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Israël : Défense au Moyen-OrientLes Etats-Unis pas certains qu'Israël les préviendra avant d'attaquer l'IranLe plus haut gradé américain a déclaré mercredi à Reuters qu'il ne savait pas si Israël alerterait les Etats-Unis à l'avance si il décidait de prendre une action militaire contre l'Iran. Le général Martin Dempsey, chef de l'état major interarmes américain, a également reconnu les différences de vues entre les Etats-Unis et Israël sur la meilleure façon de traiter l'Iran et son programme nucléaire. Il a dit que les Etats-Unis étaient convaincus que les sanctions et les pressions diplomatiques étaient le bon chemin a prendre concernant l'Iran, avec "l'intention déclarée de n'enlever aucune option de la table", un langage qui laisse la porte ouverte à une action militaire future. "Je ne suis pas certain que les israéliens partagent notre évaluation. Et parce que cela est pour eux une menace existentielle, je pense qu'il est juste de dire que nos attentes sont maintenant différentes," a déclaré Dempsey dans un avion le transportant de Londres à Washington. Interrogé pour savoir si il parlait des différences entre les attentes israéliennes et américaines sur les sanctions, ou des différences de perspective sur le cours futur des événements, Dempsey a déclaré : "tout ce qui précède", sans élaborer. Il n'a également pas précisé si il croyait qu'Israël était prêt à frapper l'Iran. L'Iran fait face a de nouvelles sanctions après que l'agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a indiqué plus tôt en novembre que Téhéran semblait avoir travaillé à la conception d'une bombe, et pourrait encore poursuivre ses recherches secrètes. La poussée des sanctions a obtenu un nouvel élan mercredi lorsque des sources diplomatiques anglaises ont déclaré que leur pays soutiendrait un embargo sur les importations de pétrole iranien. Il y a des craintes que si les puissances mondiales n'arrivent pas à pousser l'Iran à des négociations sur son nucléaire, qu'Israël, se sentant menacé, décide d'attaquer. Lorsqu'on lui a demandé si Israël alerterait les Etats-Unis a l'avance si il choisissait d'aller de l'avant dans une action militaire, Dempsey a répondu catégoriquement : "je ne sais pas." La semaine dernière, le secrétaire américain à la défense, Léon Panetta, a soulevé les préoccupations américaines sur les conséquences involontaires de toute action militaire contre l'Iran au cours d'entretiens avec son homologue israélien, Ehoud Barak, lors d'un forum sur la sécurité au Canada. Ces craintes américaines concernent notamment les retombées sur l'économie mondiale et sur le fait qu'un raid ne ferait que retarder, et non supprimer, le programme nucléaire iranien. L'Iran a averti qu'il répondra à toute attaque en frappant les intérêts israéliens et américains dans le Golfe. Les analystes disent que Téhéran pourrait riposter en fermant le détroit d'Hormuz, la voie navigable par laquelle passe environ 40 % de toute la production pétrolière. Articles connexes
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leurs missiles et changer les lieux de stockage comme si les satellites
ne pouvaient pas détecter les déplacements des matériels et les révolutionnaires
contre ce gouvernement islamiste ne surveillaient pas les faits et les gestes des
gardiens des mollahs.
Je suis persuadé que les israéliens et les américains connaissent déjà les nouveaux
points de stockage et peuvent en tenir compte après s'être assurés que ce ne sont pas
les leurres .
Je rejoins ceux qui pensent que si Assad tombe le hezbollah et aussi les mollahs ont
des cheveux blancs à se faire.
Sorti en France le 4 novembre 2011, ce livre revient sur le destin tragique de ces Afro-Antillais; Guadeloupéens, Réunionnais, Martiniquais, qui ont adhéré à l'idéologie nazie. Des révélations fracassantes que Serge Bilé a mis près de huit ans à récolter. Il a commencé son travail de recherche en 2004 pour témoigner aujourd'hui des noirs qui, malgré les lois raciales de Nuremberg promulguées en 1935, ont intégré les rangs de la Wehrmacht. Mais aussi ceux de Mussolini en Italie ou encore de Franco en Espagne.
Comment expliquer ce paradoxe? Comment expliquer qu'un soldat africain, Ewan Ngando, ait réussit à se faire enrôler dans la Wehrmacht alors que l'accès à l'armée allemande était formellement interdit aux noirs et aux métis? Comment expliquer que des noirs, directement menacés par l'idéologie nazie, puissent en faire partie?
