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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientWashington : début des pourparlers de paixLe premier ministre Benyamin Netanyahou et le président de l’autorité palestinienne Mahmoud Abbas ont officiellement lancé le début des négociations jeudi lors d’une réunion avec la secrétaire d’état Hillary Clinton.
Les membres de la délégation palestinienne ont été les premiers à rentrer dans la salle et ont pris leur place à la table. Environ 15 minutes plus tard, l’équipe de négociation israélienne, qui comprend l’ambassadeur d’Israël aux Etats-Unis, Michael Oren, et le conseiller de Netanyahou, Uzi Arad, est entrée dans la salle, suivie par Netanyahou, Abbas et Clinton quelques minutes plus tard.
Clinton a alors officiellement ouvert les premiers pourparlers de paix directs entre Israël et les palestiniens depuis près de deux ans, en implorant les deux parties à faire des compromis pour trouver un accord.
Lors d’une cérémonie au département d’état, Clinton a indiqué que l’administration Obama s’est engagée à parvenir à un règlement dans un an. Mais elle a souligné qu’après des décennies de tentatives infructueuses, l’essentiel du travail appartient au premier ministre israélien Benyamin Netanyahou et au président palestinien Mahmoud Abbas.
« En étant ici aujourd’hui, vous avez chacun fait un pas important vers la libération de vos peuples du joug d’une histoire que nous ne pouvons changer, pour progresser vers un avenir de paix et de dignité que vous seuls pouvez créer, » a-t-elle dit.
« Nous ne pouvons pas et nous n’allons pas imposer une solution, » a affirmé Clinton.
« Je sais que la décision de siéger à cette table n’a pas été facile, » a-t-elle ajouté. « Nous comprenons la méfiance et le scepticisme que beaucoup ressentent après des années de conflit et d’espoirs déçus. »
Ensuite, le premier ministre Netanyahou a dit que les pourparlers étaient une occasion « sans précèdent » pour mettre fin à un conflit de 100 ans. Le premier ministre a souligné que les deux piliers d’un accord seraient la sécurité et la légitimité.
Netanyahou a déclaré jeudi qu’il était prêt à faire « un long chemin en peu de temps » pour parvenir à la paix avec les palestiniens, mais a déclaré que la route sera difficile.
« Le peuple d’Israël et moi-même en tant que son premier ministre, sommes prêts à marcher sur cette route et a y faire un long chemin, un long chemin en peu de temps, pour parvenir a une paix véritable qui amènera la sécurité à notre peuple, la prospérité et de bons voisins, » a-t-il dit.
Entre temps, le président Abbas a demandé à Israël de mettre fin à toute activité de construction (en Judée Samarie) et à supprimer totalement l’embargo sur la bande de Gaza contrôlée par les terroristes du Hamas. Ces deux demandes ridicules laissent présager du sérieux de la partie palestinienne dans ces négociations.
« Nous appelons le gouvernement israélien à aller de l’avant dans son engagement à mettre fin à toute activité de colonisation (sic) et à complètement lever l’embargo sur la bande de Gaza, » a déclaré Abbas, sans aucune référence a ses engagements a ses engagements sécuritaires et les résultats pitoyables qui en découlent, à Gaza comme en Judée Samarie.
Mercredi soir, les deux dirigeants ont exposé leurs visions pour les négociations, exprimant l’optimisme qu’un accord puisse être atteint, malgré les échecs du passé.
S’exprimant lors d’une conférence de presse conjointe mercredi, Netanyahou a déclaré qu’il est arrivé à Washington afin de trouver un « compromis historique », se tournant vers Abbas en déclarant : « vous êtes mon partenaire pour la paix ».
Netanyahou a souligné qu’il était à la recherche d’une paix durable qui « dure pendant des générations, » plutôt qu’un intermède « de courte durée entre deux guerres ».
Le président palestinien a également abordé Netanyahou, tout en condamnant les deux dernières attaques terroristes en Judée Samarie à la fin de son discours.
« Nous ne voulons pas que du sang se répande, » a-t-il dit. « Nous voulons que les gens dans les deux pays puissent vivre une vie normale. »
D’autres dirigeants arabes assistent aussi au sommet de Washington, le roi Abdullah de Jordanie et le président égyptien Hosni Moubarak. Le dirigeant jordanien a averti que le prix d’un échec du processus de paix serait grave pour toutes les parties concernées. Articles connexes
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Salam Fayad n'a pas un mot de compassion à l'égard de ceux qui ont été massacrés ( Israël Eden rappelle que leurs meurtriers ont pris la peine d' aller les achever ) - parmi lesquels une femme au huitième mois de sa grossesses - : qu'on pense à ces affiches et à ces proclamations " palestiniennes " disant qu'il ne fallait pas épargner les enfants parce que c'étaient de futurs soldats : Salam Fayad n'exprime pas de compassion parce qu'il n'en éprouve aucune. Aux yeux de gens comme lui, les Juifs sont totalement déshumanisés. Il a beau avoir une formation d'économiste qui lui a permis de travailler dans les hautes sphères de la Banque Mondiale ( ou d'un autre organisme de ce niveau, je ne sais plus ). Pour lui, comme pour les universitaires, les médecins, les philosophes et autres high brows nazis, les Juifs ne sont pas des êtres humains.
Israël confronte une bande de rigolos tristes qui se prennent au sérieux et qui ne veulent absolument rien changer !
Sinon qu'il y a un nouvel enjeu, c'est la montée du hamas en Judée-Samarie et le risque de voir arriver de nouveaux enragés dans le bac à sable !
Perso, je préfère le hamas au fatah, au moins c'est moins hypocrite, pour le moment !
Rachel va faire ses préparations même sans ta remarque déplacé . et pour le reste elle a droit comme tout le monde de dire son point de vu .
alors bibi il peut negocier autant qu il veut
la charte des palestiniens est la et les trois non
de KHartoum alors les resultats son connus d avance>