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Israël : Défense au Moyen-Orient

Pourquoi Israël attaquera l'Iran

Pourquoi Israël attaquera l'Iran - © www.slate.fr

Plus les dirigeants israéliens bombent le torse et claironnent leur détermination à mettre fin aux ambitions nucléaires de l'Iran, plus les experts ont tendance à penser qu'ils bluffent. Après tout, si George W. Bush a refusé en 2008 de fournir à Israël les bombes anti-bunker et le ravitaillement en vol nécessaires à la destruction des sites nucléaires iraniens, les chances qu'Obama fasse le contraire peuvent sembler très minces. Surtout si l'on sait que le président américain a réagi à l'annonce d'un test de missile par la Corée du Nord en se contentant d'évoquer son rêve d'un monde sans armes nucléaires.

56 commentaires
Que ce soit avec, ou sans les USA, je fais parfaitement confiance à Israêl, son nouveau gouvernement, et son armée merveilleuse Tsahal, pour faire ce qui sera le mieux pour le pays., avecl'aide de D....

HAM ISRAEL HAYE (au-dessus de tous nos ennemis sans exception).



Envoyé par Viviane_005 - le Vendredi 17 Avril 2009 à 20:22
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Envoyé par Hilda - le Vendredi 17 Avril 2009 à 20:32
Ashkenazi a réclamé ce que Jérusalem demande à Washington depuis plusieurs mois : une date buttoir pour les initiatives diplomatiques destinées à persuader les ayatollahs d’abandonner volontairement les activités d’enrichissement de l’uranium.



Face au "no comment" des interlocuteurs américains, notre chef d’état-major les a avisés – second dossier - qu’Israël attaquerait les installations qui la menacent en Iran aussitôt qu’elle le jugerait nécessaire. Et Ashkenazi a ajouté que cela se ferait avec ou sans la participation US, avec ou sans son accord, puisqu’il s’agissait de la survie d’Israël.



Ce qui n’a pas manqué d’irriter un certain nombre d’experts étasuniens, qui répètent à satiété qu’une attaque contre la Perse ne ferait qu’embraser toute la région, et qu’ils doutent qu’Israël ait les moyens d’infliger suffisamment de dommages aux installations sensibles pour mettre fin – ou ralentir efficacement – le projet nucléaire de la République Islamique.



Devant le manque de coopération américain, l’Etat hébreu est contraint à envisager des alternatives à l’opération – dans des conditions idéales – qu’elle envisageait. Cette option préférentielle consistait à opérer – avec ou sans l’U.S Air Force, qui s’est entraînée avec nos aviateurs – depuis les aéroports où nous disposons d’un pied-à-terre, dans le pourtour de la république chiite, et, particulièrement, dans le Kurdistan irakien.



Mais pour cela, le blanc-seing des USA, qui contrôlent l’espace aérien irakien, est absolument indispensable.



Les stratèges israéliens ont planché dur afin de proposer aux décideurs des variantes, certes plus complexes, mais assurant tout de même un haut pourcentage de réussite.



Aussi, ils ont dû être passablement surpris de voir, le 14 mars dernier, sortir le rapport de 114 pages, produit par le respectable Center for Strategic and International Studies (Centre pour les Etudes Stratégiques et Internationales), sous la plume du chercheur Abdullah Toukan.



Passons sur le fait que ce document contient passablement d’imprécisions et de données qui ne sont pas à jour, que je me garderai soigneusement de commenter, pour considérer l’essentiel : la possibilité pour Israël d’attaquer les installations iraniennes non avec son aviation, mais avec ses missiles balistiques Jéricho III.



Toukan se moque un peu du monde lorsqu’il explique que l’emploi de ces missiles solutionnerait les problèmes inhérents aux avions, la portée d’utilisation et les dangers encourus par les pilotes.



Ces problèmes sont assurément réels, mais la Hei’l Avir (l’Armée de l’Air israélienne) s’exerce sur ces missions depuis des années, grevant des budgets de préparations extravagants.



L’usage des Jéricho participe ainsi d’une variante envisagée et testée plus récemment.



Et son objectif, comme ne le précise pas Toukan, est de se passer du O.K américain, car rien ni personne ne peut matériellement empêcher l’Etat hébreu de lancer des Jéricho sur les installations stratégiques des ayatollahs.



Selon le rédacteur de ce rapport, il suffirait de 42 missiles de ce type - d’autres sources américaines qui nous ont spontanément contactés parlent de 48 et de 56 – afin de détruire les sites nucléaires de Natanz, Ispahan et Arak.



