?
mais leur Père se epouse les femmes juives!!
un juive se peut donne la vie QUE un JUIF!! il ou elle -(le bèbè)-est nee avec la Neshama Yehudi,automatice,grace a sa Mère Juive!!
as tu compris............enfin!?? si non,je te plus rien a dire!!

Est Juif celui qui non seulement est Juif selon la Loi juive mais se comporte aussi comme il le doit (ou du moins essaye et y aspire). Avoir des ancêtres Juifs n'est pas une décoration comme s'en affublent les BHL, Marek Halter ou autres réformés américains. Etre Juif c'est aussi faire tout pour avoir des enfants et petits enfants Juifs. C'est encore aimer le Peuple Juif et son pays Israël.
Ceux qui ne peuvent assumer cet héritage peuvent (et doivent) se comporter selon les 7 lois de Noah mais, même là, ils ne semblent pas y arriver.
Quel dommage, quel gâchis. Ceux qui accusent les Orthodoxes Juifs d'être trop sévères se laissent aller à la facilité mais il leurs faut trouver un fautif à leurs faiblesse.
Les nazis ont effectivement envoyé croyants et non croyants dans les crématoires pourtant être Juif et fier de l'être préserve souvent car, surs de nos droits et de nos devoirs, nous pouvons battre nos ennemis. C'est ce qui se passe en Israël depuis 62 ans. Qui défend Israël aujourd'hui ? Surement pas ceux qui abandonnent leurs convictions pour un petit bonheur passager.

dabord, voyons les raisons qui incitent des gens a se convertir au judaisme,
, Les innombrables cas de conversions basées sur des malentendus, la pression exercée sur les Tribunaux Rabbiniques et, ne l'oublions pas, les nombreux non-Juifs qui s'infiltrent dans le peuple juif actuellement en exploitant le mouvement d'émigration de l'ex-URSS vers Israël (sans parler des Éthiopiens qui refusent de se convertir et de lever ainsi le doute qui plane sur leur judéité), tout cela suscite de grandes inquiétudes pour l'avenir. Devrons-nous bientôt exiger, chaque fois qu'un inconnu désire se marier ou se joindre à une communauté orthodoxe, qu'il exhibe ses lettres de créances, sous la forme d'une filiation attestant la judéité de toutes ses ascendances (cela suffit, puisque les femmes, et elles seules, transmettent la judéité aux enfants)? Et à défaut, serons-nous obligés d'exiger une conversion lé-houmra par rigorisme de toute personne incapable de le faire?
Il semble que l'époque où l'on pouvait appeler un Juif dans la rue pour compléter un minyane sera bientôt révolue!

Pour les kohanim qui vivent parmi nous, le problème est décuplé par le fait que la halakha leur interdit de prendre pour épouse une convertie. Alors qu'un simple Juif israël ou qu'un modeste Lévi pourra, le cas échéant, demander à sa future compagne de passer une conversion lé-houmra, afin d'éliminer le doute, le Kohène n'aura pas cette alternative! En conséquence, s'il se trouve que deux générations auparavant, une grand-mère s'est convertie dans des conditions douteuses (manque de sérieux dans l'acceptation des mitswot, etc..) la petite-fille sera obligée de se reconvertir pour régulariser sa situation, tout en restant interdite au Kohène. Ce dernier sera réduit à chercher la perle rare qui n'a aucun problème de conversion dans sa famille...

Est-ce donc là le sombre avenir qui nous attend? Non, inutile de parler d'avenir, nous y sommes déjà! Nous pouvons affirmer qu'en France, où les mariages mixtes atteignent un taux de 50%, un jeune sur trois ne peut présenter une filiation correcte, quand bien même il se nomme Bitton, Dahan ou Fitoussi (les Rosenberg, Weill, même les Kahn et autres familles achkénazes ont depuis longtemps plongé dans l'assimilation). Et comble d'ironie, le fait que ces gens souffrent de l'ambiguïté de leur statut et cherchent précisément à se forger une identité, les amène à fréquenter les cours de Tora ou des séminaires d'études juives. Or on connaît le résultat de ces démarches...

Des solutions ?
Nous croyons que dans cette situation folle, il faudrait prendre au moins les dispositions suivantes afin de préserver ce qui peut l'être.

L'instruction des candidats
Nous pensons qu'il est du devoir des rabbanim de mettre mille fois en garde les aspirants à la conversion; il faut qu'ils soient parfaitement conscients du danger inhérent à une démarche qui ne serait pas fondée sur une compréhension claire et univoque des obligations de la Tora; les rabbanim devront également leur brosser un tableau sans complaisance des difficultés et obstacles qui se dresseront sur la longue route du converti, en particulier dans le domaine de l'application des mitswot. La conversion est une voie ardue.

