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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientErdogan : une attaque israélienne en Iran provoquera une catastrophe régionaleDe retour d'une visite en Iran, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan met en garde Israël contre une attaque des sites nucléaires iraniens, qui selon lui provoquera ''une destruction dans la région toute entière''. Lors de sa visite à Téhéran, Erdogan avait déjà averti qu'il est ''interdit d'attaquer un pays détenant le nucléaire civil''. Erdogan a fait part de ses craintes au président américain Barack Obama, affirmant qu'une frappe israélienne en Iran pourrait avoir des conséquences bien plus graves que prévues. ''Un conflit régional de ce type ne s'achèvera pas comme la guerre entre les USA et l'Irak'', a-t-il déclaré. Articles connexes
96 commentaires
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’historien Flavius Josèphe dans son Livre des Antiquités (XI, 321-47). Dans ces deux récits, le Grand Prêtre du Temple, craignant qu’Alexandre ne détruise Jérusalem, sort à sa rencontre avant qu’il n’atteigne la ville. L’épisode décrit comment Alexandre descend de son cheval et s’incline à la vue du Grand Prêtre (Alexandre s’inclinait rarement, voire même jamais). Dans le récit de Flavius Josèphe, quand son général Parmerio le questionne, Alexandre explique son geste ainsi : « Je ne me suis pas incliné devant lui, mais devant D.ieu qui l’a honoré de la haute prêtrise ; car cette même personne m’est apparue en rêve dans cette tenue. »
Alexandre interprète la vision du Grand Prêtre comme un signe favorable, il épargne donc Jérusalem, annexant pacifiquement la Terre d’Israël à son empire grandissant. En tribu à sa conquête bénigne, les Sages décrétent que les premiers nés de cette période seront nommés Alexandre – qui demeure un nom juif jusqu’à ce jour. La date de leur rencontre, le 25 Tevet, est aussi déclarée jour de fête mineur.
LES JUIFS ET LES GRECS
Ainsi commence l’une des relations les plus intéressantes et les plus complexes de l’Ancien monde. Les grecs n’avaient jamais rencontré de peuple comme les juifs et les juifs n’avaient jamais rencontré de peuple comme les grecs. A l’origine, la rencontre semblait prometteuse. Pour les juifs, les grecs étaient porteurs d’une culture nouvelle et exotique venant d’Occident. Ils avaient une tradition intellectuelle profonde, ayant produit des philosophes comme Socrate, Platon et Aristote (qui fut le précepteur d’Alexandre pendant deux ans). Leur amour de la sagesse, de la science, de l’art et de l’architecture les distinguait des autres cultures auxquelles les juifs avaient eu à faire. La langue grecque était si belle que le Talmud l’appelle, en certains endroits, la plus belle des langues et les Sages décrétèrent qu’un séfer Torah pouvait même être écrit en grec.
Les grecs n’avaient jamais rencontré quiconque ressemblant aux juifs – le seul peuple monothéiste du monde ayant le concept d’un D.ieu aimant, infini qui se soucie de la Création et agit dans l’Histoire. Les juifs avaient des traditions incroyablement profondes et complexes sur le plan légal et philosophique. Leur taux d’alphabétisation et leurs infrastructures sociales étaient inégalés dans l’Ancien monde. Les grecs étaient tellement fascinés par les juifs qu’ils furent le premier peuple à faire traduire la Bible, quand le Roi Ptolémée II (-250) contraignit 70 Sages (connus sous le nom de Septante) à traduire la Bible en grec.
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 1 Avril 2012 à 20:57
Il me semble que j'ai répondu à votre commentaire sur les statistiques.
Vous le trouverez en page 6 (Le 01.04.12 à 15:14)
Quant au fait que je me contente de lancer des brûlots pour décamper sans répondre....je me demande ce que je fais en ce moment?....
Je vous rappelle que c'est vous qui aviez décidé de boycotter mes commentaires!
C'est votre droit après tout!
Seulement, j'ai le droit moi aussi, de répondre.......ou pas!
Les accords Fayçal-Weisman ne se limitaient pas à la question du Foyer national juif. Cet accord était conditionné par la création d'un état arabe qui comprenait: la Péninsule arabique, la Palestine, la Syrie et la Mésopotamie!
C'est trop de terres ou pas assez, là n'est pas la question! Les circonstances de l'époque répondront à cela.
Seulement les britishs n'avaient pas tenu leur parole!
Cela ne les empêche pas aujourd'hui de crier sur tous les toits que les arabes ne tiennent jamais leurs promesses!
Culottés!
La majorité des historiens s'accordent pour dire que cet accord (F-W) était mort-né suite au double jeu des britanniques.
Les traîtres.
Tout dépend de ce que l'UOIF avait comme intention en invitant les chantres de la haine!
