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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientNetanyahou à l’AIPAC : « Israël n’est pas le problème au Proche Orient »L’état d’Israël n’est pas la racine du problème au Proche Orient et ne doit pas être blâmé pour les troubles dans la région, a dit le premier ministre Benyamin Netanyahou à la conférence de l’AIPAC mardi matin (heure d’Israël).
« Israël n’est pas ce qui ne va pas au Proche Orient. Israël est ce qui est juste au Proche Orient, » a-t-il dit a un auditoire enthousiaste.
Israël et les Etats-Unis « ont forgé une amitié durable non seulement entre nos gouvernements, mais aussi entre nos peuples. Le soutien à Israël ne divise pas l’Amérique, il unit l’Amérique. »
Netanyahou a en outre souligné qu’Israël ne pouvait pas revenir aux lignes « indéfendables » de 1967, disant au lobby pro-israélien que son discours à venir devant le Congrès définira sa propre vision d’une paix éventuelle entre Israël et les palestiniens. « Elle devra donner la sécurité à Israël, et donc Israël ne peut pas revenir aux lignes indéfendables de 1967, » a-t-il dit.
Le premier ministre a déclaré que les récents événements au Proche Orient font qu’il est clair que les problèmes de la région ne sont pas ancrés en Israël. Se referant aux différents pays de la région, il a dit que les problèmes des citoyens n’ont rien à voir avec Israël.
« Ils pensent à la liberté, » a-t-il dit. « Il est temps de cesser de blâmer Israël pour tous les problèmes de la région. »
Alors que la paix avec les palestiniens est un « intérêt vital » pour Israël, elle ne résoudra pas les problèmes du Proche Orient, a dit Netanyahou. « Ce qui le fera, c’est la démocratie, » a-t-il ajouté.
Au début de son discours, le premier ministre Netanyahou a remercié les membres du lobby juif pour le « soutien indéfectible » qu’ils donnent à l’état juif. « Israël est l’allié indispensable de l’Amérique » a dit le premier ministre.
Soulignant l’unicité d’Israël au Proche Orient, Netanyahou a déclaré que l’état juif est le seul endroit qui offre aux chrétiens dans la région la pleine liberté de culte.
« Seul Israël peut être cru pour assurer la liberté de toutes les religions, » a-t-il dit. « C’est pourquoi plus d’un million de citoyens musulmans d’Israël jouissent pleinement de leurs droits démocratiques. C’est pourquoi le seul endroit du Proche Orient où les chrétiens sont totalement libres de pratiquer leur foi est dans l’état démocratique d’Israël. Et c’est pourquoi seulement Israël peut être cru pour assurer la liberté de toutes les religions dans notre capitale éternelle, la ville unifiée de Jérusalem. »
Soulignant les liens étroits entre les deux pays, le premier ministre a noté que l’amitié entre les nations n’est pas seulement limitée aux dirigeants politiques, mais englobe aussi les populations. Netanyahou a souligné la coopération entre Israël et les Etats-Unis sur de nombreux fronts, en insistant particulièrement sur le succès du système anti-missiles Dôme de Fer.
Il a remercié le président américain Barack Obama pour l’aide des Etats-Unis dans le maintien de l’avantage militaire d’Israël : « je tiens a remercie le président et le Congrès pour fournir à Israël une aide vitale afin qu’Israël puisse se défendre par lui-même, » a-t-il dit.
Relevant les liens économiques entre les deux pays, Netanyahou a noté que ces dernières années les entreprises israéliennes ont investi plus de 50 milliards de dollars aux Etats-Unis.
Il a également noté la coopération d’Israël et des Etats-Unis dans les domaines médicaux et de l’énergie, disant que les efforts conjoints pour trouver un substitut au carburant se concrétisent. « Nous pouvons changer l’histoire ».
A un certain moment de son discours, plusieurs militants gauchistes de l’association ‘Move Over AIPAC’ ont tenté de perturber le discours de Netanyahou.
Les manifestants, cinq en tout, se sont levé un par un en déployant des banderoles et en scandant des slogans. Ils ont été appréhendé et escorté par le service de sécurité.
