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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientNetanyahou va surprendre la communauté internationale avec son discours au CongrèsLe premier ministre Benyamin Netanyahou veut surprendre la communauté internationale dans son discours devant le Congrès américain à la fin mai, et il est peu probable qu’il dévoile avant plus que quelques ébauches de ce dont il va discuter, selon des sources gouvernementales.
Ces sources ont répondu aux informations disant que Netanyahou envisage de livrer une partie de ce discours à la séance d’ouverture de la Knesset, qui se réunira le 16 mai, six jours avant son voyage prévu aux Etats-Unis.
Selon les rapports, l’idée de garder le contenu du discours a été soulevée à la lumière des critiques contre Netanyahou pour ce qui devrait être un important discours diplomatique, d’une grande importance pour les israéliens.
Netanyahou a déclaré la semaine dernière lors d’un discours prononcé devant les militants du Likoud que le discours qu’il doit prononcer devant le Congrès traitera de l’Iran, du processus diplomatique avec les palestiniens, et des relations bilatérales américano-israéliennes.
C’est une tradition pour les dirigeants politiques, y compris pour le premier ministre, de s’adresser à la Knesset à l’ouverture de chaque session.
Même si Netanyahou décidait de se soustraire à l’ouverture du 16 mai de la session d’été, l’opposition peut, et le fait fréquemment, forcer le premier ministre à s’adresser à la Knesset en rassemblant les signatures d’un tiers des députés.
L’opposition est susceptible de trouver un soutien parmi les membres mêmes du Likoud, qui ont aussi poussé Netanyahou à dévoiler les points généraux de son discours prévu à Washington avant son départ.
Plus tôt cette semaine, le député Danny Danon (Likoud) a demandé au premier ministre d’informer les députés du Likoud sur le contenu du discours.
Des questions ont également été soulevées aux Etats-Unis quant à savoir si le Congrès américain était le meilleur endroit pour un discours de Netanyahou, et si il essayait de contourner le président américain Barack Obama en s’adressant au Congrès.
Par exemple, lors d’un briefing du département d’état mardi, un journaliste a demandé au porte-parole Mark Toner ce que l’administration pensant de l’invitation faite par le président de la Chambre, John Boehner, à Netanyahou.
Le discours, a dit Toner, « va lui permettre de parler de certaines de ces questions à notre pouvoir législatif, qui est un élément important de notre politique au Proche Orient. »
Le journaliste l’a alors interrompu, disant : « eh bien, il l’est, sauf que c’est le pouvoir exécutif qui définit pour cela la politique étrangère, et pas le Congrès. »
Interrogé pour savoir si l’administration voudrait savoir ce que Netanyahou allait dire avant qu’il prononce le discours, Toner a déclaré que l’administration était « en contact étroit avec le gouvernement israélien et avec le bureau du premier ministre Netanyahou, et a une bonne communication avec eux. »
« C’est sa décision, de toute évidence, si il y a lieu de s’adresser au Congrès. Nous croyons qu’il est toujours utile de le voir venir et de parler de ces questions. »
Le discours très attendu de Netanyahou est largement considéré à Jérusalem comme la chance pour Israël de prendre l’initiative diplomatique, et repousser les tentatives palestiniennes de voir l’assemblée générale des Nations Unies adopter une sorte de résolution en septembre, approuvant ou reconnaissant un état palestiniens dans les « frontières de 1967 ».
Toner, cependant, a clairement indiqué lors de sa conférence de presse que les Etats-Unis étaient opposés à ces efforts.
En ce qui concerne une déclaration unilatérale d’indépendance palestinienne, ou sa reconnaissance par l’ONU, Toner a dit : « nous avons été très clair en disant que nous ne croyons pas que c’est une bonne idée, nous ne croyons pas qu’elle soit utile. »
Les responsables israéliens, quant à eux, étaient nettement contre les affirmations palestiniennes disant que la France et la Grande Bretagne pourraient voter en septembre à l’ONU pour un état palestinien.
