|
Israël : Défense au Moyen-OrientPourquoi Israël attaquera l'IranPlus les dirigeants israéliens bombent le torse et claironnent leur détermination à mettre fin aux ambitions nucléaires de l'Iran, plus les experts ont tendance à penser qu'ils bluffent. Après tout, si George W. Bush a refusé en 2008 de fournir à Israël les bombes anti-bunker et le ravitaillement en vol nécessaires à la destruction des sites nucléaires iraniens, les chances qu'Obama fasse le contraire peuvent sembler très minces. Surtout si l'on sait que le président américain a réagi à l'annonce d'un test de missile par la Corée du Nord en se contentant d'évoquer son rêve d'un monde sans armes nucléaires. 56 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 2 heures - Le Figaro
Il y a 4 heures - Le Figaro
Il y a 6 heures - Times of Israel
Il y a 6 heures - Juif.org
4 Avril 2025 - Slate .fr
11 Mai 2025 par Claude_107
10 Mai 2025 par Blaise_001
10 Mai 2025 par Blaise_001
29 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Blaise_001
8 Mai 2025 - Torah-Box
8 Mai 2025 - Torah-Box
4 Mai 2025 - Le Monde Libre
4 Mai 2025 - Identité Juive .com
16 Avril 2025 - Identité Juive .com
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 42 minutes
encore bravo
et ham israel haye
1- Pourquoi? On sais que la bombe est un outil "deffensif" et qu'il serait hasardeux pour son proprietaire d'en tirer une, aussi petite qu'elle soit. (sauf en cas de legitime defence).
2- Pour l'iran, c'est le moyen le plus rapide de retrouver sa place sur la scene internationale apres l'aventurisme "otagetique americain de 1979". N'oublions pas que l'Iran est bien plus que la pseudo palestine, le liban, la sirie et la jordanie reunies. Il ne faut pas les prendre pour des pantains.
3- Si bombe il y aura, celle-ci se dirigera en premier lieu vers Riad ("Les amis de toujours") et cela bien avant d'atteindre Tel aviv. (Ca m'arrange, j'y vie !)
4- Israel est tres forte et j'en suis fier. Fier d'etre au garde a vous devant notre drapeau, mais Israel, dans ce cas present, ne pourra pas achever le travail en un simple aller/retour (comme ce fut le cas en d'autres endroits par le passe). Nous aurons besoin d'infos et de "forces" sur place pour coordonner et rentre chaque attaque suffisement efficasse pour qu'elle soit decisives.
On sait bien qu'une attaque d'Israel "non-decisive" se retourne tres generalement contre nous (politiquement, mediatiquement...)
5- Les implications ne seront pas que regionales: des soulevements de masses arabes, en particulier, sont a prevoir dans toutes les villes d'europe... Quid de la reaction de ces etats (France, UK, Allemagne).
Pas simple...
SE PERMETTRE D'ATTAQUER L'IRAN. LA DIFFERENCE ENTRE L'IRAK DE
SADDAM HUSSEIN ET LE TERRITOIRE IRANIEN EST SANS COMMUNE
MESURE ET LE RISQUE QUE CETTE GUERRE DEGENERE EN UN CONFLIT
GENERALISE DU MOYEN-ORIENT EST TROP IMPORTANT.
Par contre, ISRAËL a des moyens de nuire aux enturbannés en aidant la résistance
iranienne et en portant des coups EN AIDANT A SABOTER les installations atomiques
et en armant ceux qui se révoltent sur place contre ce régime islamique.
OBAMA, n'est pas décidé à s'engager dans une nouvelle guerre ni a autoriser ISRAËL
à bombarder l'IRAN.
Le temps ne travaille pas pour les israéliens et lorsque l'on voit le peu de réaction à l'annonce
par la COREE DU NORD de la reprise de sa recherche sur les armes atomiques le Monde
me donne l'impression qu'il a démissionné!
La CHINE est complice car elle est en recherche des matières premières pour continuer sa
marche en avant et elle protège la COREE DU NORD qui est une épine dans le pied des
occidentaux EN AIDANT L'IRAN a pocèder l'arme atomique et les vecteurs qui vont avec.
Ce qui rend la question difficile est qu'elle ne peut être considérée comme relevant de facteurs purement rationnels. Si l'on pense, suivant Clausewitz, que la guerre est, en substance, la continuation de la politique " par d'autres moyens ", alors elle peut être considérée du point de vue du calcul rationnel des avantages et des inconvénients : c'est là le fondement même des politiques dites de dissuasion à l'ère nucléaire : l'URSS avait certes une puissance militaire incommensurable à celle de la France et disposait de la capacité de " vitrifier " plusieurs fois le territoire français. Néanmoins la considération des dommages qu'une " seconde frappe " française ( celle des sous-marins nucléaires français, toujours en mouvement sous les mers ) eût infligés à ses deux principales villes, Moscou et Léningrad, était de nature à la dissuader de tenter l'aventure.
Et, pendant la guerre froide, des considérations rationnelles de ce type ont limité la confrontation soviéto-américaine aux théâtres " secondaires " ( c'est-à-dire, pour l'essentiel, non-européens ) et à l'emploi, sur ces théâttres, d'armements duts conventionne
Mais que se passe-t-il si ou lorsque des éléments irrationnels faussent ce schéma ? On sait par exemple qu'après le débarquement allié en Normandie, le 6 juin 1944, la logique militaire la plus évidente voudrait que priorité absolue soit donnée par les Allemands à la concentration de troupes et de matériels sur le théâtre ouest-européen. Eh bien les choses ne se passent pas exactement de la sorte, car cette priorité rationnelle est battue en brèche par le souci nazi de donner au contraire un maximum de moyens, notamment ferroviaires pour les déportations de Juifs vers les camps d'extermination. Je ne prétends pas que cela explique in fine la défaite allemande en Europe, mais c'est un exemple de comportement irrationnel produit par une idéologie fanatique.
Or, le moins qu'on puisse penser à la lecture des déclarations de dirigeants iraniens comme Ahmadinejad et Khamenei, c'est que leur fanatisme religieux ne permet aucunement de faire fond sur une attitude pleinement rationnelle de leur part. Et c'est aussi pourquoi, à ce qu'il me semble, Israël ne peut pas miser sur l'intérêt " bien compris " de l'Iran et de ses dirigants : la passion islamique voile, aux yeux mêmes des dirigeants iraniens, ce qui pourrait être vu comme l'intérêt bien compris de leur pays et même les détourne de toute considération de cet ordre. Dans ces conditions, Israël n'a pas d'autre choix que de prendre au sérieux l