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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Le nouveau premier ministre libanais se dit engagé vis-à-vis des Etats Unis

Le nouveau premier ministre libanais se dit engagé vis-à-vis des Etats Unis - © Juif.org
Le milliardaire choisi par le Hezbollah pour devenir premier ministre du Liban a déclaré jeudi à l’ambassadeur des Etats-Unis qu’il s’est engagé à avoir de bonnes relations avec Washington.
 
Najib Mikati a rencontré l’ambassadeur des Etats-Unis Maura Connelly quelques jours après que Washington a averti que la formation d’un gouvernement dominé par le groupe terroriste impliquerait des changements dans les relations avec le Liban.
 
Le magnat des télécommunications âgé de 55 ans, a « confirmé pendant la réunion l’importance des relations bilatérales entre Beyrouth et Washington, » a-t-il déclaré dans un communiqué alors qu’il commençait à former un nouveau gouvernement.
 
Le groupe terroriste chiite et ses alliés ont renversé le gouvernement soutenu par l’Occident il y a deux semaines et ont obtenu un soutien suffisant au parlement pour nommer Mikati comme premier ministre.
 
Les opposants du Hezbollah ont dit qu’avoir un proxy iranien à la tête du gouvernement libanais serait désastreux et conduirait à l’isolement international.
 
Mais Mikati a souligné qu’il voulait former un gouvernement d’union, et ne sera redevable à aucun côté de la politique houleuse du Liban.
 
Jeudi, les opposants de Mikati l’ont poussé à préciser sa position sur une question qui est au cœur de la crise politique libanaise : le tribunal spécial de l’ONU qui devrait accuser des membres du Hezbollah d’implication dans l’assassinat en 2005 de l’ancien premier ministre Rafic Hariri.
 
Le groupe terroriste Hezbollah nie tout lien avec le meurtre, et appelle le tribunal onusien un complot ourdi par les Etats-Unis et Israël. Le groupe terroriste et ses alliés ont quitté le gouvernement précèdent lorsque le premier ministre Saad Hariri, le fils du politicien assassiné, a refusé de dénoncer le tribunal et de couper le financement libanais qui représente 49% des frais du tribunal.
 
Saad Hariri a appelé ce geste un « coup d’état » et insisté sur le fait qu’il n’adhèrera jamais à un gouvernement dirigé par un candidat choisi par le Hezbollah, ce qui suggère que le pays pourrait être dans une impasse prolongée.
 
L’allié d’Hariri et l’ancien premier ministre Fouad Siniora a appelé jeudi Mikati à mettre par écrit sa position exacte sur le tribunal. Mikati n’a pas immédiatement répondu, mais ces derniers jours il a déclaré qu’il prendrait une décision fondée sur le dialogue avec toutes les parties.
 
Siniora a également parlé des armes du Hezbollah, une question controversée au Liban. Le Hezbollah insiste sur le fait qu’il doit maintenir son arsenal pour conjurer toute menace en provenance d’Israël. Mais les armes du Hezbollah en font la force militaire la plus puissante du Liban, bien supérieure à l’armée libanaise.
 
Siniora a déclaré que ces armes doivent êtres placées sous le contrôle des autorités libanaises.
 
« Il devrait y avoir un engagement à ce que l’utilisation de toute arme au Liban soit limitée aux autorités libanaises, » a-t-il dit lors d’une conférence de presse.
 
Dans la Syrie voisine, l’autre patron du Hezbollah après l’Iran, le ministre des affaires étrangères syrien, Walid Mouallem, a exhorté toutes les parties à se joindre à un gouvernement d’union nationale.
 
Il s’exprimait lors d’une conférence de presse avec le secrétaire britannique aux affaires étrangères, William Hague, qui est arrivé en Syrie mercredi soir pour des entretiens sur les développements politiques au Liban et le processus de paix au Proche Orient.
 

Hague a déclaré avoir discuté de la menace posée par le programme nucléaire iranien, et les risques de prolifération plus large dans la région.