Ce qu’il ne dit pas (ou ne sait pas), c’est qu’un assaut de ces missiles ultra-précis, qui transportent une charge conventionnelle utile que Toukan fixe à 750 kg (sic), pourrait être complété par des raids aériens.



Après le "travail" initial de destruction effectué par les Jéricho, un passage d’attaque des bombardiers F-15 i, ayant décollé d’une plateforme située en Israël ou dans un endroit non soumis au veto US, est parfaitement envisageable.



Tandis que des raids à répétition, sans disposer du droit de survoler l’Irak et de s’y poser, n’est pas concevable, pour toutes les raisons que j’avais développées dans un papier précédent.



Il convient encore d’ajouter au rapport du Center for Strategic and International Studies que, si Israël usait de ses missiles balistiques lors d’une opération contre l’Iran, il ne se contenterait pas de s’en prendre aux installations nucléaires, mais s’attaquerait certainement aux concentrations de missiles, à leurs usines et aux centres de développement qui les mettent au point.









Des Jéricho pour l’Iran ?



Israël détruirait probablement aussi des voies et des systèmes de communication, des bases de l’armée de l’air, des raffineries, des centrales électriques, des QG des Gardiens de la Révolution, etc.



Imaginer que Jérusalem se contenterait d’anéantir trois pôles d’activités nucléaires, ou qu’elle ne ferait appel qu’à une cinquantaine de fusées, procède d’a priori peu probables.



On peut également se poser la question sur l’opportunité de la publication d’un tel rapport en ce moment précis : qui a soufflé l’existence de cette variante d’attaque à Abdullah Toukan et à l’intention de qui ?



Ce pourrait être les Israéliens, qui avisent le gouvernement US de ce qu’il a meilleur temps de collaborer avec Jérusalem, car Jérusalem peut se passer de lui. Et les Américains sont de toute façon concernés, car Téhéran pourrait se venger en cessant sa production de pétrole, en attaquant la Navy dans le golfe d’Hormuz, leurs forces terrestres stationnées en Irak, leurs intérêts dans les Etats du Golfe.



Ce pourrait être aussi des éléments de l’establishment de la défense US qui désireraient sensibiliser l’administration Obama afin qu’elle mette en garde les Hébreux contre une aventure de ce type.



Dans le cadre de la publication de ce genre de document, il existe une multitude d’hypothèses relatives aux aspirations poursuivies par l’un ou l’autre des protagonistes installés à la table du jeu de stratégie.



Ne nous perdons donc pas en conjectures, si cette démarche venait à affecter le cours des préparatifs de l’opération israélienne, nous le saurons forcément, et ce serait alors ces implications que nous analyserions.



Ce qu’il importe de retenir, pour le moment, c’est que l’inconsistance de l’Union Européenne et les dérives incontrôlées de l’apprenti-président Obama laissent, à nouveau, Israël en première ligne pour prendre en charge sa défense et celle du monde libre.



De même que celle d’une grande partie du monde arabe, qui demande à Israël de l’inclure sous le parapluie défensif constitué par le déploiement des missiles anti-missiles balistiques Khetz II (Flèche).



Nul doute qu’on approche de l’échéance fatidique et que les erreurs stratégiques et tactiques vont commencer à se payer comptant. C’est ce qui pousse Netanyahu à jouer à fond la carte Barak à la Défense. Et Barak, à faire passer l’intérêt de la nation avant celui de son parti, en prenant le risque de son implosion.



"Mieux vaut risquer la désintégration du Maharakh que celle de l’Etat d’Israël qu’il a créé", m’a confié, il y a quelques heures, un pro-Barak avéré, à qui il est promis un ministère dans le prochain gouvernement.






Envoyé par Judith - le Samedi 18 Avril 2009 à 09:45
Jericho III
It is estimated that the Jericho III entered service by 2008.

The Jericho III is believed to have a three-stage solid propellant and a payload of 1,000 to 1,300 kg. It is possible for the missile to be equipped with a single 750 kg nuclear warhead or two or three low yield MIRV warheads. It has an estimated launch weight of 29,000 kg and a length of 15.5 m with a width of 1.56 m. It likely is similar to an upgraded Shavit space launch vehicle. It will probably have longer first and second-stage motors. It is estimated that it will have a range of 4,800 [3] to 7,000 km [4][5](2,982 to 4,350 miles), and probably significantly greater with a payload of 350kg (one Israeli nuclear warhead). It is believed that the Jericho 3 is inertial guided with a radar guided warhead and silo-based with mobile vehicle and railcar capabilities.

