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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientLa partition de Jérusalem, une solution inenvisageable pour IsraëlLe maire de Jérusalem a déclaré que partager la ville entre israéliens et palestiniens reviendrait à faire entrer un ''cheval de Troie'' au cœur de la ville.
De son côté, le Président de la Knesset, Reuven Rivlin a indiqué "que la séparation reviendrait à accepter un état de guerre permanent". 96 commentaires
| Membre Juif.org
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Dernière mise à jour, il y a 22 minutes
il n en reste pas moins que la France est un état de droit et aucune zone de non droit n a droit de citer
il peux y avoir dans la capitale de l état juif des zones a fortes concentrations arabes orthodoxe ou autre
les citoyens de l état sont tenus de respecter la loi et d' être respectes a leur tour
Sauf si. !!!!
Exemple GAZA
Alors ce serit déplacement des populations hostiles pas deportartion
vers leur pays la Palestine ce qui serait de nature a renforcer l économie de cet état alors que cette population se complait de vivre aux crochets de subsides de. l UE USA etc...
Ce qui serait plus saint pour la population et plus motivent tous les jours
-je voudrai savoir si l'existance d'un etat peut etre remis en cause por un organisme(onu)ou une communauté?moi je pense que non;
Envoyé par Elie_043 - le Lundi 11 Octobre 2010 à 17:38
Moi perso ca ne me derange pas, à condition que ce soit reciproque avec toutes les nations existante (à commencer par les pays arabes) depuis 1924, la fin de l´empire ottoman, on peut remonter jusqu´à la grece comme ca, va y avoir du boulot.
Elie
le nombre de mariages mixtes c´est vraiment un probleme minime si l´echange de population amenait à la paix (meme pas en reve), il y a 20% de muzs en israel, c´est pas 1 000 voir 10 000de plus qui vont bloquer la situation, ca peut pas couter plus cher que des dizaines de milliers d´arabes en prison.
De toute façon, il s'agirait alors d'annihiler un Etat membre de l'ONU. - ce qui est loin d'aller de soi et poserait d'innombrables problèmes d'ordre juridique, Et, dans le cas d'Israël, ce serait considéré - si certains en venaient à oser poser la question à l'ONU - comme une sorte de Shoah politique devant laquelle les Etats occidentaux ( mais aussi, je pense, la Russie, l'Inde, la Chine, le Brésil, et d'autres encore ... ) reculeraient.
Même le fait, pour les Etats partisans de cette " Endlösung " politique, de disposer d'une majorité arithmétique ( 57 Etats de l'OCI - mais tous n'iraient pas jusqu'à voter la " Vernichtung " d'Israël - + alliész et valets ) ne suffirait pas à qualifier celle-ci en majorité politique.
Quant à l'autre question que tu poses ( " comment en est-on arrivé là ? " ), elle est énorme. Je veux dire qu'y répondre exigerait beaucoup de temps, de réflexions et de recherches. Et cependant, c'est, je crois, une question excellente et cruciale.
Si j'ose lancer quelques pistes, je dirai d'abord que le mouvement d'isolement progressif et de délégitimation d'Israël n'est pas récent. Regarde par exemple le fameux livre de John Mearsheimer et Stephen Walt ( " The Israel Lobby
je l´ai loupé celle ci.
C´est tout simplement que les ennemis d´israel ont tout essayé, voyant que c´est peine perdu aussi bien par la guerre que par les prises de paroles pour deligitimer israel comme etat juif, il ne reste plus alors pour reunir les nations arabes, qu´à nier israel et repartir comme en 40.
Pour ce qui est de l'Europe, on peut avancer deux éléments ( dont l'un, d'ailleurs, procède largement du second ) :
- l'effondrement démographique européen, conséquence notamment des deux guerres mondiales et l'habitude prise de le pallier par l'introduction de plus en plus importantes de populations provenant des ex-colonies ;
- l'effondrement moral de la civilisation européenne, entre 1914 et 1945, qui casse son ressort et qui, combiné à la découverte qu'elle fait de la société de consommation et du Welfare State, l'oriente,non plus vers la perpétuation et la projection d'elle-même vers l'avenir, mais plutôt vers les satisfactions dans le court et le moyen termes.