« Pensez-vous qu’ils ont ces protestations à Gaza ? » a demandé Netanyahou en plaisantant.
« C’est l’essence même de la grande alliance entre nos deux pays, » a-t-il conclu. « Deux peuples au service de la liberté, et en quête de liberté et de paix pour tous. » Articles connexes
166 commentaires
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2) Redécrire l´Etat d´Israel en tenant compte des 92 ooo km de surface restitués.
3) sécuriser l´Etat en dialogue avec les Palestiniens non- Israéliens.
4) Acceuillir massivement Bibi en juin, s´il vient à Paris. Pour restaurer son courage politique.
QUE D... aide ISRAEL à écarter tous les ennemis qui sont malheursement nombreux, si ce n'est pour des raisons pognon, pétrole, ou simplement de l'antisémitisme pur et dur caché..
Tomber dans une telle naivete depasse l'inimaginable.C'est le gouffre de la naivete.
Donnons-leur les terres de 67 dis-tu ? .Nous leur avons donne toutes les terres de Gaza,au terrible prix que cela nous a coute,sur tous les plans .Qu'avons-nous recu en recompense??? Sept annees de tir de roquettes a partir De Gaza par le hamas.Alors reveilles-toi et sois un peu plus realiste avant de sortir tes conneries.
CHALOM..VIC..ISRAEL...
et moi je dis,; parlons en,des frontières de la Royaume de Israel,avant de l'invasion des phylisteen!!
La Les Pan-arabes ne se intéresse pas à logique des causes et effets des les événements pertinents et qui sont porteuses de vérité. Tout référence aux parcours millénaire et séculaire d'Israël est a nier. Un Israël qui est en opposition à leur détermination d'être engagé pour un Islam re-conquérant.
Est claire que le pan-arabes veulent encore avec déterminisme négationniste et forcement manipulateur et spécifiquement agressif de ce re-approprier de Jérusalem. Donc en tout niant le droit d'Israël d'exister et cela malgré la souveraineté reconnue internationalement, affirment tout jours leur inébranlable détermination perverse de l'anéantir.
Israël doit se battre pour son espace vitale et sécuritaire et pour son droit à exister comme nation libre e souveraine parmi les nations du monde. Les accords originales avec les Nations Unies marquent une frontière qui n'a pas été respecté par les Pan-arabes ni appliqués par la UN
.Maintenant Israël qui depuis 2000 années de errance et persécutions et négations a eu son droit et bien conquis au retour et à son existence comme entité supra-national et ceci depuis de la sortie de la domination de l'empire Ottoman.
Un marche au contre sens n'est pas envisageable comme positive pour une vision de un Israël sécurisé. Vu le contenu sensible historique et politique qui doit être mis sur la table des négociations avec l'autorité PA, les exhortations pressant de Washington son contrindiqué pour la bonne démarche a fin mettre en place les fondements de un paix stable, de ou ressortirait un garantie de non agression future pour Israël.
plainte loque qui sort de leur bouche est écran de fumé étalé devant la humanité porteuse dans son contenu de un drogue soporifique aux contre vérités des faits et réalités.
Quand était-ce, Bar-oni? La version que je connais est celle de l´invasion par les Chaldéens de la tribu d´ Abram du "pays des peuples de la mer". Il y a bien bien longtemps. Une deuxième invasion de ce "pays des peuples de la mer" par une descendance de ce même Abraham, à laquelle s´était peut-être ajoutée une foule sortant en même temps qu´elle d´ Egypte, aurait eu lieu environ 700 ans plus tard, soit vers - 1200. La royauté a commencé à exister, dans ce pays devenant hébreu, avec Shaul vers - 1030. La Samarie est vidée des familles hébreuses entre - 721 et - 538, Yerushalaîm seulement à partir de -586. Pendant ce temps affluent des étrangers déportés là par les maîtres de l´ heure: Salmanassar, Sargon, Neko, Nabuchodonosor, Cyrus. Vers - 350, la Judée est reconnue comme Etat théocratique autonome battant monnaie. Autonomie qui s´agrandit à l´époque des Maccabi et qui se perd à la naissance d Hyrcan. En - 40, Yerushalaîm est prise aux Romains par les Parthes. La plus longue invasion de ce pays originairement "pays des Peuples de la mer" puis "pays des Hébreux" est t-elle celle des Romains? Celle des Ottomans plus tard? Ni ceux-ci, ni ceux-là ne sont des Philistins! Parlons de la Palestine à la défaite du Cheik occupant, en 1918.
