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Israël : Défense au Moyen-OrientTsahal planifie de transférer certaines zones sous contrôle de l’APSuite aux ordres du ministère de la défense, l’armée israélienne a élaboré des plans d’urgence pour le transfert de certaines zones de Judée Samarie sous contrôle de l’autorité palestinienne.
Une telle mesure nécessiterait l’approbation du gouvernement et du commandement central de Tsahal, selon des responsables de la defense.
Le président de l’AP, Mahmoud Abbas, a exigé le transfert du contrôle de la sécurité sur les grandes villes de Judée Samarie, et que Tsahal y stoppe complètement ses incursions, qui ont de toute manière chutées de manière spectaculaires ces dernières années en raison de l’accalmie dans les attaques terroristes.
Ces retraits sont également une des exigences formulées par le président américain Barack Obama au premier ministre Benyamin Netanyahou lors de leur réunion à la Maison Blanche en juillet.
Une des zones en considération est la région de Ramallah, qui comprendrait Beitounya, el-Bireh et peut être même Bir Zeit, dont une partie relève de la zone B, qui, selon les accords d’Oslo, est censé être sous contrôle israélien jusqu'à un accord final.
L’armée israélienne opère rarement, de nos jours, à Ramallah, et des officiers supérieurs ont déclaré que les forces de sécurité palestiniennes ont fait un travail efficace pour prévenir le terrorisme.
Bir Zeit est problématique, en raison des craintes qu’un transfert de la zone sous contrôle palestinien puisse renforcer le front populaire de libération de la Palestine et son infrastructure grandissante dans la ville universitaire.
« Le Hamas avait l’habitude d’être très puissant à Ramallah, mais depuis plusieurs années déjà, ce n’est plus le cas, » a déclaré un responsable de la défense. « Le Hamas opère principalement aujourd’hui dans les villages, et plus dans les villes. »
Tous les officiers de Tsahal ne sont toutefois pas pour un transfert de sécurité.
Certains disent que même si les forces de sécurité palestiniennes sont en train de faire un travail efficace dans le démantèlement des infrastructures terroristes en Judée Samarie, la liberté opérationnelle de l’armée israélienne continue de jouer un rôle clé.
« Même si Tsahal ne rentre pas dans les villes chaque jour, sa présence permet de maintenir le terrorisme à son niveau minimum, » a déclaré un responsable.
La décision reviendra au gouvernement, et dépendra vraisemblablement des progrès accomplis dans les pourparlers de paix avec les palestiniens, qui sont actuellement dans l’impasse en raison du refus de l’autorité palestinienne de négocier à moins qu’Israël ne renouvelle le gel des constructions dans les implantations. Articles connexes
84 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 46 minutes
Pour ma part, je ne pense pas que la gauche israélienne soit un repaire de traîtres, elle me semble plutôt naïve et me deonne l'impression de prendre ses désirs pour des réalités. Aujourd'hui il n'ya de place que pour une vigilence accrue et l'expérience montre que les prises de position arabes vont dans le sens de la destruction d'Israël.
La question essentielle reste :"Comment assurer durablement la sécurité d'Israël ?", le reste n'est que littérature.*
Cela passe par une solidarité sans faille de la part des Juifs diasporiques même dans le cas où certaines décisions prises par le gouvernement d'Israël leur paraissaient incompréhensibles, du fait même qu'ils ne vivent pas les situations de nos frères israéliens.
עם ישראל חי
YY:
Envoyé par Michel_003 - le Lundi 25 Octobre 2010 à 09:03
Comme d´hab tu inverses la reflexion, ils avaient toutes les possibilités de vivre comme tout le monde pour avancer, et c´est parce qu´ils se sont comportés comme tu viens de l´énoncer plus haut, que les israeliens n´ont pas eu d´autre choix que celui de devoir petit à petit baisser le couvercle.
Michel, as tu perdu un membre de ta famille en israel lors d´un attentat ou encore dans l´armée?
La question essentielle reste :"Comment assurer durablement la sécurité d'Israël ?", le reste n'est que littérature....