Mais il y aurait beaucoup d'autres choses, certainement :
- la fascination, récurrente, des Européens, par des idéologies de type totalitaire : communisme, fascisme, nazisme et, maintenant, Islâm ;
- la méfiance hostile, tout aussi récurrente, à l'égard des Juifs, inscrite, très profondément, dans l'inconscient collectif ;
- le fait, très profondément, que le schème politique qui avait fait l'Europe - celui des Etats-nations - a été répudié en raison des horreurs auxquelles son exacerbation a conduit entre 1914 et 1945 : de la Nation comme cadre, les Européens ne veulent plus. Et Israël commet, à leurs yeux, le double péché de se concevoir comme un Etat-nation ( l'Etat du peuple juif ) et de s'être fondé ( comme les Etats-Unis) à partir d'une rupture avec l'Europe : de s'être construit en dehors de l'Europe tout en maintenant ce qui de l'Europe lui apparaît maintenant comme une abomination. Offense doublement mortelle : avoir voulu quitter l'Europe, rompre avec l'Europe ( c'est aussi la raison profonde pour laquelle les Européens, singulièrement les Français, détestent les Etats-Unis ) ; et proclamer l'Etat-nation que désormais les Européens abhorrent.
Mais, Elie, on peut aussi considérer que le grand rejet
Juin 1967 marque le zénith de la sympathie européenne pour Israël; Après la victoire dans la guerre des Six-Jours, les Juifs perdent la sympathie que leur valait leur qualité de vaincus et de victimes; qualités portées désormais à l'actif des Arabes - d'autant qu'on est, en France particulièrement, dans l'immédiat après-coup de la décolonisation du Maghreb avec toute la culpabilité et la mauvaise conscience qu'elle a engendrées. Dorénavant, de plus en plus de gens commenceront à voir les Israéliens ( et les Juifs ) comme les caractérise
De Gaulle dans son fameux discours de septembre 1967 : un peuple sûr de lui et dominateur.
" Peuple dominateur " : et ce, au moment même où les Français, après les Néerlandais et les Britanniques, et en même temps que les Belges doivent cesser de " dominer " quoi et qui que ce soit ! ( même si, derrière la scène, les réseaux néo-colos de la " Françafrique " se mettent très efficacement en place ).
1974 ; il faut se rappeler ! Car on a oublié. 1974, c'est le moment où le Tiers-Monde triomphe : à l'ONU et dans les têtes des Occidentaux, secoués par ce que Pascal Bruckner a appelé " le sanglot de l'homme blanc " . C'est l'année où le colonel-tortionnaire Houari Boumédienne vient annoncer, à la tribune de l'ONU, l'inversion des vagues de colonisation et que, dans cette conquête de l'Europe, " les ventres de nos femmes nous donneront la victoire " .
1974, c'est le moment
C'est le moment où l'empire soviétique, après la défaite américaine au Viêt'Nam, atteint son apogée : Ethiopie, Angola, Mozambique tombent dans la poche de Léonid Brejniev. Le Portugal lui-même est à deux doigts de tomber de Charybde en Scylla,, de passer du fascisme à la " démocratie populaire ".
C'est le moment où Yasser Arafat est reçu triomphalement à l'ONU.
Enfin, 1978 / 79 : c'est la victoire de la révolution khomeyniste, après le lâchage du shah d'Iran par Jimmy Carter. Dès lors, la possibilité historique d'une victoire mondiale de l'Islâm réapparaît : d'abord aux yeux des mollahs iraniens ; puis, de proche en proche, et de plus en plus, cette idée fait tache d'huile dans les milieux musulmans.
Mais, j'arrête là, Elie, cette " fresque " ... Il y aurait cent autres choses à dire et à développer. Mais ...
Un dernier mot pour donner un élément de réponse à ta dernière question ( " Quoi faire pour que cela change ? " ) : je crois qu'on peut- et qu'on doit - agir sur plusieurs plans, sur plusieurs fronts.
Sur le plan des idées ( lesquelles - il ne faut pas croire le contraire, que des décennies de propagande marxiste nous ont enfoncé dans le crâne - en définitive, mènent le monde )
Sur le plan politique, il faut voir que malaisément, et non sans confusions diverses, un mouvement anti-Islâm est en train d'émerger des profondeurs : Geert Wilders aux Pays-Bas ; l'initiative d'Oskar Freysinger en Suisse ( quelles qu'en soient les limites ) ; les succès des libéraux aux élections suédoises : on ne peut exclure que les élites dhimmisées, qui font la loi,, à tous les sens - politique et mafieux - du terme, perdent peu à peu du terrain, y compris là où ( Belgique, Espagne, France, Angleterre ) il paraît le plus pourri .
Sur un plan plus vaste, je crois nécessaire que l'Islâm subisse de lourdes défaites militaires. Pour casser la menace qu'il représente ; et pour casser la superbe des musulmans dans le monde. La destruction des sites nucléaires iraniens serait décisive en ce sens. Et aussi la destruction des avants-postes iraniens en Syrie et au Libhezbolland.