Du côté des Baté Dinim (Tribunaux Rabbiniques)

À notre humble avis, il nous semble que la seule solution raisonnable dans ce domaine, comme dans tant d'autres (la Kacheroute, les structures des communautés ou des institutions communautaires, l'organisation de grandes manifestations, etc..) est le professionnalisme!
Nous croyons, en effet, que la communauté française aurait énormément à gagner si elle réussissait à gérer les conversions à l'aide d'une équipe préposée à cet effet. Une telle équipe comprendrait un dayane, un rabbin de communauté, un responsable d'institution éducative, un médecin, etc.. On garantirait ainsi l'objectivité et l'indépendance des instances préposées aux conversions, évitant du même coup d'accueillir des personnes qui n'ont pas leur place parmi nous.

Quant à la situation en Erets Israël, nous redoutons d'une manière inévitable un avenir lourd de conflits et de drames familiaux.

Il nous est interdit, cependant, d'oublier l'apport au judaïsme de convertis tels que Yitro, le beau-père de Mochè, ou que Ruth, par laquelle passe la filiation du roi David et du Messie.. Il faut reconnaître la valeur de grands maîtres tels que Chémaya et Abtaliyon, dont les noms apparaissent dans les Maximes de nos Pères à titre de personnalités marquantes de notre transmission.

Il faut enfin rappeler que nous mêlons dans la même foulée, dans nos prières, les tsadiqim, les hassidim aux guérè tsédeq, les convertis sincères.

Est Juif celui qui non seulement est Juif selon la Loi juive mais se comporte aussi comme il le doit (ou du moins essaye et y aspire). Envoyé par Miichel - le Dimanche 8 Août 2010 à 21:11

Michel, ben justement non, ce n'est pas ce que dit la Loi juive.
Cette Loi dit : "Est juif celui qui est né d'une mère juive ou qui se convertit au judaïsme."

Et si après, le juif ne se conduit pas correctement, s'il ne respecte pas les 613 mitsvot et les Lois Nohaides, il demeure tout de même juif.

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Bar-oni, devant ton ton agressif, je préfère moi aussi que tu cesses de me répondre.

Mes réponses faisaient suite à ce commentaire de ta part :

Un femme non-juive mème si elle est convertie,reste comme mème GOYA!!!
avec la conversion n'est peut pas recuperer la NESHAMA YEHUDI a mème temps!!
ses enfant's sont nee comme Goyim!!
ce la LOI !! ce pas moi qui dis seulment!!
Envoyé par Bar-oni - le Dimanche 8 Août 2010 à 13:58

Or, ce n'est pas ce que dit la Torah, ni La Loi juive...
Que tu te fâches après moi, ne changera pas ni la Loi juive, ni la Torah.
Ceci dit, tu es LIBRE de croire ce que tu veux...d'avoir ou non confiance dans ces écrits...
Cela t'appartient..mais laisse les autres aussi être libres de ce qu'ils pensent, de ce qu'ils croient !

Envoyé par Roland_002 - le Dimanche 8 Août 2010 à 22:05

J'ai lu avec beaucoup d'intérêt ton message Roland et je suis très sensible à ce que tu écris.
Le problème des conversions est extrêmement sérieux et complexe.
Il est lié a problème de l'assimilation...et c'est une menace pour la perennité du peuple juif, à mon avis.

chere helene, une etude edifiante
Hypothèses de base de l'étude
- Le taux de fécondité supposé est de 1,2 chez une femme juive 'laïque' et jusqu’à 5,9 pour une femme juive 'ultra-orthodoxe'.
- Les taux de mariages mixtes supposés sont de plus de 50% chez les juifs laïcs (les taux actuels observés vont aux USA jusqu'à 70% et, en France, varient entre 30 et 50% selon les origines géographiques des juifs concernés et leur degré de proximité au judaïsme). Ils sont de quelques pour cent chez les juifs religieux.
- La définition de la judéité suit la Loi juive, en ne comptant que les individus dont la mère est juive ou pour lesquels il y aurait eu une conversion par le rabbinat religieux.
- Pour la comparaison Israël/Diaspora le facteur discriminant sera surtout le taux de mariage mixte bien inférieur en Israël.
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Résultats de l'étude (dans 150 ans)
100 juifs 'laïcs' donnent : 5 juifs (quasi disparition)
100 juifs 'libéraux' donnent : 13 juifs (quasi disparition)
100 juifs 'conservateurs' donnent : 24 juifs (quasi disparition)
100 juifs 'modern-orthodox' donnent : 346 juifs (3,5 fois plus!)
100 juifs 'ultra-orthodox' donnent : 2587 juifs (26 fois plus!!)
Selon cette étude (cf. critique ci-après) : les milieux religieux ('modern'/ 'ultra' orthodox) seraient seuls capables d'assurer la survie juive. Mais, étant au départ minoritaires (15% des juifs en

suite de l etudeL'étude montre des lignes de force dépassant le seul aspect religieux, ce que ne souligne pas l'étude (le Figaro a titré "l'avenir du judaïsme repose sur sa branche la plus orthodoxe". Les critères suivants sous tendent les degrés de religiosité qui leur sont seconds :