35 commentaires
François, bonjour. Je suis beaucoup plus pessimiste que vous. La candidature d'El-Baradéi n'est en rien l'annonce d'un régime démocratique et ouvert, mais seulement, si elle parvenait à ses fins, le moyen d'une mainmise iranienne sur l'Egypte.
Envoyé par Edmond_002 - le Vendredi 28 Janvier 2011 à 08:55
Encore un tout petit peu et nous allons nous retrouver dans la meme situation qu'avant 1973,
Ne sous estimez pas le liban, cen'est plus le liban d'avant, si l'egypte tombe à son tour nous serons obligé d'ouvrir un nouveau front au sud, il ne manque que la jordanie mais pour le moment pas de signe de mouvement sauf peut etre dans la politique du roitelet...
Il ne faut donc rien prendre leger, une autre guerre coutera chere en vies et je ne parle que de nos vies, meme si nous en sortons encore une fois vainqueurs.
Gardez à l'esprit que si tous ces pays tombemt c'est sous la coupe de l'iran,directement ou indirectement, et avec tout ce que cela comporte de desagrements, n'oubliez pas, c'est unis que les pays arabes ont l'habitude de nous attaquer, unis et en force.
Envoyé par Israel, Eden_001 - le Vendredi 28 Janvier 2011 à 10:52
L'Egypte et un enjeu important, car elle a depuis longtemps donnée la cadence dans le monde arabe, comme tu le dis, Israel Eden, dans le cas d'un renversement, Israël se retrouve dans une situation semblable à 73 ou 67, la question est ; va t-elle céder au pressions de la rue ?

Mais l'Egypte ne sera pas renversée par la rue, car la majorité des égyptiens ne veulent pas de El Baradei, ni des fréros, et encore moins du hamas, ce qu'il va se passer, c'est une bonne guerre civile entre pros et opposant, les pros vont pouvoir saisir l'occasion pour calmer de façon définitive les ambitions des fréros !
Envoyé par Moshé_007 - le Vendredi 28 Janvier 2011 à 11:20
A Moshé_007

Je te trouve bien imbu de ta personne pour écrire avec autant
d'affirmation ce qui va se passer en EGYPTE!
Cette révolution qui vient de la misère du peuple égyptien qui
n'a que le droit que de se taire et d'accepter la dictature qui dure
depuis trop de temps comme en ARABIE SAOUDITE en LYBIE ETC...
L'ouverture du monde par internet permet à la jeunesse de ces
pays de s'émanciper des doctrines et de "la bonne parole" de leur
dirigeant.
Alors, comme en TUNISIE la mèche est allumée et n'est pas prète de
s'éteindre!
Concernant les " Frères musulmans" si ceux-ci sont bien muselés
par la police de MOUBARAK il n'enpêche qu'ils sont actif et attendent
patiemment le moment que le fruit soit bien mûr pour le ceuillir.
Je ne crois pas à une guerre civile mais à une révolution de palais qui
risque d'être le départ pour l'AFRIQUE comme le MOYEN-ORIENT d'un
chamboulement complet des états gouvernés par des dictateurs et rois
qui sont en place pas par la volonté du peuple mais par l'héritage de la
colonisation des occidentaux trop intéressés de garder les privilèges
dans ces pays.
Envoyé par Yvan_001 - le Vendredi 28 Janvier 2011 à 12:01
Jacques
"alors , allons nous assister au départ de la finul"

Cela me fait penser à cet article :

En fait, ElBaradei est le second haut fonctionnaire originaire d’Egypte, après Boutros Boutros-Ghali, l’ex-Secrétaire général des Nations Unies, qui œuvre à l’encontre du mandat qui lui est confié. En ce qui concerne Boutros-Ghali, on se rappelle qu’en 1994, il avait donné l’ordre de retrait du Rwanda aux contingents de l’ONU qui y étaient stationnés, jetant ainsi, au sens premier, les victimes sous les hachettes des génocidaires, plutôt que de donner l’ordre à ses soldats de s’opposer au massacre.

Le génocide des Tutsis avait fait entre huit cent mille et un million de morts innocents. Désormais, dans la crise à laquelle le monde est confronté, la menace s’exprime sous la forme de bombes atomiques et non plus de machettes, d’où l’amplification exponentielle du danger.

