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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientBibi a dit non à Obama sur les « frontières de 1967 »Le premier ministre Benyamin Netanyahou a rencontré le président américain Barack Obama vendredi, un jour après le discours d’Obama sur le Proche Orient, dans lequel il a appelé à un état arabe en Judée Samarie « sur les bases des frontières de 1967 avec un accord d’échange de territoires ».
Netanyahou a déclaré ouvertement son opinion sur le conflit israélo-arabe, et a mis en garde, « une paix fondée sur des illusions va éventuellement s’écraser contre les rochers de la réalité du Proche Orient ».
Lors de la réunion, Netanyahou a catégoriquement rejeté la possibilité de fonder des frontières d’un état arabe palestinien dirigé par l’autorité palestinienne sur les « lignes de 1967 » ou la ligne d’armistice de 1949.
« Si Israël est prêt a faire des compromis généreux pour la paix, il ne peut pas revenir aux frontières de 1967, » a-t-il dit. « Ces lignes sont indéfendables, parce qu’elles ne tiennent pas compte de certains changements qui ont eu lieu sur le terrain, les changements démographiques. »
Netanyahou a également évoqué le problème du Hamas, réaffirmant qu’Israël n’a aucune intention de négocier avec le groupe terroriste. L’autorité palestinienne est actuellement sous la direction commune du Fatah et du Hamas, la charte du Hamas appelant à détruire Israël et à forcer le droit islamique sur Israël, et finalement, sur le monde entier.
Obama a déclaré jeudi : « comment peut-on négocier avec un parti qui s’est montré peu disposé à reconnaître votre droit d’exister ? … Les dirigeants palestiniens devront fournir une réponse crédible à cette question. » Toutefois, il n’a pas exclu des pourparlers avec l’autorité palestinienne, même après son alliance avec les dirigeants du Hamas.
Netanyahou a souligné un point qu’Obama avait ignoré dans son discours : la question de savoir où des millions d’arabes qui se définissent comme des « réfugiés palestiniens » vont vivre si un état palestinien est créé.
« L’attaque arabe contre Israël en 1948 a abouti à deux problèmes de réfugiés, les réfugiés palestiniens et les réfugiés juifs, à peu près le même nombre, qui ont été expulsé des pays arabes. Le minuscule état d’Israël a absorbé les réfugiés juifs, mais le vaste monde arabe a refusé d’absorber les réfugiés palestiniens. »
« Maintenant, 63 ans plus tard, les palestiniens viennent nous voir et disant à Israël : accepter mes petits-enfants, vraiment, et les arrières petits-enfants de ces réfugiés, effaçant ainsi l’avenir d’Israël en tant qu’état juif. Ce n’est donc pas ce qui va se passer. Tout le monde sait que cela ne se produira pas. Et je pense qu’il est temps de dire aux palestiniens franchement que cela ne se produira pas. »
Le problème des réfugiés « sera résolu si les palestiniens décident de le faire dans un état palestinien… Mais il ne sera pas résolu dans l’état juif, » a-t-il déclaré.
Regardez un extrait de la rencontre entre Netanyahou et Obama en vidéo :
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Au Congrès US, Netanyahou fait allusion à une action israélienne contre l’Iran, pourrait quitter plusieurs implantations au-delà des frontières.
DEBKAfile Reportage spécial 24 mai 2011, 8:42 PM (GMT+02:00)
Adapté par Marc Brzustowski
http://www.debka.com/article/20965/
Tags: Binyamin Netanyahu US Congress US-Israel
Binyamin Netanyahu s’adresse au Congrès américain
Le Premier Ministre Binyamin Netanyahou a été accueilli par de longues ovations debout de la part des deux partis rassemblés, lors de sa rencontre au Congrès américain à Washington, le 24 mai, lorsqu’il a déclaré : « En Judée-Samarie, le peuple juif n’est pas un occupant étranger. C’est le pays de nos ancêtres ». Néanmoins, a-t-il dit : « Nous acceptons l’idée de donner certaines parties de notre patrie juive ancestrale pour une paix authentique ».
Il a clairement affirmé que, si nécessaire, Israël agirait seul pour empêcher l’Iran d’acquérir l’arme nucléaire, tout en louant le Président Barack Obama d’appliquer des sanctions contre la République islamique.
L’accueil de Netanyahou à l’assemblée de la Chambre bipartisane des représentants a été exceptionnellement chaleureux et festif. Son discours de 50 minutes a régulièrement été interrompu par 30 ovations debout, parvenant des deux côtés de l’hémicycle, particulièrement, lorsqu’il a exclu tout retour aux frontières de 1967, en les décrivant comme indéfendables, tout en s’engageant à ce que, lors de pourparlers avec des parties prenantes vraiment impliquées dans la recherche de la paix, Israël ferait des compromis de grande ampleur, en vue d’un accord qui « ne perpétuera pas le conflit, mais au contraire, y mettra un terme définitif ».