L'importance primordiale du couple et de la procréation. En effet, sauf conversion (assez rare), on ne «devient» pas juif ; il faut naître d'une mère juive pour être considéré comme juif. Ce qui induit une évidence : le développement de la communauté juive dépend surtout du taux de fécondité des femmes juives.
La capacité du judaïsme religieux à suivre l'exemple des Maîtres qui savaient adapter l'orthodoxie aux nécessités du monde contemporain (cf. Rav Kook et l'adaptation du repos chabatique de la Terre en Israël (Chemitta) ou R. Guerchom interdisant religieusement la polygamie masculine, permise par la Thora... )
Si la religion est un facteur de croissance démographique, les institutions juives vont devoir accroître leurs efforts pour que les juifs soient attirés par ses valeurs ; Yerouchalmi est fier d'apporter sa modeste contribution dans cette direction.

La préservation des mariages interjuifs (préservation que la vie en Israël favorise au plus haut degré). Les «mariages mixtes» se multiplient : avec une femme non juive, les enfants ne sont plus juifs; avec une femme juive, ils contribuent à «affaiblir» l'identité juive car ils provoquent un éloignement culturel et religieux, favorisant à la génération suivante des mariages mixtes et à terme une disparition de la judéïté en 3 générations ! Notre étude complémentaire ci-dessus montre que la forte fréquentation intrajuive en Israël permet à ce pays de préserver à iso hypothèses d'étude le développement du peuple juif, et que c'est actuellement le seul scénario apte à le faire dans le cadre de l'étude proposée!
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Merci Roland pour cette étude. C'est très intéressant. Est-ce que tu pourrais m'en dire plus à ce sujet :

"La capacité du judaïsme religieux à suivre l'exemple des Maîtres qui savaient adapter l'orthodoxie aux nécessités du monde contemporain."

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Par ailleurs, la qualité n'est-elle pas plus importante que la quantité ?

Mieux vaut être un bon non-juif qu'un mauvais juif , non ?

et que dire de tous les juifs de naissance qui s'éloignent consciemment du judaisme? qui se convertissent à d'autres religions ou qui décident d'élever leurs enfants dans un milieu totalement laique? Ces memes comportements provoquent aussi la dissolution de la culture et pourtant personne ne semble s'en émouvoir!
Pourquoi ce "deux poids deux mesures" avec les convertis? pourquoi les convertis affaiblieraient le judaisme alors que des juifs de naissance pourraient eux allégrement détruire leur tradition?
Qui sommes nous pour décréter qui a une âme juive et qui ne l'a pas? Seul Hachem juge le coeur et l'âme de l'Homme! Arrêtons de blâmer et d'apostropher et que les rabbins commencent un véritable débat de fond, qu'ils aient le courage intellectuel d'interoger la tradition et même pourquoi pas, de l'adapter à notre façon moderne de vivre. Je ne vois pas en quoi le fait de débattre est taboo, c'est un des grands fondements du judaisme et certainement l'un des plus beau que de donner non seulement le droit mais l'obligation à chaque juif que de réfléchir à comment vivre les commandements de la Torah

bonjour,
au sujet du mariage mixte entre la fille de l'ex président clinton et un homme juif ,je lis en gros une condamnation de ce genre d'unions .Je comprends tout à fait les réactions car en diaspora le taux de mariages mixtes( et donc d'assimilation )est loin d'etre marginal.
Maintenant,et je jure dire que des faits exacts:moi quije suis né juif car mère juive mais je ne ne peux le prouver à cause de la shoa qui a fait disparaitre tous les membres de la famille de ma mère et donc tout document religieux tels que des ketoubas .Ma mère est encore de ce monde,mais comme toute sa famille(en sachant que ses deux parents juifs et ses deux grands parents aussi juifs tous deux) massacrée , elle meme à l'age de cinq 1ans enfant caché pendant trois ans chez des goyims francais, et donc pas eu la chance de recevoir une éducation juive donc personne pour lui dire cette interdiction d'épouser un goy elle a épousé mon père qui est non juif.
Moi meme je n'ai été elevé dans aucune religion,je sais que ma mère est juive et que ses ancètres étaient des juifs pieux venus de pologne en france vers 1936 ,les noms et prénoms de ces morts en déportation figurent sur le site de yad vashem et celui du memorial de la shoa de paris ,