Ah'madinedjad échappe une tentative d'assassinat
Une vaste explosion a répandu le feu dans une unité d’une raffinerie de pétrole, à Abadan, la plus grande ville pétrolière d’Iran, au cours de la visite du Président iranien Mahmoud Ahmadinedjad, mardi 24 mai. Il venait inaugurer une unité d’expansion des capacités de production, qui tourne à environ 4, 2 millions de litres par jour. Deux personnes ont été tuées et 12 blessées. Les responsables ont attribué la conflagration à une fuite de gaz ou à une « faute technique », dans l’une des unités, sans spécifier s’il s’agissait de la même unité que celle qu’Ahmadinedjad avait prévu de visiter. Cependant, selon les sources iraniennes de Debkafile, l’explosion s’est déclenchée au moment même où il pressait sur le bouton pour l’activer, au cœur de cette même unité, qui devait avoir été testée et mise en route avant la cérémonie d’inauguration, afin d’éviter toute bavure technique.
Une conférence de presse a rapidement été mise en place, avec le concours de la Télévision d’état, de façon à le montrer répondant à des questions au sujet de la raffinerie d’Abadan – apparemment, dans le but de mettre fin aux rumeurs galopantes racontant qu’il avait été assassiné. Il n’a, bien sûr, pas fait mention de l’explosion.
Le dernier attentat connu contre la vie d’Ahmadinedjad s’est déroulé le 24 août 2010, lorsqu’une grenade a été lancée contre son convoi motorisé, dans la ville d’Hamadan, à l’Ouest de l’Iran. Les responsables avaient alors expliqué qu’il s’agissait seulement de l’explosion d’un pétard. Nos sources iraniennes mettent le doigt sur trois parties prenantes qui seraient susceptibles d’avoir combiné l’attentat :
1. Abadan, sur le Shatt al Arb, se situe près de la frontière avec l’Irak et de la route réputée pour être empruntée par les agents arabes venus d’Arabie Saoudite et du Golfe, entrant et sortant du Khuzestan, une province iranienne riche en pétrole, qui est aussi le foyer de la défection des arabes iraniens et de leurs mouvements de libération.
2. Les luttes intestines au sein des plus hauts échelons du Corps des Gardiens de la Révolution ou des cercles de l’élite du régime, où le prestige d’Ahmadinedjad a gravement chuté, au cours des joutes successives avec le Guide Suprême, l’Ayatollah Ali Khamenei, concernant la répartition des pouvoirs et de l’autorité.
La clique des Ayatollahs affirme que le Président a violé le premier commandement de la République islamique – certains disent même : les préceptes de la Foi – en désobéissant au guide suprême. Ahmadinedjad a bafoué son ordre de remettre à son poste le Ministre du renseignement qu’il avait congédié de son propre chef – décision qui avait été annulée par Khamenei.
Le Guide Suprême soupçonne qu’Ahmadinedjad complote secrètement pour se débarrassé de lui. Les deux camps sont actuellement en pleine confrontation ; épreuve de force au cours de laquelle le Président pourrait chercher à battre tambour pour regagner en popularité, en prétendant avoir été la cible d’une tentative d’assassinat. Et peut-être que c’est le cas, effectivement.
3. Une agence d’espionnage clandestine pourrait aussi être responsable, éventuellement la même main invisible qui, depuis deux ans, tourmente le programme nucléaire de l’Iran en liquidant ses scientifiques les plus en vue et qui aurait injecté le virus Stuxnet dans les systèmes de contrôle e ses ordinateurs