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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientUn responsable jordanien parle d’un “état sur deux rives”Lors d’une cérémonie commémorant le jour de l’indépendance de la Jordanie, Taher al-Masri, chef du sénat jordanien, a parlé de « l’état de deux rives unies », selon le journal arabe basé à Londres, al-Quds al-Arabi.
Il s’agit d’une déclaration rare et surprenante, qui peut être interprétée comme la légitimation du point de vue voulant que les habitants arabes de Judée Samarie fassent partie du royaume hachémite.
Parlant devant une audience de plus de 1000 personnes, y compris la famille royale et le roi Abdallah II, al-Masri a parlé « des deux rives unies (en référence au Jourdain), avec le royaume hachémite émergeant sur les deux rives de la rivière sainte ».
Après le déclenchement de la première intifada en 1987, le roi Hussein avait renoncé à toutes les revendications territoriales sur la rive occidentale. La Jordanie n’a cessé depuis de clamer qu’elle est une entité distincte de la Judée Samarie (ou Cisjordanie pour certain), et qu’une solution au problème palestinien n’aura pas lieu dans ses frontières.
Depuis lors, les responsables jordaniens ne se sont pas seulement abstenus de faire de telles déclarations, mais ont également exprimé leur fureur chaque fois que des israéliens aient fait pareilles déclarations, telles que « la Jordanie est l’état palestinien ».
Les jordaniens ont été outrés l’an dernier lorsque le député de la Knesset, Arieh Eldad (Union Nationale), a présenté un projet de loi réclamant deux états pour deux peuples des deux côtés de la rivière Jourdain. Amman avait protesté auprès de l’ambassadeur israélien en Jordanie, et des membres du parlement avaient appelé le gouvernement à couper les liens avec Israël.
Il y a aussi ceux qui peuvent interpréter les commentaires d’al-Masri davantage comme une demande de prise de responsabilité palestinienne, mais aussi comme une ambition territoriale en Judée Samarie. La position officielle de la Jordanie empêche toute réclamation de ce genre, à la lumière de son accord de paix avec Israël. Articles connexes
82 commentaires
| Membre Juif.org
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BIBI !! mais pas n'importe quel prix hein!??
bien trop peu......
reviendrait à l'acceptation de la partition de la ville en deux entités
une juive et l'autre arabe, ce qui est inacceptable!
JERUSALEM EST ET DOIT RESTER UNE ET INDIVISIBLE ouverte
à toutes les religions monotéïstes sans descrimination vis à vis des
personnes qui doivent accepter l'état de fait que cette ville fait partie
intégrante d'ISRAËL.
Alors, pourquoi un gel des constructions? Si cela est fait pour satisfaire
Abou Mazen et plaire aux américains qu'ils aillent se faire voir ailleurs.