Si c'est pour un débat contradictoire, l'islam en a drôlement besoin pour se réformer! Pourquoi pas!
Mais si c'est pour jouer à la caisse de résonance aux discours de ces abrutis (et c'est sûrement le cas!), je suis contre! Totalement hostile!
Personnellement, qu'une communauté veuille s'habiller, manger et vivre selon ses traditions, bien que je ne vois ni l'intérêt, ni la pertinence de ce choix, cela ne me pose aucun problème!
Une tenue typiquement traditionnelle de la communauté en question, une boucherie halal, un école traditionnelle ou des écriteaux en langue arabe ne posent posent pas de problème du moment que d'autres communautés en font autant. A ce propos, j'ai été à Paris la semaine dernière et j'ai visité une ruelle à Montmartre, j'avais l'impression d'être à tel aviv (pour ne pas dire jérusalem!). Mensonge?!
Là où je suis entièrement d'accord avec vous (faut-il que je le répète?!) c'est quand la dite communauté cherche à imposer ses "lois" à un pays majoritairement hostile à ces "lois"!
Mais lorsque vous dites que les français issus de l'immigration ne veulent pas retourner au bled (je cite) "chez les barbares", là vous êtes en pleine insulte pour mon propre pays et pour mes congénères, alors que nous ne vivons pas en france! L'insulte est donc gratuite!
Mais c'est bon pour sonder la personnalité de l'interlocuteur!
Quant au FMI, il affecte, comme toutes les organisations de type ONU, de croire qu'il y a un " peuple palestinien " .Ce qui explique qu'il publie des statistiques à ce propos - ou encore qu'il lance des appels ( Mme Christine Lagarde, récemment ) à verser des fonds à la " Palestine " .
envoyer par mail
mardi 3 avril 2012, par Antisémitisme, par Islamisme, par Islam Radical, par UOIF, par Les Verts, par Front De Gauche
L’Union des Organisations Islamiques de France (UOIF) se réunit en fin de semaine au Bourget. Après la tuerie de Toulouse, la France a décidé jeudi d’interdire la venue à cette occasion de plusieurs prédicateurs. Cependant il est toujours difficile de dénoncer le fanatisme de certains islamistes.
Au lendemain des deux drames montalbanais et toulousain, sans doute pour très peu de temps, les évidences indicibles peuvent être dites et montrées. Il existe encore, et si l’on ose dire, une fenêtre de tir, étroite, que l’idéologie en majesté va s’employer à refermer, comme elle en a la magie. Entre-temps, les Français auront pu apprendre ce qu’on leur cachait comme à des enfants immatures ou des adultes incapables.
Sur Qatar TV, en février 2006, le cheikh Qaradawi déclara que « les opérations martyrs sont autorisées, même s’il se trouve des civils parmi les victimes ». Crédit Reuters
Ainsi, si l’identité du tueur ne leur avait pas été révélée aussi prestement, nul doute que les prestigieux invités au congrès annuel de l’Union des Organisations Islamiques de France (UOIF) qui se tiendra de ce vendredi à lundi au Bourget, auraient été reçus sans encombre et dans le silence des médias.
Nul n’aurait su, par exemple, que M. Abdallah Asfar avait légitimé le fait de battre son épouse si elle n’obéissait pas à son mari. Ou que les proches du Hamas, Messieurs Akrima Sabri et Al Huazi avaient respectivement déclaré : « Je vous annonce qu’il y a des centaines de femmes qui sont prêtes à se sacrifier pour libérer la terre de Palestine, et à sacrifier ce qu’elles ont de plus cher, leurs propres enfants » et encore : « Oui, je suis antisémite. Si ce ne sont pas les dirigeants arabes, nous devrons dévorer les juifs avec nos dents ». Pour ne pas être en reste, le quatrième hôte empêché de l’UOIF, M. Al Qarni a qualifié les juifs de « frères des singes et des porcs » (le Figaro du 30 mars).
De même, jusqu’à présent, tous mes efforts à populariser les prêches sur Al-Jazira du cheikh Qaradawi, qui ne viendra pas non plus au Bourget à la suite de l’intervention de Nicolas Sarkozy auprès de l’émir du Qatar, qui a bien voulu se montrer compréhensif, étaient demeurés vains.
Les Français auraient continué d’ignorer la qualité de la prose de celui qui, dans son ouvrage « le licite et l’illicite » recommande l’extermination physique des homosexuels.
Sur Qatar TV, en février 2006, cet ami du Hamas, déclara que « les opérations martyrs sont autorisées, même s’il se trouve des civils parmi les victimes ». Pour ce qui est des occidentales violées, il ajoutait que celles-ci l’avaient été par ce que « une provocatrice non habillée décemment devait être punie (…) pour qu’elle soit affranchie de la culpabilité, une femme violée doit avoir montré la bonne conduite ». Mme Gisèle Halimi et ses amies féministes ne semblent pas avoir été très émues jusqu’alors de semblables propos.