« Nous aurions un problème avec eux donnant du crédit aux palestiniens pour ne pas revenir aux pourparlers avec Israël. Si les gens pensent qu’ils font avancer la paix, ils font le contraire, » a déclaré un responsable israélien sous couvert de l’anonymat.
Concernant la question de où et comment Netanyahou décide de faire passer son message, le bureau du premier ministre a annoncé mercredi que Netanyahou commencera à prendre des questions sur une base régulière via Youtube et Facebook.
Selon un communiqué publié par son bureau, Netanyahou a pris cette décision suite à une interview avec la seconde chaîne de télévision et Youtube qu’il a mené fin mars, et qui a été vue par plus d’un million de personnes dans le monde.
Ni le nombre de questions auxquelles il répondra à chaque séance, ni le nombre de fois qu’il le fera n’a encore été déterminé.
Netanyahou continue de refuser d’accorder des interviews aux journaux israéliens, même si il donne des interviews à des medias internationaux, s’entretenant la semaine dernière avec l’AFP. Articles connexes
61 commentaires
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Selon un communiqué publié par son bureau, Netanyahou a pris cette décision suite à une interview avec la seconde chaîne de télévision et Youtube qu’il a mené fin mars, et qui a été vue par plus d’un million de personnes dans le monde.
Ni le nombre de questions auxquelles il répondra à chaque séance, ni le nombre de fois qu’il le fera n’a encore été déterminé.
Netanyahou continue de refuser d’accorder des interviews aux journaux israéliens, même si il donne des interviews à des medias internationaux, s’entretenant la semaine dernière avec l’AFP.
Il ne ferait que conforter ceux qui pensent comme moi, quant aux autres ils crieraient au scandale, au minimum, me collerait un procès au maxmum ( bon moyen pour se faire connaître)
Donc je garde forces et énergie pour rentrer en Eretz et de là bas, peut-être si D.ieu veut pouvoir agir
Je pense faire un voyage vers octobre pour aller à jéru voir où en est mon dossier, quels sont les possibilités que j'ai avec le Bitouar leumi d'être reconnue comme handicapée, car indispensable pour me deplacer, être autonome car rentrer avec la Sep, les séquelles de mon accident, seule, est un peu difficile et besoin de quelques garde fou mais n'en peut plus ici
L'idéal serait que tu puisses intervenir sur des ondes pour faire passer tes connaissances et messages à ce sujet, je te souhaite beaucoup de courage et de réussite.
Si un jour la haut on te demande ce que tu as fait en ce monde, tu passeras d'office ton examen avec ton éclatage dtes 3 volumes
C'est pour çà que, avec un mal au coeur je me suis décidé d'éclater mon livre en 3. C'est dommage parce qu'il y avait une continuité dans ce gros livre (600 pages) Pour moi il y a déjà plusieurs directions: qu'est ce que le sionisme...remettons les pendules à l'heure au moment où il faut se cacher pour oser dire que l'on est sioniste
Pour expliquer que les arabes ex palestiniens comme je préfère les nommer, n'ont aucun droit LEGAL sur notre terre; j'essaie d'ammèner le lecteur a le déduire de lui même; pas facile comme exercice
Je travaille d 'arrache pied et si vraiment personne n'accepte de m'éditer je le balancerai en lecture libre sur la toile;..en prenant en même temps un billet d'avion...direct Israêl!
Je vous souhaite un bon Chabat et de bonnes fêtes de fin de Pessah, que nous sortions tous de notre Egypte
avril 22nd, 2011 Daniele - Europe-Israel.org
ShareTous ceux qui s’occupent de vouloir fixer des limites à l’Etat d’Israël pour lui coller un état palestinien qui ne sera en rien démocratique comme ils osent le prétendre, utilisent un jour ou l’autre l’expression qui présente l’état palestinien dans « les frontières de 1967 ».
Remarquez que la phrase n’est jamais finie. Les frontières de 1967 oui, mais de quel pays au juste ?
La méthode est malhonnête parce qu’elle laisse entendre qu’un état palestinien existait avant 1967 et qu’il a été occupé par Israël, faisant de l’Etat juif une puissance impérialiste et colonialiste d’un état souverain.