Pour Serge Béli, les raisons sont multiples et complexes. A travers son propos, il tend à démontrer que pour beaucoup de noirs qui ont rejoint la Wehrmacht, il s'agissait surtout de contourner la menace nazie. «Il y en avait pour qui il s'agissait juste de sauver sa peau, dans une France où de toutes les façons ils n'avaient pas leur place.»
Car l'auteur, avec son précédent livre «Noirs dans les camps nazi» avait démontré que dans les camps de concentration allemands, il y avait aussi des noirs, un sujet peu abordé dans les livres d'histoire. Pour certains donc, il s'agissait de se mettre à l'abri, d'éviter d'être à leur tour déportés. Comme l'explique Serge Bilé à Afrik.com, pour d'autres en revanche
«c'était une manière de dire: "Nous sommes allemands comme les autres et nous voulons défendre notre pays!" Ils avaient en eux une part (...) Lire la suite sur Slate.fr
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On sait que Jean Moulin, préfet d'Eure-et-Loir, est arrêté en 1940 par les Allemands, qui voudraient qu'il fasse endosser par des tirailleurs sénégalais la responsabilité d'atrocités contre des populations civiles commises en réalité par des troupes allemandes. Les pressions physiques qu'il subit alors sont telles qu'il tente de se suicider en se tailladant la gorge.
Dans le film, très juste de ton, que fit Louis Malle en 1973 (si je ne me trompe ), " Lacombe Lucien " , l'un des membres des équipes de tueurs et de tortionnaires qui pourchassent Juifs et Résistants est un Antillais.
Mais de nombreux Antillais ( par exemple le gouverneur Félix Eboué ) et Africains se sont engagés dans les Forces Françaises Libres. D'autres, comme Birago Diop, ont eu une attitude plus favorable à Vichy. Beaucoup ont eu,
comme l'écrasante majorité, une attitude " attentiste " . Je dis ci-dessus que le gouverneur Eboué s'est " engagé dans les FFL " : il serait plus précis de dire qu'il s'est ( immédiatement ) rallié à De Gaulle.
Bonjour, Loïc.
La question de l'allégeance islamique de Baraq 'Hussein Obama est controversée. Mais pas mal d'éléments plaident en ce sens. Par exemple, le fait que mentionner son deuxième prénom - 'Hussein - ait été pratiquement interdit jusqu'au jour de son entrée en fonctions, date à partir de laquelle il l'a au contraire hautement revendiqué : on peut voir là quelque chose qui relève de la taqqiya. Ou encore, outre le fameux discours du Caire ( dans lequel il revendiquait le caractère de pays tout autant musulman que chrétien pour les Etats-Unis et où il attribuait à l'Islâm un rôle essentiel dans la civilisation ... ), sa génuflexion suivie d'un baise-main au roi d'Arabie séoudite - gestes qu'il est le seul président américain et le seul chef d'Etat occidental à avoir jamais pratiqués, et qui ne sont pas, à proprement parler, des gestes politiques ... Peut-être s'agissait-il là d'un remerciement public ( je n'irais pas jusqu'à envisager quelque chose comme le baiser traditionnel des maffiosi au " capo " ... ) pour une contribution aux frais électoraux ? ( je dis cela parce que le trésor de guerre électorale dont a pu disposer Obama - qui n'a pas, à la différence de gens comme son rival John McCain, ou de personnalités comme le sénateur John Kerry ou le gouverneur Mitt Romney, de fortune personnelle - était énorme, très au-delà de ce que l'on peut observer ordinairement dans un pays où le " fund raising " politique draine habituellement des sommes
Baisseront ils leur garde ????ou une fois de plus feront il un nouveau palier histoire de refaire tomber la tension ????? et repartir de plus belle ....ce sont de redoutables joueurs d echec
considérables - ce qui fait que l'on peut se demander s'il n'y aurait pas eu de grosses mises de fonds en ... pétro-dollars ... ).
Mais je laisserai la question de la relation personnelle de Baraq 'Hussein Obama avec l'Islâm provisoirement de côté pour vous suggérer de jeter un coup d'oeil sur sa formation et ses antécédents politiques. On peut le faire, par exemple, à travers le livre de Stanley Kurtz, " Radical-in-Chief " , paru il y a un an environ aux éditions Simon & Schuster Inc.
Par contre, j'évoquais certains éléments ( un discours, des gestes, des questions de financements ... ) dont la teneur politique est peut-être considérée comme explosive et donc soumise de ce fait à censure ...