Envoyé par André_001 - le Lundi 25 Octobre 2010 à 10:30
Si partager Jerusalem aprés des millenaires d´errance et d´esperance du peuple juif n´est pas de la traitrise, qu´est ce que la traitrise.
La question du partage de Jerusalem, c´est de la litterature?
Ne vivant pas en Israël' je n'ai évoqué que la sécurité d'Israël, les modalités d'accord éventuels ne peuvant être que du ressort des Israéliens et d'eux seuls. Il y a assez longtemps que nombre d'entre nous regrettent les ingérences de tous les donneurs de conseil, surtout des états dont on sait qu'ils ne défendent que des intérêts, sans aucun sens d'une quelconque amitié. L'Europe, de ce point de vue, en est une triste illustration.
עם ישראל חי
YYM
Non, je n'ai pas perdu de proche suite à des attentats, mais cela ne changerait rien.
Pour sortir du bourbier actuel, Israël doit prendre des risques, celui de faire, ou de ne pas faire, mais il n'a pas le choix, il n'existe pas de solution qui n'impose un risque. Le tout est de savoir quel est le risque le plus petit.
Les dirigeants israéliens sont tous les jours confrontés à ces choix dramatiques, et ils doivent décider.
Il est très risqué de considérer toute une population comme des délinquants, l'humiliation ressentie la colère provoquée entraine des réactions de violence très dangereuse. Par contre une vie paisible fait aimer la vie.
Donc les dirigeants doivent laisser vivre libre les gens, tout en prenant des précautions pour protéger les gens contre les assassins. C'est d'ailleurs je crois la politique de Netanyahu qui cherche à lever le couvercle, avec l'aide des américains et des policiers palestiniens formés en Jordanie.
A terme, enfermer tout le monde c'est créer une bombe à retardement.
Les Arabes d'Israël se sont vu offrir, dès 1948, une " vie paisible " : ils ont pu bénéficier de conditions de vie telles que leurs congénères des Etats arabes environnants ne pouvaient pas même en rêver : sécurité et prestations sociales, enseignement, un des systèmes sanitaires les plus performants du monde, salaires beaucoup plus élevés que ce qu'ils pouvaient espérer dans les pays avoisinants, plénitudes des droits et libertés religieux et politiques.
Ce véritable " droit d'aînesse " que l'Etat juif leur avait assuré, sous l'influence de plus en plus marquée de la prédication islamique ils se sont mis à le piétiner. Aujourd'hui, leurs votes vont massivement vers les partis qui représentent l'idéologie du 'Hamas, et ils se comportent chaque jour un peu plus comme s'ils devaient demain " hériter " d'un pays auxquels ils n'ont pratiquement rien apporté d'autre que haine et terrorisme.
Ils n'ont donc plus leur place dans ce pays qu'ils renient, sur lequel ils crachent et qu'ils trahissent. C'est pourquoi il faut les expulser massivement de la totalité
http://ravdynovisz.tv/video.php?video_id=3472
Pays d’Israël ou Terre d’Israël –NAVI - Yéhoshoua –Semaine 4 - 24 Octobre 2010
BOYCOTTONS LES BOYCOTTEURS D'ISRAEL
Il faut - une proclamation unilatérale d'un ( deuxième ) Etat " palestinien pourrait y aider en fournissant une occasion " en or " - briser avec la lettre et avec l'esprit des funestes accords d'Oslo : faire le " Schritt zurück aus " : se dégager d'Oslo.
Je crois que Benyamin Netanyahu fait ce qu'il peut, dans des conditions internationales très difficiles depuis qu'un homme manipulé par le lobby séoudien a pris le contrôle de la Maison Blanche. Il fait ce qu'il peut - et, à mon avis, avec succès - pour limiter les dégâts et résister à la pression.
S'il devait ( D. préserve ! ), au lieu de résister, entrer dans la voie d'Oslo - celle des concessions et, finalement, de la trahison du sionisme, d'autres dirigeants se lèveraient, dans le peuple juif, et qui sauraient reprendre le flambeau : l'apparition et le succès, en milieu universitaire, du mouvement " Im Tirtzu " est le signe que le délabrement moral et politique que les " post-sionistes " ont fait régner, depuis près de trente