The Jericho 3 will give Israel nuclear strike capabilities within the entire Middle East and Europe. The range of the Jericho 3 also provides an extremely high impact speed for nearby targets, enabling it to avoid any ballistic missile defenses that may develop in the immediate region[6].

On 17 January 2008 Israel test fired a multi-stage ballistic missile believed to be of the Jericho III type reportedly capable of carrying "Special warheads".[2]

Envoyé par Judith - le Samedi 18 Avril 2009 à 09:47
Le haut commandement américain : c’est sérieux !



Car, pour l’amiral Michaël Mullen, le commandant des chefs d’état-major unifiés au Pentagone, qui était de passage en Terre Sainte la semaine dernière, Jérusalem se serait fixé un agenda de douze mois, tout au plus, pour faire cesser les opérations iraniennes d’enrichissement d’uranium, que cet objectif soit atteint par des sanctions internationales ou par une action militaire.



Mullen a précisé que le calendrier américain pour atteindre cette finalité était un peu plus étendu. Tout en précisant qu’Israël demeurait un allié vital et fiable des USA au Moyen-Orient, l’amiral a affirmé que l’Etat hébreu "faisait face à des menaces très pointues pour sa sécurité (…Clin d'oeil".



A l’occasion de sa visite ici, le chef suprême des armées américaines a mentionné la présence de navires équipés pour la défense contre-missiles au sein de la VIème flotte qui croise dans la Méditerranée. Des vaisseaux qui, selon un autre amiral U.S, James Winnefeld, auraient participé à des exercices d’interception de missiles balistiques Shihab-3 et 4, tirés contre Israël, en coordination avec les Khetz et les Patriots en service dans Tsahal.



Dans un article publié par le magazine mensuel de l’Institut Naval américain, Winnefeld a décrit la "possibilité d’un barrage offensif de missiles balistiques tirés d’Iran contre Israël" en termes de "l’utilisation de loin la plus probable de missiles balistiques dans le monde actuel". Winnefeld, dans son article, réclame sur cette menace "notre attention immédiate dans le cas où il faudrait avoir recours à une réplique étasunienne ou de l’OTAN".



Quant au Sunday Telegraph, toujours lui, il croit savoir que l’état-major américain craint que l’attaque israélienne contre les installations nucléaires iraniennes ne se solde par un échec, à cause du "manque d’informations relatives à leur localisation précise.



A en croire le confrère, l’insuffisance de renseignements aurait été évoquée entre l’amiral Mullen, le ministre de la Défense israélien, le général de réserve Ehoud Barak, et les chefs des deux armées, à l’occasion de la visite du commandant suprême U.S.



Difficile de savoir s’il s’agit d’info ou d’intox, qui remplit l’éther, en ces temps de grande tension. Il semble toutefois à votre serviteur, que si les alliés américano-israéliens manquaient effectivement de ce type de renseignements, ils ne le feraient pas savoir aux ayatollahs par l’intermédiaire d’un journal britannique.



Que retenir de ces déclarations croisées et nombreuses ?



L’image qui s’en échappe est suffisamment précise pour être décodée par des analystes stratégiques : Les USA ne veulent pas, ou ne peuvent pas intervenir contre l’Iran aussi rapidement et offensivement que l’establishment de la défense israélien ne le souhaite. Les malheureux rapports des officines du renseignement de l’Oncle Sam les en empêche, de même que la situation en Irak et en Afghanistan et, surtout, la proximité de l’échéance électorale présidentielle.



Et Israël ne peut ou ne veut pas attendre que Washington soit prête à la suivre. Il semble donc que si Israël entend anéantir la menace perse, il faudra qu’elle en prenne seule l’initiative militaire. Or l’on sait – il suffit de consulter une carte géographique pour s’en persuader – qu’une opération bleu-blanche contre la République Islamique ne peut avoir lieu si l’Amérique s’y oppose.



Mais l’Amérique ne s’y oppose pas, et, de plus, elle pourrait bien apprécier d’être "forcée d’intervenir" devant le fait accompli d’une opération israélienne. Dans une telle situation, surtout si Téhéran réplique ou si elle se mettait en tête l’idée saugrenue de bloquer le détroit d’Hormuz, personne, aux Etats-Unis, ne trouverait pas naturel que son armée intervienne au côté de l’allié israélien, et ce, en mettant tous ses moyens immédiatement en œuvre. C’est d’ailleurs là la seule explication rationnelle aux exercices conjoints, israélo-américains, qui se déroulent déjà depuis plusieurs années sur le même thème.