Pendant ce temps, les ayatollahs continuent à se foutre de la gueule du monde. La semaine dernière, ils ont autorisé des inspecteurs de l’AIEA à visiter le site de construction d’un réacteur d’eau lourde, à Arak, après les en avoir tenus écartés durant plus d’un an en dépit de leurs demandes incessantes.
Envoyé par Elie_010 - le Vendredi 28 Janvier 2011 à 12:34
L opération plomb durci a donné des ailes au hezbol h
Nasrala h depuis son souterrain vivant comme une taupe depuis
ne reve que de vengeance
il est persuadé qu il pourrait en découdre avec isael en lui infligeant les plus lourdes pertes de son histoire
en hommes en materiels et en dégats multiples a l interieur du territoire israelien
avec comme objectif tel aviv haifa
il se trouve conforté par l iran qui s applique a monter des écrans de fumée et des contrefeux de nature a détourner l attention des puissants
force est de constater qu il avance dans son ambition premiere avec les evenements du liban s il venait a mettre la main sur le pouvoir ce serait un racquet de territoire le liban n existera jamais plus dans sa configuration il n empeche que s il prenait le risque d initiative alors qu israel fait preuve de retenue il exposerait le liban a une reaction en profondeur ce serait peut etre meme une de ses strategie s il est acculé devant un point de non retour il serait capable d anticiper une agression et pour l instant apres tout le liban est un etat dit souverain pas d ingerance ....................
Envoyé par Jcl - le Vendredi 28 Janvier 2011 à 12:45
EL BARADEI
S IL VENAIT PAR MALHEUR
a prendre la place du rais les accords de paix avec israel voleront ils en éclat?????????
cet homme est un fourbe dangereux pour la region et le monde il s est applique a taire le programme nucleaire de l iran afin de le rendre commme un incontournable.....
sous ses airs de prix nobel ils fera des accords avec les islamistes .................
Le monde n a pas les moyens de voir l egypte basculer.................
LE RAIS DEVRA JOUER SERRE
Larmee garante de l etat dans ce pays pourrait prendre les rennes et creer une transition il n empeche que tout le monde arabe bougera ses masses populaires ont atteint un point de non retour qui doit etre pris en consideration par les dirigeants arabes d aujourdh ui et surement de demain
Envoyé par Jcl - le Vendredi 28 Janvier 2011 à 12:53
Je crois qu'il ne faut pas sous-estimer le danger : Mohamed El-Baradéi est, depuis longtemps, l'homme de l'Iran. Et, avec ses costumes de chez le bon faiseur, ses lunettes d'écaille et sa calvitie, quelqu'un de " présentable " à l'opinion occidentale qui ne demande qu'à être rassurée. Seulement, il faut bien voir - je suis étonné qu'on ne le dise pas - qu'il représente une véritable OPA de l'Iran sur le pays le plus peuplé du monde arabe. Mohamed El-Baradéi au pouvoir au Caire, ce serait un coup complémentaire de celui qui vient d'être perpétré à Beyrouth, et avec des conséquences à moyen termes tout à fait redoutables pour Israël.
Envoyé par Edmond_002 - le Vendredi 28 Janvier 2011 à 14:24
La question que se posent la moitié de la population égyptienne c'est ; mais qu'est qu'on va bouffer ?
Pour le moment, c'est grâce à l'aide américaine que la population peut remplir son assiette, ce pays est passé de 40 à 80 millions d'habitant en moins de 40 ans, le pays anciennement exportateur de céréales doit importer 60% de sa consommation en produits de première nécessité, qui va porter l'égypte en cas de changement de pouvoir ? La russie, l'iran, la france ? impossible, il n'y a que les USA qui peuvent financer et permettre à ce pays de garder un semblant de dignité !

Alors après avoir voulu faire une révolution à la tunisienne, les égyptiens vont devoir se poser les bonnes questions, c'est bien joli de vouloir évincer moubarak, mais pour qui ?

Ils ne le savent même pas ! ! !
Envoyé par Moshé_007 - le Vendredi 28 Janvier 2011 à 19:02
Obama de son prenom Hussein qu'il soit maudit lui et toute sa descendance

Obama will not apply veto against UN condemnation ofIsraeli settlements
DEBKAfile Exclusive Report

22 Jan. President Barack Obama is about to withhold the US veto from a Palestinian-Arab motion due to be tabled at the UN Security Council condemning Israel for its settlement policy in the West Bank and Jerusalem, DEBKAfile's Washington sources report. If he does, he will be the first US president to let an anti-Israel motion go through the Security Council and building on the West Bank and even in the forty-year old suburbs of East Jerusalem would become illegal and set the US on a collision course with the Netanyahu government. Jerusalem would see this step as encouraging the Palestinians and hostile Arab states to continue to use the UN Security Council to undermine Israel's legitimacy and recognize a unilateral Palestinian state within the pre-1967 borders without negotiations.
Washington's latest proposal to work on security arrangements first and so ease the path to a deal on borders would be negated by is UN veto because a motion against settlements would a priori dictate eventual borders between the Palestinian state and Israel.

Envoyé par Israel, Eden_001 - le Samedi 29 Janvier 2011 à 00:32
Membre Juif.org





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