Or si les médias malhonnêtes ne précisent pas à quels pays appartiennent ces frontières, on doit dire ici même aux lecteurs la vérité, la seule véritable et vérifiable partout sauf chez les émules des nouveaux nazis, à savoir qu’en 1967, les frontières étaient entre Israël, et ses voisins la Jordanie, l’Egypte, le Liban et la Syrie.
D’Etat palestinien, il n’y en avait point. Mais comme c’est Israël qu’on veut clouer au pilori, tous les moyens sont bons pour le rendre coupable aux yeux des lecteurs.
Ce que l’on appelle couramment aujourd’hui les « territoires palestiniens occupés », ont été curieusement appelés « territoires palestiniens occupés » que depuis qu’Israël les a conquis à l’Egypte et à la Jordanie lors de la guerre des six jours en 1967.
Pourquoi n’étaient-ils pas appelés palestiniens quand ils étaient sous domination égyptienne et jordanienne ?
Pourquoi n’étaient-ils pas considérés occupés ?
Il faut chercher dans le « manuel du petit antisémite déguisé en antisioniste » pour y trouver sa réponse. Et apparemment, ce manuel fait fürher, dans les chancelleries et les rédactions du monde, y compris chez certains qui se présentent comme les « amis » d’Israël pour mieux le trahir.
Aujourd’hui, dans une interview de Mahmoud Abbas , président illégitime des Palestiniens puisque sont mandat de président s’est terminé en 2009, que de nouvelles élections n’ont pas eu lieu depuis de peur de les perdre devant le Hamas, mais qui continue d’être reconnu par la communauté internationale tant qu’il peut nuire à Israël, le Figaro pousse encore le bouchon un peu plus loin dans l’accusation d’Israël.
Il pose la question suivante : « vous comptez obtenir, en septembre, à l’assemblée générale des Nations Unies, une reconnaissance internationale de l’Etat palestinien, dans SES frontières de 1967 ».
Le Figaro, parle de l’Etat palestinien et de SES FRONTIERES DE 1967, inventant du coup un état qui n’a jamais existé, et présentant de fait Israël comme coupable d’occuper un pays souverain. Alors que les salauds précédents avaient au moins la pudeur de laisser la phrase incomplète, laissant à l’imagination du lecteur-futur-antisémite le soin de voir en Israël un occupant, le Figaro, lui, emporté par son phantasme de culpabiliser l’Etat Juif, fait du révisionniste et transforme l’histoire.
La faute n’est pas tant à faire porter par les seuls journalistes-propagandistes. La responsabilité de donner au public des fausses informations, pour les orienter vers une haine d’Israël revient aussi aux politiques qui côtoient et se font interviewer par ces mêmes organes de presse, leur donnant ainsi une certaine légitimité. Le mensonge devient alors la règle.
Israël est une fois de plus diabolisé, comme on diabolisait les Juifs dans les années 30.
Alain Legaret
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le homme méchant son cycle de mort/
ce ne pas cela la volonté de Dieu/
toi seul Seigneur est vérité, amour et compréhension !
Réveille toi ! oh grand Maitre du ciel !/
la méchanceté de la langue ravage la terre/
chancellent ses gondes/
le ciel tombe sur nous/
et nous avec dans les abîmes.
Regard toi Seigneur !
ne tourne pas ton visage/
La mer engloutis la terre/
le feu ravage les pâturages/
et de tes brebis qui resterait?
La ruse a mis ces filets /
et par tout l’étendu de la terre/
pour prendre comme un gibier/
le homme dans leur panier.
Malheur pour moi de avoir né/
dans ce monde que tu m'a envoyé/
pour voir la terre si ravagé.
Élève toi Seigneur avec ton sceptre/
affermis ton trône de justice/
au nome de ton Dieu le Divine Amour.
Souvient toi Seigneur de la rosé matinal /
et de ton luminance en arc-ciel /
qui est l'unique alliance que tu nous a donné.