Israël : Défense au Moyen-Orient

Joseph, vous dites : "...Pas de racisme ni de généralité pas de perfidie pas d''accusation sans preuve pas d'humiliation pas de rejet de l'autre"....et...."C'est de véritable Juif que le monde à besoin comme de témoignages authentiques des lois sacrées pas de Juifs canada dry baignées de la culture de la diaspora.

Excusez-moi, mais il me semble qu'il y a là une contradiction.
Je peux vous dire que les juifs que j'ai rencontrés au Canada me semblent tous porteurs de quelque chose de "bien", quelque soit leurs choix, leurs pensées, leurs communautés. Bien sûr, personne n'est parfaits mais il me semble qu' il n'y a qu'un seul peuple juif et que c'est "le peuple juif" dans son unicité et sa diversité qui est porteur de cette Lumière et gardine de la Torah ! Qu'en pensez-vous ?

Roland, personnellement, je ne vois pas beaucoup de points de convergence entre le judaïsme, l'islam et la chrétienté. Si les objectifs de de Paix et de l'Amour du prochain sont communs celui de la Liberté de conscience et de la Justice sont tout à fait opposés en regard des gestes posés. Il me semble que la Liberté et le souci de Justice soit une prémisse à l'Amour et la Paix.

Il semblerait qu'il est essentiel de se défendre si on veut préserver notre droit à la Vie, à la Liberté.
Or toutes ces guerres : croisades, inquisition, prosélytisme, djihad, islamisation, évangélisation...me semblent bien loin du judaïsme et des prescriptions de la Torah.

Finalement, quand au dialogue inter-religieux, quel est le sens d'un tel dialogue si par ailleurs les yeux restent fermés, les oreilles restes bouchées et les langues liées, sur les horreurs commises au nom des religions ?
Ne s'agit-il pas là de voeux pieux , de faux semblant, de pensée magique, d'une illusion ?

Patrick Faure, professeur à la Faculté Notre-Dame à Paris, revient sur la pluralité des expressions du christianisme dans le Nouveau Testament, thème très vivant de la recherche archéologique et littéraire actuelle. À partir d'analyses textuelles croisées avec les premiers Pères de l'Église, l'exégète montre, ainsi, comment la rédaction des Actes des Apôtres résulte de tensions vives entre groupes rivaux qui n'ont pas la même conception du message de Jésus-Christ. Par exemple, les nazaréens, juifs observants qui voient dans Jésus un maître puis le messie annoncé par les Écritures, auxquels s'opposent les chrétiens, groupe ethniquement mêlé, en rupture avec les rabbins du Temple, pour qui Jésus est le Christ qui transforme radicalement la tradition judaïque en obligation éthique personnalisée, la « Tora du cœur ». Insistant sur la fonction de synthèse des Écritures, l'auteur conclut à l'interdépendance des traditions juives et chrétiennes.

Rivon Krygier, rabbin de la communauté Adath Shalom de Paris et professeur à l'Université hébraïque de Jérusalem, introduit le lecteur aux multiples modes de lecture, de transmission et d'interprétation de l'ensemble « Tora-Prophètes-Écrits » (TaNaKh) dans la tradition juive où ces écritures saintes vivent de leur interminable commentaire oral que les siècles d'études et de recherches (midrash) ont à peine consigné dans les volumineux talmuds de Babylone et de Jérusalem. Midrash qui, lui-même, est au principe de la rédaction des rouleaux sacrés. Relation circulaire entre écriture, lecture et commentaire que l'auteur illustre jusque dans l'interprétation de la moindre lettre comme ce hé qui transforme Abram, père stérile, en patriarche élu par Yhwh et renommé par lui (Abraham) pour la longue descendance et la postérité que l'on sait.

Hélène
canada dry est une expression du Français parlé. cela ne traite pas des Juifs du canada mais d'une boisson qui ressemblerai entout point à une autre mais qui ne sarit pas celle-ci. le terme. comme les édulcorants du sucre asspartam par exemple ou xorbitol.
Je vouslais seulement souligner qu'il ne suffit pas de singer pour être identique.
bien à vous je repart dans mon désert pour quelques temps.
Bien à vous Hélène.

Je ois Joseph. Je comprends votre point de vue.
Bon séjour dans le désert !

Nous pouvons être fier d’Israël qui a été construit en puisant dans la force de confiance du peuple de votre peuple et de son adhésion autour de ce pays. En tirant fierté de l’esprit de transcendance qui caractérise le peuple juif et de l’ambition immense qui l’anime et qui l’a conduit, dans les diverses étapes, aux meilleurs résultats faisant une démonstration admirable qui me rappelle le célèbre Vers de notre poète tunisien Aboul Kacem Chebbi « lorsque les âmes tendent vers la vie, le destin est contraint de leur répondre ».Aujourd’hui Israël progresse et prospère et ce élan ne s’arrêtera point.

Trés juste ce que vous dîtes"Israel progresse......et cet élan ne s'arrêtera point",il faut faire confiance à Israel....

bizarre, vous avez dit bizarre, une partie de l univers qui fete la naissance d un juif, et on se plaint que l on nous aiment point, drole de paradoxe, et oui jesus , de son vrai nom " yeochouah ben yoseph,", combien d antisemites, l on de travers, aller joyeux noel , faut vous habituaient , quand a la vierge marie c est un blaspheme a la face de D...,

Bonjour Roland ! il ne savait qu 'un jour , Yéochouah Ben Yossef , serais l 'idole de tous les catholiques du monde !! lui un juif ...

Un héritage commun :

Dans son discours devant les représentants de la communauté juive de Mayence, le 17 novembre 1980, Jean-Paul II soulignait "l'héritage commun" des croyants judéo-chrétiens : la Première Alliance de Yavhé-Dieu avec son peuple. Cette Première Alliance, que les Catholiques appellent "l'Ancienne Alliance" et qui forme la première partie de la Bible, comporte l'histoire des Patriarches, de Moïse et des Prophètes : ce sont là les prémices de notre foi chrétienne, comme le remarque le concile Vatican II dans "Nostra Aetate",§ 4 (1).



Outre cette Première Alliance commune, la Déclaration "Nostra Aetate" de Vatican II souligne que le Christianisme doit au peuple de la Première Alliance (les Juifs), les colonnes mêmes de l'Eglise catholique : les 12 Apôtres, tous juifs à l'origine et qui, comme les premiers bergers (les Patriarches d'Israël), sont devenus les premiers bergers du Nouvel Israël, celui de la Nouvelle Alliance scellée en Jésus-Christ (1). La Déclaration du concile Vatican II souligne aussi que les dons de Dieu sont sans repentance et que, de ce fait, les dons faits par Dieu au peuple de la Première Alliance, les Juifs, demeurent car Dieu est fidèle