Si les sanctions de la dernière chance pour la paix échouaient, en septembre prochain au Conseil de Sécurité, l’Amérique ne précéderait pas Israël dans une opération militaire, elle ne participerait pas au premier assaut, mais elle prendrait la suite de Jérusalem. Ce, à moins que Téhéran ne renonce à toute réplique militaire directe, auquel cas, l’intervention des armées de l’Oncle Sam deviendrait superflue.



Le gouvernement d’Israël aura donc à prendre seul la décision de déclencher, ou de ne pas déclencher, la campagne contre l’Iran menaçant. Inutile d’écrire que cette décision dépasse les capacités de Monsieur Ehoud Olmert, et qu’on devra attendre la décantation de la crise politique à Jérusalem pour voir l’indécision se dissiper.



Jusqu’alors, on continuera à s’entraîner pour de vrai et à bluffer l’ennemi. Comme par cette manœuvre d’attaque de toute l’aviation des Hébreux contre une paisible et minuscule île de la Méditerranée, censée simuler des opérations équidistantes en Perse.



C’est un peu gros à avaler, même pour les stratèges iraniens sans doute aux abois : la campagne, si elle est déclenchée, durera plusieurs semaines, puisqu’elle ne pourra s’achever que par la destruction de l’infrastructure nucléaire de l’adversaire. Or, s’il fallait effectuer des norias de bombardement entre Israël et l’Iran, l’opération serait simplement irréalisable ; les hommes et le matériel seraient soumis à un stress intense et superflu, les radars islamiques les verraient arriver des heures à l’avance. Il faudrait dix fois plus d’avions ravitailleurs que n’en possède la Khel Avir, et ceux-ci devraient sillonner sans cesse, à basse vitesse, des cieux hostiles. Il faudrait survoler, avec des appareils croulant sous le poids de leurs bombes, ou, de retour de mission, touchés par la DCA ennemie, des milliers de kilomètres au-dessus de la Jordanie ou de la Turquie, qui ne pourraient se permettre de nous le permettre. Il faudrait renoncer à emporter des armes au profit de carburant, inutile et pénalisant en phase de combat.



En vertu de ce qui précède, je ne dévoile aucun secret capital en écrivant que ce n’est pas ainsi que Tsahal envisage de priver l’Iran des moyens de fabriquer la bombe atomique. Si on pouvait en parler dans ces colonnes, les lecteurs de la Ména seraient soufflés en apprenant le genre des préparatifs en cours ou en projet, et les moyens extraordinaires qu’ils engagent. Mais rassurez-vous ou restez sur votre faim, personne, à la Ména, n’a la moindre intention d’aider Adolf Ahmadinejad à comprendre ce qu’Israël lui mijote.



Envoyé par Judith - le Samedi 18 Avril 2009 à 09:54
From The TimesApril 18, 2009

Israel stands ready to bomb Iran's nuclear sites
Sheera Frenkel in Jerusalem
The Israeli military is preparing itself to launch a massive aerial assault on Iran's nuclear facilities within days of being given the go-ahead by its new government.

Among the steps taken to ready Israeli forces for what would be a risky raid requiring pinpoint aerial strikes are the acquisition of three Airborne Warning and Control (AWAC) aircraft and regional missions to simulate the attack.

Two nationwide civil defence drills will help to prepare the public for the retaliation that Israel could face.

“Israel wants to know that if its forces were given the green light they could strike at Iran in a matter of days, even hours. They are making preparations on every level for this eventuality. The message to Iran is that the threat is not just words,” one senior defence official told The Times.

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Officials believe that Israel could be required to hit more than a dozen targets, including moving convoys. The sites include Natanz, where thousands of centrifuges produce enriched uranium; Esfahan, where 250 tonnes of gas is stored in tunnels; and Arak, where a heavy water reactor produces plutonium.

The distance from Israel to at least one of the sites is more than 870 miles, a distance that the Israeli force practised covering in a training exercise last year that involved F15 and F16 jets, helicopters and refuelling tankers.

The possible Israeli strike on Iran has drawn comparisons to its attack on the Osirak nuclear facility near Baghdad in 1981. That strike, which destroyed the facility in under 100 seconds, was completed without Israeli losses and checked Iraqi ambitions for a nuclear weapons programme.

“We would not make the threat [against Iran] without the force to back it. There has been a recent move, a number of on-the-ground preparations, that indicate Israel's willingness to act,” said another official from Israel's intelligence community.

He added that it was unlikely that Israel would carry out the attack without receiving at least tacit approval from America, which has struck a more reconciliatory tone in dealing with Iran under its new administration.

