Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

"Quand les Israéliens pensent à la Pologne, j'espère qu'ils se souviendront de toute l'histoire du peuple juif sur cette terre", a déclaré mardi l'ambassadrice polonaise en Israêl, Agnieszka Magdziak-Miszewska.

Et elle a bien raison de rappeler ces souvenirs, avec le négationisme qui enahit la terre en ce moment....

AM ISRAEL HAY

Qu'elle ne s'inquiète pas, on se souvient que pogrom est un mot polonais.

Qu'ont ils donc ces Polonais pour être les pires antisemites au monde? Et pourquoi les Juifs d'origine polonaise sont ils si fiers d'etre polonais? Même ce connard dernier survivant de l'insurection du gueto de Varsovie a fini sa vie en Pologne et n'a jamais admis le création de l'etat d'Israel ... Le fameux pianiste lui, a repris son poste à la radio apres la guerre ... tranquille... Ont ils trop aimé leur pays ? qu'ont ils donc ces polonais ? c'etait le paradis?
meme pas parce que toute l'histoire polonaise nous demontre leur haine des juifs ! Je crois que les juifs polonais etaient masochistes ! pas d'autre explication ! Bon pour etre une peu plus juste il faut rappeler que
ceux qui ont choisi Israel apres la guerre etaient les plus implacables sur le terrain (irgoun) quel etrange pays que cette pologne ... qu'on sent toujours prete à la haine antisemite... dommage il n'y a plus de juifs chez eux !
On leur manque c'est sûr ...

Ce propos ne s’adressent pas aux ashkénazim pour lesquels l’histoire juive de la Pologne fait de partie de l’inconscient collectif. Ils s’adressent aux sefardim (à part évidemment ceux de Hollande) pour lesquels l’histoire juive de l’Europe en général, et celle de la shoah en particulier, ne sont que des récits assimilables à ce que sont les histoires de dragons du Moyen-Âge pour les enfants occidentaux.

nous avons cherement payé la disperssion du peuple juif aux quatres coin du monde, les dirigeants du monde devraient reprendre a leur compte les propos de l ambassadrice polonaise, la souffrance du peuple juif en diaspora depuis des siecles, un peuple qui aujourd hui qui aspire a un peu de repos sur la terre de ses ancetres, malheuresement, des barbares assoiffes de sang se dresse sur notre route avec la complicité d un certain nombre de juifs de gauche, mais israel est fort, meme si le monde est frapper d amnesie quand il s agit des souffrance, et des malheurs du peuple juif, a jamais le sang de notre peuple restera une tache sur l histoire du monde

David 038 / 9/58 !! On ne choisit pas où l 'on nait et d 'où l 'on vient malheureusement ...je suis d 'origine Polonaise , mes origines je ne les ais pas choisi ...et je n 'en suis pas plus fière pour ça !! votre analyse est ridicule !! si vous êtes seph , vos parents n 'ont pas subbit autant de haine et de pogrome et les camps d' exterminations que ceux d' europe de l ' Est !! voilà qui est plus logique et qui remet les pendules à l 'heure

SHALOM, je suis d'origine polonaise par mon père et Juif aussi par mon père, je me sens de confession Juve autant qu'une autre personne Juive, pourtant mes grans parents n'aimaient pas les Juifs
en Pologne, mon arrière grand père a même polonisé son nom de famille SCHWARTZ en szwarc
pouirquoi ? je n'ai jamis sû pourquoi et mes grans parents n'ont jamais voulu m'expliquer ce silence
si vous pouvez m'aider à comprendre
moi je suis converti au Judaïsme , alors que je devrais être file de père Juif
richard dawid

Marek Edelman, fidèle au dogme créateur de son mouvement impliquant en priorité le renoncement à un territoire national, n'avait pas compris que la disparition du Bund et la renaissance de l'antisémitisme avaient sonné le glas de ses illusions et ouvert de manière éclatante la voie à l'aventure sioniste. Au fond de lui même, il n'avait jamais cru à la possibilité de l'émergence d'un Etat juif. En préférant continuer son aventure polonaise en territoire antisémite plutôt que de mettre sa technique de combattant expérimenté au service de la création d'un embryon d'armée juive, il s'est mis au ban de la société israélienne. Son aigreur mal contenue l'a ensuite amené à pactiser avec le diable iranien. Israël refuse toujours de le compter parmi ses héros et d'inscrire dans l'Histoire juive le nom de ce juif diasporique. Mordechaï Anielewicz, le sioniste, restera le seul emblème du soulèvement du Ghetto de Varsovie.

