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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientBarkat : “la construction continuera à Jérusalem”Le maire de Jérusalem, Nir Barkat, s’est engagé à continuer les constructions dans toute la capitale, lundi matin, quelques heures après que l’envoyé spécial au Proche Orient, George Mitchell, ait annoncé qu’Israël avait accepté de figer la construction dans le quartier de Ramat Shlomo, au nord de Jérusalem.
Dans une déclaration publiée en son nom, Barkat a écrit : « le véritable test est dans les mesures pratiques, la municipalité continue de construire dans toutes les parties de la ville, en accord avec les plans généraux pour les juifs comme pour les arabes. Nous espérons que le ministère de l’intérieur et le ministère du logement approuveront les plans et nous aiderons à préserver la population jeune et âgée de Jérusalem, qui souffre d’un manque de logements, pour arrêter l’émigration de la ville. Nous croyons dans le premier ministre pour ne pas accepter de gel à Jérusalem, pas dans les mots et pas dans les faits. »
Les palestiniens disent le contraire, que la construction a été gelée de fait et que cela continuera, même si ce n’est pas annoncé officiellement.
« Le véritable test n’est pas dans les déclarations mais dans les faits. Les palestiniens sont engagés à maintenir le gel, pour le succès des négociations. Les contraintes de Netanyahou doivent aussi êtres prises en compte, » a dit une source palestinienne, ajoutant que cela ne veut pas dire que les actes du premier ministre seront ignorés.
Le ministre des infrastructures, Uzi Landau, actuellement au Costa Rica, a exprimé son inquiétude suite à l’annonce du gel, en dépit des dénégations entendues de sources proches de Netanyahou. « Je ne suis pas familier avec tous les détails, mais si ce que j’ai entendu est vrai, il s’agit d’une grave erreur. J’ai l’intention de le dire a Netanyahou, et j’exprimerai la même opinion devant tout le gouvernement, » a dit le ministre.
L’annonce faite par Mitchell était accompagnée d’une menace inusuelle et spécifique : si le dialogue de proximité devait échouer, la responsabilité serait mise sur la partie qui a pris des décisions qui ont considérablement miné la confiance dans le processus.
Contrairement a Landau, le ministre de l’information et de la diaspora, Yuli Edelstein, était calme et disposé à adopter la position du premier ministre. « Lorsque la critique est nécessaire, je n’hésite pas à le faire, mais je pense que maintenant n’est pas le moment pour cela, » a-t-il dit. « Il n’y a rien de nouveau ici. Lorsque (le vice-président américain Joe) Biden était ici, on a dit que l’approbation des constructions prendrait des années, et il n’y a donc aucune chance que de nouveaux logements à Ramat Shlomo prennent forme dans les deux ou trois ans. »
Edelstein a noté que « même les Etats-Unis n’ont pas appelé cela un ‘engagement’ de la part de Netanyahou, mais une clarification en son nom. Je ne pense pas que nous parlons que quelque chose qui puisse modifier les positions du gouvernement ou celles de ses leaders, qui disent que la construction continuera à Jérusalem, dans tous ses quartiers. » Il a aussi noté que dimanche, le gouvernement a consacré une heure et demie au dossier de Jérusalem, dans laquelle la question du gel n’a même pas été abordée.
Mais le ministre est aussi pessimiste sur les chances de succès du dialogue de proximité, blâmant les palestiniens. « Les américains essayent vraiment de promouvoir le processus dans un cadre problématique. S’ils amènent les deux parties à négocier, bien, mais avec l’atmosphère actuelle au sein de l’autorité palestinienne, il est difficile de voir comment nous arriverons à des pourparlers directs. Ils cherchent des excuses pour blâmer Israël plutôt que de tenter d’avancer. » Articles connexes
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Il se crée en se moment entre l'autorité palestinienne et le Hamas un jeu
dangereux pour ISRAËL. D'un côté l'OLP avec Abou Mazen qui ne veut pas
entrer directement en discution avec le gouvernement israélien et traîne des
deux pieds en ne lachant rien devant Mitchell sauf d'envoyer des ballons vides
de sens pour tester la fermeté de Natanyahou et continuer la propagande faisant
croire au monde entier que c'est ISRAËL qui empêche toute résolution à la crise
au Moyen-Orient.
De l'autre côté, le Hamas qui reste sur ses positions niant l'état juif et proclame
la guerre à outrance jusqu'à la disparition d'ISRAËL.
Une complicité implicite entre les deux formations "palestiniennes" existe et est
un façon d'embrouiller encore plus toute négociation de Paix.
Dans ces conditions, je crois qu'il faut faire très attention aux propositions non
officielles qui ne reposent sur aucune base solide et sont faites pour cacher le vrai
programme des arabes, la lutte armée contre les israéliens.
Top Obama advisor John Brennan is now calling Jerusalem "al-Quds."
A l'entendre parler on dirait un joujou télévisé qui n'a aucune influence sur le peuple est n'inspire aucune confiance,
on à pas l'impression d'être devant un président mais plutôt devant un babo et donc quand on à une personne comme celle si à un pouvoir, surtout celui des palestiniens on voit encore pire qu'arafat cafard , alors les négociations moi je dis que c'est pour dans très longtemps quand les palestiniens auront un président confiant pas une crapule de corruption et pas une marionnette qui se fait dirigée par tout la clic arabe et eux même lui prépare ses discours car on à l'impression d'avoir à faire un inculte qui ne prend lui même aucune déciision c'est normal qu'il voulait s'èsquiiver ce blaireau mais bon surtout il faut seulement s'attendre à aucun mieux avec nos voisins et pour notre réputation en tant qu'Israêl qui changerais car on a pas d'outils en face encore faudrait qu'il prenne conscience que l'on leurs donne des kdos et pas une terre qui leurs appartient même si il veulent nous détruire ça suffit de vouloir changer l'histoire du peuple juif et d'Israël une 50 haines de pays arabes et ils veulent tous les fuirseéxemple la france qu'est ce qui vont faire encore un état arabe pour encore plus de merde mais bon le destin des juifs il change pas malheureusement plz mashisah when r u come we need you amen.
du voleur volé!
Après avoir sciemment abandonné ces territoires les jordaniens essaient de
remettre le couvert en réclamant la légitimité sur les deux rives du Jourdain et
cela prouve encore une fois que les arabes ne sont jamais satisfait et demande
toujours plus.
Si Israël venait à donner son accord pour que la Jordanie redevienne maîtresse
de ces territoires cela déclarerait la fin totale de la Palestine et le retour à la
case départ.
Le seul avantage, c'est que la Jordanie dont la capitale est Amman ne pourrait plus
revendiquer Jérusalem ! ! !
Je reviens à dire, que pour le bien des populations et la paix une confédération
Jordano-Israélienne sans la Palestine qui n'existerait plus serait un grand pas
pour le développement et la stabilité de la région.
Je sais aussi, que les jordaniens savent comment mater les dits plestiniens
rappelez-vous de Septembre noir et la vitesse avec laquelle le roi Hussein a
règlé le problème.