An Israeli attack on Iran would entail flying over Jordanian and Iraqi airspace, where US forces have a strong presence.

Ephraim Kam, the deputy director of the Institute for National Security Studies, said it was unlikely that the Americans would approve an attack.

“The American defence establishment is unsure that the operation will be successful. And the results of the operation would only delay Iran's programme by two to four years,” he said.

A visit by President Obama to Israel in June is expected to coincide with the national elections in Iran — timing that would allow the US Administration to re-evaluate diplomatic resolutions with Iran before hearing the Israeli position.

“Many of the leaks or statements made by Israeli leaders and military commanders are meant for deterrence. The message is that if [the international community] is unable to solve the problem they need to take into account that we will solve it our way,” Mr Kam said.

Among recent preparations by the airforce was the Israeli attack of a weapons convoy in Sudan bound for militants in the Gaza Strip.

“Sudan was practice for the Israeli forces on a long-range attack,” Ronen Bergman, the author of The Secret War with Iran, said. “They wanted to see how they handled the transfer of information, hitting a moving target ... In that sense it was a rehearsal.”

Israel has made public its intention to hold the largest-ever nationwide drill next month.

Colonel Hilik Sofer told Haaretz, a daily Israeli newspaper, that the drill would “train for a reality in which during war missiles can fall on any part of the country without warning ... We want the citizens to understand that war can happen tomorrow morning”.

Israel will conduct an exercise with US forces to test the ability of Arrow, its US-funded missile defence system. The exercise would test whether the system could intercept missiles launched at Israel.

“Israel has made it clear that it will not tolerate the threat of a nuclear Iran. According to Israeli Intelligence they will have the bomb within two years ... Once they have a bomb it will be too late, and Israel will have no choice to strike — with or without America,” an official from the Israeli Defence Ministry said.

Envoyé par Judith - le Samedi 18 Avril 2009 à 10:14
Excellent Judith, comme d'habitude. ET merci de toutes ces recherches que vous nous faites partager avec générosité

Je ne vais pas paraphraser des articles aussi "pointus", mais je pense qu'en attendant qu'Israêl et son nouveau gouvernement (de droite, et fort de préférence) soit mis en place, et que l'Amérique constate qu'elle peut vraiment compter sur son allié Israélien, il faudra continuer à louvoyer et à bluffer, par précaution.

De toutes façons, ils ont tellement de "semoule" dans la tête ces fondus de terroristes arabo/muzz, qu'ils finiront par se prendre les pieds dans les pans de leurs guenilles, et par ne plus savoir, justement, sur quel pied danser.

Comme leurs desseins sont aussi noirs que leurs âmes (si ils en ont une), D... continuera à les faire pédaler dans la semoule, jusqu'à ce qu'ils demandent pardon de toutes les horreurs qu'ils accomplissent soi-disant en Son Nom. (Non mais des fois, même allah n'est pas une poubelle tout de même...).

HAM ISRAEL HAYE (dans le couscous "avec semoule" à l'israélienne).
Envoyé par Viviane_005 - le Samedi 18 Avril 2009 à 11:34
Judith et viviane
merci pour ces precieux renseignement,et j'espere que bientot ce pantin d'almadinedjad entendra la bonne musique de nos trompettes de Jericho lll,et qui le fera danser la dans du ventre sur le couscous qu'il aura mange la veille.
ham israel hay,sur tous ces pantins enturbannes
Envoyé par Robert Haim - le Samedi 18 Avril 2009 à 17:10
Merci Robert Haïm. Je constate avec amusement que je fais dans émules dans l'humour juif "spécial" que j'utilise sur ce site dès que je parle de tous "nos amis"!!! Vos êtes doué my dear.

Chalom et HAM ISRAEL HAYE(sur la justice divine qui s'abattra incessamment sous peu sur tous ces malfaisants, amen).
Envoyé par Viviane_005 - le Samedi 18 Avril 2009 à 18:36
Merci beaucoup, Judith, pour les très précieuses informations que vous nous faites connaître. J'espère - mais je vous fais tout à fait confiance - qu'il n' y a rien, là-dedans qui ne puisse être publié. Au-delà de toutes les spéculations que l'on peut faire, notamment sur les réserves américaines, je crois que le dernier mot revient à ce responsable du ministère israélien de la Défense que vous citez en conclusion : " une fois que [ l'Iran ] aura la bombe, ce sera trop tard et Israël n'aura pas d'autre choix que de frapper - avec ou sans l'Amérique " .
Envoyé par Edmond_002 - le Samedi 18 Avril 2009 à 23:04
Membre Juif.org





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