|
Israël : Défense au Moyen-OrientDempsey : "je ne veux pas être complice d'une frappe israélienne"Le chef d'état-major interarmes de l'armée américain a fait jeudi des déclarations qui semblent mettre en garde Israël qu'il ne faut pas s'attendre à une aide américaine si l'état juif choisissait d'attaquer le programme iranien d'armes nucléaires. Le général Martin Dempsey a dit qu'une telle attaque "retarderait clairement, mais ne détruirait pas le programme nucléaire de l'Iran," a rapporté jeudi The Guardian. Il a ajouté : "je ne veux pas être complice si ils choisissent de le faire." Dempsey a déclaré ne pas connaître les intentions nucléaires de l'Iran, car les renseignements ne révèlent pas les intentions, selon lui. Ce qui est clair, a-t-il ajouté, est que la "coalition internationale" qui applique des pressions sur l'Iran "pourrait disparaître si l'Iran était attaqué prématurément". La Maison Blanche a déclaré jeudi que l'Iran dispose d'un laps de temps limité pour accepter les conditions de l'Occident concernant son programme d'armes nucléaires. Le secrétaire aux medias de la Maison Blanche, Jay Carney, a déclaré que les Etats Unies "étudient de près" le rapport trimestriel de l'agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur l'Iran, "mais globalement parlant, il n'est pas surprenant que l'Iran continue de violer ses obligations." "Comme le rapport le montre," a-t-il dit, "nous sommes en mesure d'observer de près le programme iranien." Carney a dit que les Etats-Unis ont dit à l'Iran que "la fenêtre d'opportunité pour trouver une résolution reste ouverte,… mais elle ne restera pas ouverte indéfiniment." L'Iran a augmenté sa capacité d'enrichissement d'uranium d'au moins 30% au cours des quatre derniers mois, selon le rapport de l'AIEA. Il a doublé sa capacité de production au site nucléaire de Fordo, selon le même rapport. Articles connexes
113 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 3 heures - i24 News
Il y a 3 heures - Kountrass
Il y a 6 heures - Le Figaro
Il y a 9 heures - Le Figaro
2 Juin 2025 - Le Monde diplomatique
29 Mai 2025 par Rafael_003
29 Mai 2025 par Rafael_003
25 Mai 2025 par Claude_107
25 Mai 2025 par Claude_107
23 Mai 2025 par Blaise_001
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Pour les historiens et les journalistes, les révolutions sont une véritable aubaine.
La victoire acquise, les nouveaux maîtres ouvrent les tiroirs et les archives de leurs prédécesseurs, et rendent publics les documents décrivant “complots”, intrigues diplomatiques et contrats d’armements.
Par exemple, après la révolution de 1917 en Russie, les bolcheviks ont mis à jour l’Accord Sykes-Picot sur le partage du Moyen-Orient entre le Royaume-Uni et la France. Ou encore, après la révolution de 1979 en Iran et le siège de l’ambassade américaine, les Iraniens ont découvert l’étendue de la coopération entre le régime du chah et Israël.
Les révolutions du “Printemps arabe” ont jusqu’à présent révélé peu de secrets sensationnels sur la diplomatie régionale. Mais la guerre civile qui met la Syrie à feu et à sang, et la chute annoncée, imminente, du président Bachar Al-Assad permettent d’espérer la découverte d’un nouveau trésor de documents – de ceux qui apporteraient une réponse à quelques questions capitales concernant la politique israélienne des 20 dernières années en matière de sécurité et de relations internationales.
Je compte accéder bientôt aux archives d’Assad, pour prendre connaissance de quelques dossiers fascinants :
1. Qu’ont proposé les Américains à l’ancien président Hafez El-Assad [père de Bachar] pour le convaincre de participer à la conférence [pour la paix au Moyen-orient] de Madrid en 1991 ? Lui ont-ils garanti qu’Israël se retirerait du plateau du Golan, ou n’ont-ils prononcé que des paroles en l’air à ce sujet ?
