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Communauté JuiveVaad Harabanim : Des larmes en forme d’étoilesLe petit Jonathan avait dix ans. C’était la rentrée des classes. Jonathan n’était jamais parti en vacances et contrairement à ses camarades, il ne savait pas à quoi ressemblaient la mer et la montagne. Mais il avait un trésor supérieur à tous les autres, un cartable remis à neuf par sa mère. Celle-ci aimait ses enfants de tout son cœur. Malgré ses faibles moyens, et le peu de temps que lui laissait son travail, elle trouvait toujours un moment pour chacun. Ses enfants étaient sa force. Elle était tellement heureuse de pouvoir les emmener à l’école. Bien sûr, elle se souvenait des jours heureux où son mari était encore en vie. Temps béni où, chaque soir, il s’approchait de leurs lits pour réciter doucement le chéma Israël.
Jonathan comptait les jours et rêvait du moment où il mettrait sur ces épaules son cartable bleu et jaune, orné d’écussons en forme d’étoiles.
Quelques jours avant la rentrée, il alla faire une visite à sa grand-mère et profita de l’occasion pour lui montrer son cartable. Il dut prendre le bus pour aller très loin, hors de la ville. Impressionné par tout ce qu’il voyait, il descendit précipitamment à la station que lui indiqua le chauffeur. Brusquement, son cœur se figea : « J’ai oublié mon cartable dans le bus ! ».
Il fondit alors en larmes. Il ne pourrait jamais retrouver son trésor. La rentrée aurait un goût amer. Lorsqu’il retourna chez lui, il raconta à sa mère tout ce qui s’était passé. Elle le prit dans ses bras et lui prépara un verre de limonade. Elle le consola malgré sa propre peine, causé par un autre problème : elle ne pourrait l’inscrire à la cantine de l’école. Les frais de scolarité étaient trop élevés. Son fils devrait se contenter d’un sandwich frugal et suivre les cours le ventre presque vide.
Lorsque le jour J arriva, Jonathan prit ses deux tranches de pain dans un petit sac en carton que sa grand-mère lui avait donné pour le consoler. De toutes petites étoiles décoraient le sac et des larmes coulaient sur ses joues.
En Israël, le cas de Jonathan n’est pas isolé. Orphelins ou issus de famille dans un grand désarroi financier, des centaines d’écoliers ne peuvent prétendre à une rentrée joyeuse et digne. Certains parents sont malades, d’autres sont au chômage, d'autres encore ont tout perdu suite à un revers de fortune.
En France, les achats de fournitures scolaires ponctuent gaiement la rentrée.
En Israël, il n’y a aucune subvention pour ces achats. De ce fait, pour les familles défavorisées, cette période peut devenir une expérience douloureuse.
A ce moment clef de l’année, pensez aux enfants d’Israël. Partagez avec eux le jour J en leur donnant la possibilité d’acquérir ce dont ils ont besoin. Pour que les étoiles ne se transforment pas en larmes.
Vous donnez pour la réussite des enfants en Israël.
Nous prions pour votre réussite.
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es fetes arrivent faites techouva
Il faut surtout laisser tout un chacun s'exprimer librement, sinon comment reconnaitrait-on qu'une Nathalie est plus saine que le commun des mortels ?
Un commentateur de ce site demandait la definition de "saint" sain semble approprie . Le contraire est maladie .
Je me garde soigneusement de malmener ceux qui ont davantage besoin d'aide et de soins que de recriminations inutiles .
sylvie l.... :