David, j’ai bien peur que Jacqueline n’ait raison et que tes propos soient ceux d’un sépharade qui ignore à peu près tout de l’histoire contemporaine en général et de celle des juifs d’Europe en particulier. Comme hélas beaucoup de séphardim. Les juifs d’AFN, et je présume à tes propos que tu en es, et mis à part les intellectuels, n’ont pour seule représentation mentale de ce fut le monde ashkénaze, un point de vue qui s’apparente à celui qu’ils ont de l’histoire de l’Ouest américain vue à travers les bandes dessinées de 1960.

Tenir les propos qui sont les tiens au sujet de survivants de la révolte du Ghetto de Varsovie, te disqualifie d’office de toute voix au chapitre dans ce domaine. C’est démontrer que tu ignores totalement l’histoire du peuple juif d’Europe centrale, celle du Bund, du sionisme, et des courants politiques qui animaient le monde juif avant les années 1930. Que tu ignores tout des problèmes qu’a posé le sionisme au judaïsme d’Europe de l’Est. Il est difficile de t’en vouloir, dans la mesure où pour en prendre conscience, il faut un minimum de culture et d’intelligence. L’on ne peut pas demander l’impossible.

Et avant de traiter de conard un héros comme celui que tu cites, explique-nous quels sont les titres de gloire et de sionisme militant, ou de passage dans Tsahal, qui te permettent de juger ces gens là. Les injures stupides et dignes d’un primaire déculturé ne sont pas admissibles de la part de quelqu’un dont les titres de sionisme militant se limitent à ces injures.

Les Juifs à Varsovie jusqu'en septembre 1939
Les débuts de l'installation des Juifs à Varsovie furent présentés par Emanuel Ringelblum dans son travail de thèse en 1927 et ensuite dans un livre publié cinq ans après: Żydzi w Warszawie od czasów najdawniejszych do ostatniego wygnania w 1527 roku [Les Juifs à Varsovie des les temps les plus anciens jusqu'à la dernière expulsion en 1527].

Dès la deuxième partie du XVIIIe siècle, les Juifs s'établirent dans de nombreuses bourgades privées qui seulement avec le temps se transformèrent en quartiers urbains. Sur la rive droite de la Vistule, la commune juive de Praga (quartier de Varsovie) existait au moins depuis 1760. Sur la rive gauche, dans Varsovie même, la commune juive fut fondée à la fin du XVIIIe siècle. Après 1832, elle a aussi incorporé les Juifs de la rive droite. Successivement, Varsovie est devenue le lieu de la plus grande concentration de Juifs en Europe. Dans la période de l'entre-deux-guerres, ce fut l'un des plus animés centres culturels juifs en Pologne et dans le monde entier.

1795 - environ 6.000 Juifs = environ 8,6 % de la population
1820 - environ 22.000 = environ 22 %
1856 - environ 41.000 = environ 26 %
1887 - 150.558 = 34.3 %
1914 - environ 337.000 = environ 38 %
septembre 1939 - 359.827 = environ 33 %


Dans certains quartiers centraux de Varsovie, sous le Grand-Duché de Varsovie et sous le Royaume de Pologne, créé après le Congrès de Vienne, des limites dans l'établissement des Juifs étaient de vigueur. Ils s'installèrent donc dans les parties de la ville qui leur étaient disponibles. En 1862, ces limites dans l'établissement des Juifs furent annulées. Une des plus importantes communautés du début du XIX siècle fut créée à l'ouest de la Vieille et de la Nouvelle Villes, tout au long de la rue Nalewki. Le nom de cette rue devint un véritable symbole de la Varsovie juive. Cela fut l'endroit d'une vie commerciale et industrielle très animée, une rue étroitement couverte d'immeubles de rapports, dans lesquels se trouvaient des magasins, des appartements, des pâtisseries et aussi de nombreuses maisons de prière.