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Israël : Défense au Moyen-OrientLes Etats-Unis consacrent 235 millions de dollars pour les systèmes de défense d'IsraëlLes Etats-Unis ont annoncé qu'ils vont allouer 235 millions de dollars pour le développement des protections conte les roquettes et les missiles qui pourraient être lancés en direction d'Israël par le Hezbollah et l'Iran. Une grande partie des fonds ira au développement du système "Fronde de David", conçu pour intercepter les roquettes à moyenne et longue portée ainsi que les missiles de croisière, et des systèmes Arrow 2 et 3, qui sont eux des intercepteurs de missiles balistiques à longue portée. Cette somme sans précédent vient à un moment inattendu, tandis que le gouvernement américain fait face à de grandes coupes budgétaires, y compris au Pentagone. Ce sont toutefois des membres du Pentagone qui ont demandé que le Congrès approuve un budget de 106 millions de dollars d'aide pour les systèmes de défense antimissile d'Israël, outre le budget pour le système Dôme de Fer. Le Congrès a choisi de plus que doubler ce montant, approuvant un budget de 235 millions de dollars pour 2012, soit 25 millions de dollars de plus qu'en 2011. Ce budget n'est cependant pas considéré comme faisant partie de l'aide américaine à Israël, mais ça plutôt vers la coopération militaire entre les deux pays, chacun allouant un montant similaire dans le développement des systèmes antimissile. L'aide des Etats-Unis à la défense d'Israël est estimé à 3 milliards de dollars par an, sur une période de 10 ans à compter de 2007, les deux tiers de cette aide allant dans les mains des industries militaires américaines. Articles connexes
81 commentaires
| Membre Juif.org
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Est-ce cela à quoi l'on veut aboutir : un Iran nucléarisé inexpugnable, susceptible de faire planer une menace sur toute la région - à commencer par Israël - et même au-delà ?
Dans le contexte des préoccupations croissantes de l’ambition iranienne dans le but d’aboutir à une hégémonie régionale au sein de toutes les populations du monde arabe, l’idée selon laquelle Israël aurait à payer le prix fort est complètement déconnectée de la réalité.
Les pays arabes n’ont jamais oublié que l’Iran prétend que Bahreïn est sa 14èmeprovince. L’Arabie Saoudite s’inquiète du soutien iranien au soulèvement des chiites dans les régions Est du pays et riches en pétrole, et au Yémen sa voisine. Les pays arabes sont très préoccupés quant à leur avenir suite au retrait des forces américaines d’Irak. Ce pays risque en effet de devenir un Etat satellite iranien.
Il n’existe donc aucune équation logique sur la question soulevée sur Israël et l’Iran dans le sondage du Centre Saban. Cette analyse est bien mensongère, elle déforme la réalité et demeure dangereuse, car en Occident nombreux cherchent des excuses pour éviter de faire face au défi iranien. Ils supposent qu’un boycottage du pétrole iranien pourra influencer sur les prix du baril dans les marchés mondiaux et rendrait ainsi plus difficile le rétablissement de l’économie occidentale.
Pour plusieurs pays il serait plus facile d’exercer des pressions sur Israël que de mettre l’Iran en quarantaine. Pour toutes ces raisons, nous devrons mettre un terme définitif à toute idée liant Israël au programme nucléaire iranien.
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" Pour plusieurs pays il serait plus facile d’exercer des pressions sur Israël que de mettre l’Iran en quarantaine. Pour toutes ces raisons, nous devrons mettre un terme définitif à toute idée liant Israël au programme nucléaire iranien. "
Bonjour, Roland. merci de ce document. Mais je ne comprends pas le sens du dernier alinéa ( que je copie/colle ci-dessus ), ni, surtout, celui de la dernière phrase ... ??? ... Voudrait-elle dire - ce qui me paraîtrait aberrant - Qu'Israël devrait cesser de se préoccuper du danger que représente un Iran nucléaire ?
Ce serait peut-être le moyen le plus rapide de se débarrassé de ces nazislamistes !!!
voila pourquoi israel doit se réveillé , ne faire confiance a personne, car israel est considérer comme quantité negligable par la majorité des membres de L ONU, des annees que l iran fabrique ses bombes, que fait l honorable maison des nations? thats is the question
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Anne Frank (13 ans), juive d'origine allemande, est cachée dans un appartement secret à Amsterdam, avec sa famille. Elle écrit dans son célèbre Journal à la date du vendredi 9 octobre 1942 : «Nous n'ignorons pas que ces pauvres gens [les juifs capturés par les nazis] seront massacrés. La radio anglaise parle de chambre à gaz. Peut-être est-ce encore le meilleur moyen de mourir rapidement. J'en suis malade...» Le vendredi 31 mars 1944, elle écrit encore : «La Hongrie est occupée par les Allemands ; il y a encore un million de juifs qui, sans doute, vont y passer, eux aussi.»
Beaucoup savaient mais ne pouvaient y croire
Des informations plus ou moins fiables ont donc circulé tout au long de la guerre. À la fin de la guerre, les rapports se font plus précis et plus nombreux. Avec un minimum d'attention, chacun pouvait en tirer une idée assez précise du drame qui se jouait en Europe centrale. Pourtant, personne ou presque n'en a rien voulu savoir. C'est que l'extermination paraissait proprement incroyable aux contemporains du fait de son caractère inédit et démesuré.
Le philosophe Raymond Aron, qui servit la France Libre à Londres, explique dans ses Mémoires son incrédulité et celle de ses contemporains : «Les chambres à gaz, l'assassinat industriel d'êtres humains, non, je l'avoue, je ne les ai pas imaginés et, parce que je ne pouvais pas les imaginer, je ne les ai pas sus».
Dans un témoignage récent, un Français confie par ailleurs qu'ayant entendu à la radio, en 1945, que les Alliés avaient libéré d'horribles camps d'extermination, il a d'abord pensé à une banale affaire de propagande de guerre.
Qui est responsable ?
Il est très difficile a posteriori de départager les responsabilités des uns et des autres dans l'absence de réaction au génocide. Il semble d'abord que nul, y compris le pape, Churchill et le président américain Roosevelt, n'ait osé prendre la véritable mesure d'un drame comme l'humanité n'en avait encore jamais connu.
Pour Churchill et Roosevelt, chefs de guerre engagés dans une lutte inexpiable, il était impensable d'autre part de détourner des moyens militaires ou logistiques pour tenter de sauver des civils, avec des résultats qui n'étaient pas le moins du monde garantis. Que pouvaient-ils faire ? Arrêter les trains de la mort ? Ce n'était pas une mince affaire que de bombarder des voies ferrées au coeur de la Pologne occupée par les nazis... De leur point de vue, ce qui importait avant tout dans l'intérêt de l'humanité était d'en finir au plus vite avec le nazisme.