2. Comment les Syriens ont-ils expliqué les échecs répétés des négociations de paix avec les dirigeants israéliens ? Qu’est-ce qui a provoqué les crises successives qui ont émaillé les pourparlers lorsque Yitzhak Rabin, Ehud Barak et Ehud Olmert étaient au pouvoir ? Qu’est-ce qui manquait, aux yeux d’Assad et de ses conseillers, pour parvenir à un accord de paix bilatéral avec Israël ?
3. Qu’a proposé exactement Benyamin Netanyahou à Hafez El-Assad lors des discussions indirectes qu’ils ont engagées par l’intermédiaire de l’homme d’affaires américain Ron Lauder en 1998 ? Netanyahou a-t-il suggéré au président syrien le retrait total du Golan jusqu’aux frontières du 4 juin 1967, ou s’est-il arrêté, comme il le soutient, “le long du plateau“ ?
4. La Syrie a-t-elle vraiment construit un réacteur nucléaire dans le désert, près de l’Euphrate ? Quelle était la nature des contacts noués entre la Syrie et la Corée du Nord pour l’acquisition du réacteur ? Pendant combien de temps les négociations se sont-elles poursuivies à l’insu des services du renseignement israéliens et américains ? Combien coûtait ce réacteur ? Qui a réglé la facture ? Comment les Syriens ont-ils expliqué le fait que le secret a été éventé ? Le raid israélien qui a détruit le réacteur en 2007 a-t-il fait des victimes ?
5. Que savaient les proches d’Assad du sort des soldats israéliens Yehuda Katz, Zvi Feldman et Zachary Baumel, tous trois portés disparus en 1982 dans la bataille de Sultan Yacoub, lors de la première guerre du Liban ? Qu’est devenu le navigateur des forces aériennes israéliennes Ron Arad, lui aussi manquant à l’appel, et que lui est-il arrivé au cours de sa détention s’il a été pris en otage ? Et le soldat Guy Hever, dont la disparition à Ramat Hagolan a été signalée en 1997 ? Enfin, où a été enterré l’espion israélien Eli Cohen ?
6. Que contient les fichiers de l’enquête sur l’assassinat d’un haut responsable du Hezbollah, Imad Mugniyeh, en 2008 à Damas ?
7. Quelles conclusions les Syriens ont-ils tirées de la deuxième guerre du Liban [entre Israël et le Hezbollah] en 2006, concernant l’efficacité du Hezbollah et de l’armée israélienne, ainsi que des attaques de missiles sur les côtes israéliennes ?
8. Jusqu’où allait la coopération militaire entre l’Iran, la Syrie, le Hezbollah et le Hamas palestinien ? Le parties ont-elles préparé des plans prévoyant une action concertée contre Israël, par exemple en représailles à une frappe contre les installations nucléaires de l’Iran ? Ou chacun ferait-il cavalier seul ?
9. Netanyahou et Assad se sont-ils rencontrés secrètement au cours du Printemps arabe et de la guerre civile et, à ces occasions, l’Etat juif a-t-il promis de ne pas intervenir ni de soutenir les rebelles, en échange d’un engagement de Damas à ne pas se joindre à une guerre future entre Israël et l’Iran ?
10. Quels sont les jeux favoris d’Assad sur PlayStation ?
Les combats font rage en Syrie. Assad et les insurgés se battent pour leur survie. Mais si et quand la guerre se termine avec la chute du dictateur, les vainqueurs seront en mesure d’éclaircir quelques mystères du passé et du présent. Il suffira pour cela d’ouvrir les tiroirs.
Aluf Benn
L'Eretz Israël à Hachem pour lui venir en aide..
Moi je pense que les Etats Unis et l'Iran on fait un troc, on te donne du pétrole et tu dit rien pour nos bombes atomique, ta compris Hussen à dit le nain de jardin
Jeu PlayStation Le Roi Lion - La Formidable Aventure de Simba
Editeur : Disney Interactive
En Stock