“Mais, d’abord, Abbas doit faire ce que j’ai fait : j’ai accepté un état palestinien ; il doit accepter un état juif ». Tout en se montrant élogieux envers le Président Obama, sur certains problèmes, le Premier Ministre a mis en lumière leurs différences, au cours de leur quatrième cycle de conférences, depuis jeudi dernier. Il s’est vu gratifié par de grands moments d’applaudissements, de la part des membres du Congrès, en faveur de sa vision, au cours de l’exposé de leurs deux argumentaires. Malgré ces différences, Netanyahou a déclaré qu’il était déterminé à travailler avec le Président américain dans leur recherche de nouvelles discussions de paix.
Continuant d’exposer sa vision de la paix, Netanyahou a déclaré : “Israël se montrera généreux en ce qui concerne la taille de l’état palestinien, mais très ferme dans la définition de ce que seront les frontières ».
Il a insisté sur le fait que l’accord devrait refléter les changements démographiques marquants, intervenus depuis 1967 et intégrer, à l’intérieur des frontières permanentes d’Israël, d’autres sites d’importance stratégique. Le statut des implantations sera déterminé lors de négociations, a-t-il précisé. Il devient le premier dirigeant israélien à s’engager publiquement à ce qu’il soit « mis un terme » à plusieurs implantations, « à l’extérieur des frontières ».
Debkafile ajoute, dans cette optique : au cours de conversations privées, Netanyahou a fait une liste d’implantations comprenant, au total, plus de 100 000 habitants en vue d’une éventuelle évacuation, à l’extérieur des limites définitives d’Israël.
« Il est absolument vital que l’état palestinien soit pleinement démilitarisé et qu’Israël maintienne une présence militaire de long terme le long du fleuve du Jourdain », a-t-il déclaré. « Dans ce Moyen-Orient instable, personne ne peut garantir que les partenaires pour la paix d’aujourd’hui continueront d’être ceux qui nous entourent demain ».
« Le problème des réfugiés doit être résolu en dehors des frontières d’Israël. Ils bénéficieront du droit d’immigrer vers l’état palestinien viable, prospère que je soutiens de mes vœux ».
Concernant Jérusalem, le Premier Ministre a affirmé : « La seule période de l’histoire, au cours de laquelle les trois religions ont joui d’un accès sans entrave vers leurs lieux saints et de leur pleine liberté de culte, c’est depuis que Jérusalem est revenue sous souveraineté israélienne. La ville restera, par conséquent, la capitale indivisible d’Israël. Les difficultés éprouvées par les Palestiniens trouveront des solutions, avec le sens de la créativité et de la bonne volonté ».
Netanyahou a encore été acclamé, lorsqu’il a affirmé qu’Israël ne négocierait pas avec le Hamas, « la version palestinienne d’al Qaeda », et qu’il a appelé Mahmoud Abbas à déchirer son pacte avec ce mouvement, qui se consacre à tuer des Juifs partout où ils se trouvent.
le sujet en question a été abordé avec humanité et réalité est un main tendu du ministre, voyons ce que les PA et les USA vont faire !!
Les congressman ne s'y sont pas trompé, de toute façon ça fait longtemps qu'ils savent comment les palos manoeuvrent, il n'y a que ce hussein qui a tenté de faire sa propagande communiste et rien de sa politique intérieur ou extérieur n'est jugée positive, rien !
Netanyahu est accueilli, salué, acclamé par les membres du Congrès américain, toutes appartenances politiques ( démocrates, républicains, ... ) confondues. On n'a pas idée - ici, dans la galouth eurabe, où Israël est constamment dénigré, vilipendé, attaqué, sali - de la chaleur du soutien populaire aux Etats-Unis ( 67 % des Américains sont pour Israël ; et 61 % pensent que les Etats-Unis devraient intervenir militairement immédiatement s'il était mis en danger ). Lorsque Bibi affirme que ( je te et le cite ) " la ville [ Jérusalem ] restera ... la capitale indivisible d'Israël " , toute la salle se lève et éclate en applaudissements et en acclamations.
AM ISRAEL HAY
2) " " " " " " " négocierait un partage de la Judée-Samarie.
3) La sécurité de l´ État Juif serait assurée par la démilitarisation entière de l´Etat Palestinien à venir + Présence de Tsahal dans la vallée du Jourdain.
4) Les USA sont le seul soutien indéfectible d´Israél: Vive Obama!
Qu'est-ce que c'est Europe Israël, et la Fraternité Judéo-Noire ?
AM ISRAEL HAY Sourire Rigolo -
Mais depuis quelques décennie il y a cette pseudo appartenance à l'islam d'une partie de la communauté noire, comme si l'Afrique devait être musulmane, ce sont des conversions qui ont poussés de nombreux noires de se convertir par révolte contre la société blanche, heureusement ce n'est qu'une petite minorité, mais obama en fait partie malgré le fait qu'il se dise chrétien, le problème vient de là !