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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientMitchell aurait présenté un plan à Abbas
L'envoyé spécial américain au Proche Orient, George Mitchell, a présenté un document « non officiel » au président palestinien Mahmoud Abbas à Ramallah, selon le journal en arabe basé à Londres al-Hayat mercredi. L'article ajoute toutefois que Mitchell n'a offert aucune garantie de la part des Etats-Unis.
Le journal cite des responsables palestiniens disant que selon l'offre de Mitchell, les discussions sur les frontières seraient partagées avec l'Egypte et la Jordanie. Il a aussi offert « une solution logique et juste sur la question des réfugiés,» un accord sur la distribution de l'eau, et un « débat sur les revendications des deux parties sur Jérusalem. »
Cependant, selon le journal, le document ne propose rien de ce qui ressemblerait a un retrait israélien sur les frontières de 1967 ou de Jérusalem Est.
Plus tard mercredi, une délégation palestinienne devrait rencontrer une délégation égyptienne au Caire, en prélude a des discussions sur le processus de paix qui doivent êtres tenues par la Ligue Arabe. Le ministre égyptien des affaires étrangères, Ahmed Aboul-Gheit, a déclaré que les délégations demanderont aux Etats-Unis des détails sur leur vision d'une solution.
Après sa rencontre avec Abbas mardi, Mitchell a dit qu'il envisage de revenir très bientôt dans la région pour promouvoir les pourparlers de paix.
Le négociateur en chef palestinien, Saeb Erekat, a déclaré après la réunion que la partie a présenté son point de vue à Mitchell, à savoir que les pourparlers de paix doivent « s'appuyer sur les décisions internationales disant qu'un état palestinien doit être établi dans les frontières de 1967, et que Jérusalem Est est occupée au même titre que les autres territoires palestiniens.
Malgré les réticences palestiniennes, les pourparlers indirects doivent se tenir dans les prochaines jours. Les Etats-Unis ne réclameront pas un arrêt total de la construction dans les implantations juives, mais demanderont à Israël de s'abstenir de faire toute démarche qui conduirait à une nouvelle impasse. Articles connexes
104 commentaires
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JÉRUSALEM EST ET DOIT RESTER LA CAPITALE INDIVISIBLE DE L ÉTAT D'ISRAËL ET SEULEMENT D'ISRAËL
seul commentaire : de quel état arabo-musulman a-t-elle été la capitale, dans l'histoire ? Il n'y a besoin du soutien de personne, hors Israéliens, Juifs du Monde, Amis d'Israël.
BASTA
avec quoi faire tout ça ? des pierres des roquettes ... le temps qu'il faudra ... les arabes dit "les palestiniens" choisiront un jour la Jordanie ...
Quand à Gaza ... ce ne serait qu'un ... rendre le Sinaï était une erreur .. Gaza ne serait qu'une enclave face au désert ... ça calme.. ! On aura un jour un prétexte pour le reprendre ...
Les arabes pensent qu'ils sont patients .... Nous sommes éternels .
Yessss BIBI !!
Yirushalaim Shel Zahav,est Le Capital INDIVISIBLE de ERETS ISRAEL,et restera ainsi pour toujour!! point!
Aucun discusion de plus sur ce sujet es possible!!
La raison est, au fond, assez simple : l'Islâm est, dès l'époque de Médine ( à partir de 622 ) un système qui repose sur la confrontation militaire avec tous ceux qui ne se soumettent pas à lui. Toute l'histoire de l'Islâm est tissée de razzias, de pillages, de massacres, de conquêtes ... : " el-Din Muhammad be'l saïf " : " la religion de Mahomet par le sabre " ... L'Islâm ne connaît pas de compromis, ni de paix. Il ne connaît que des trêves et ne s'incline ( provisoirement ) que devant une force supérieure. Toute concession qui lui soit faite, elle ne lui apparaît jamais que comme un signe de faiblesse qu'il convient d'exploiter sans délai pour porter plus loin son avantage. A l'inverse, ce que Yits'hak Rabin appelait " le poing de fer " lui en impose.
C'est pourquoi la logique d'Oslo, vue du côté musulman, n'est appréhendée que comme une stratégie en escalier : à chaque marche, à chaque concession, doit succéder une autre marche, une autre concession. Le fait même qu'Israël se soit engagé dans la voie discussions-négociations-concessions est signe de faiblesse et d'affaiblissement ,de sa part. Ce qui apparaît donc comme occasions stupidement manquées par les " Palestiniens " ( en 2000 par exemple ) n'est en fait que la traduction de cette stratégie : pousser plus loin les exigences, relever d'un cran, d'une marche, d'une exigence supplémentaire, la pression sur un adversaire qui faiblit.
C'est pourquoi la logique d'Oslo mène et ne peut mener qu'à l'impasse, car son dynamisme réel, s'il devait ( D. préserve ! ) être poursuivi jusqu'au terme révélerait ce qu'est réellement celui-ci : la disparition programmée, par étapes, de l'Etat d'Israël. Et c'est pourquoi il importe maintenant de rompre avec Oslo et sa logique du hara-kiri par étapes imposé à Israël.
C'est difficile ! ? ... C'est impossible ! ? ... C'est impensable ! ? ... - Allons donc! - D'une part, Israël n'a pas le choix. D'autre part, croit-on qu'il soit plus difficile de résister aux pressions d'Obama et des Clintons qu'il ne l'était pour Shamir, ou pour Begin, z"l, de tenir bon devant leurs prédécesseurs ? Il faut renouer avec une autre logique, celle qui prévalait avant 1993, et qui était une logique de résistance et de victoires.
Il n'y a là rien d'impossible : " Im tirtzu ... "
Maintenant il est temps aux bulldozer de commencer le travail sur "l'esplanade", il y a comme une erreur architecturale !
Ce sera à lui de les déterrer, mais avec des conditions préalables, il en a encore pour deux milles ans !
rien de plus à ajouter, sauf peut etre qu'il n'est pas question de traiter ou de négocier sur une Terre qui nous appartient, juste pour que nos voisin nous laisse la paix, si nous ne l'avons pas ils l'aurons encore beaucoup moins, le seul prealable à la paix c'est qu'ils acceptent nos conditions, nos frontieres, une nation juive, avec Yerushalaim pour capitale eternelle du peuple d'Israel.
Pour le reste, ils on que a demander a la jordanie de leur donner un bout de terre.