Ou encore, cette sortie le 28 janvier 2009, toujours sur Al-Jazira, dont bien peu d’antiracistes autoproclamés, hier encore, faisaient grand cas : « Tout au long de l’histoire, Allah a imposé aux juifs les personnes qui les puniraient de leur corruption. Le dernier châtiment a été administré par Hitler – et bien que les juifs aient exagéré les faits – il a réussi à les remettre à leur place. C’est est un châtiment divin. Si Allah veut, la prochaine fois ce sera par la main des musulmans ».
Pour se consoler, le public de l’UOIF pourra toujours applaudir Tariq Ramadan qui vient de considérer que Mohamed Merah « renvoyait la France à son miroir » et que celui-ci avait « fini jihadiste sans réelle conviction après avoir été un citoyen sans réelle dignité »
Quand une certaine gauche s’aveugle....
Mais convenons-en, ces paroles compréhensives ne sont pas très éloignées du discours de la gauche extrême qui a repris de sa couleur, sitôt les victimes enterrées. Raison pourquoi, très vite, la déraison va retrouver tous ses droits. Bientôt, il sera, à nouveau, impossible de mettre en garde vivement contre le "racisme islamiste" sans être taxé de stigmatisation.
D’ici là, hâtons-nous de dresser un bêtisier dont cette même gauche extrême semble posséder, pour l’heure, sans grand esprit de partage, le quasi-monopole.
Laissons de coté, les trotskistes assumés, qui ne se sont même pas donné le ridicule de feindre une hypocrite compassion. Besancenot regarde depuis trop longtemps avec concupiscence le lumpenprolétariat des cités comme autant de régiments à embrigader pour vouloir se donner le mal de donner le change.
C’est du coté du Front de Gauche, que l’on retrouve, sans surprise, les habituelles pauvretés du parti dédié aux pauvres. Ainsi, un Pierre Laurent, en digne héritier de son stalinien de père, a cru devoir verser quelques larmes sur le sort du géniteur de l’assassin décidé à réclamer des comptes à la France.
Cette France et ses habitants, premiers responsables de son échec scolaire, de ses délits qui le conduisent en prison, et même de son si humiliant RSA qui l’ aurait poussé à ne rien faire s’il n’avait décidé de tuer des soldats et des petits juifs.
Mais, le parti des Verts aura lui aussi respecté son quota de stupidités écœurantes.
Ainsi, comme a su le faire remarquer Olivier Rolin, Cécile Duflot a expliqué de sa petite voix péremptoire que « le terreau » sur lequel a prospéré le criminel « est alimenté par les politiques qui stigmatisent certaines communautés, ce qui donne du crédit au fanatisme religieux ».
Mais le pire est à venir. Dans un article daté du 22 mars, Le Monde écrit, sans grands états d’âmes, que la direction du parti a reçu des courriels très vifs « se demandant pourquoi on n’en faisait pas autant pour des enfants palestiniens qui périssaient lors d’échanges de coups de feu entre Israéliens et palestiniens. »
L’explication arrive : « Le soutien sans faille à la cause palestinienne est en effet un des fondamentaux du parti, réaffirmé à chaque conseil fédéral, et porté sans complexe par la secrétaire nationale Cécile Duflot ».
A ce stade, dois-je rappeler qu’il s’agissait de flétrir l’assassinat de sang-froid de petits écoliers dans une école française ?
Dois-je, également, rappeler que le Front de Gauche et les Verts sont associés aux socialistes dans le cadre d’une union que le candidat du PS couve tendrement du regard et qu’il n’a pas trouvé le moindre mot pour admonester le comportement erratique de ses partenaires ?
Que les médias ne lui en demandent pas raison, nous y sommes habitués, mais que la droite démocratique n’enfonce pas le clou, toute à ses compliments finement stratégiques au tribun Mélenchon, me laisse songeur.
Le juif désigné comme la source de tous les maux ?
Dans ce contexte délétère, la lecture du Figaro du vendredi 30 mars m’aura également plongé dans un abîme de perplexité. Cette citation du grand rabbin Gilbert Bernheim, dans le cadre de la recension de son dernier opus , et qui, paraît-il , trouverait tout son sens au lendemain de la semaine dramatique : « Il faudrait être ridiculement naïf pour exclure que le juif puisse être désigné comme la source de tous les maux » d’où cette exigence « qui s’impose comme un devoir » et comme « une exception à la neutralité républicaine » : « Au nom des valeurs du judaïsme, j’appelle à ne pas voter pour Mme Le Pen ».
Le mécréant que je suis ne prétends pas porter les valeurs du judaïsme aussi hautement que l’éminent auteur de cette sentence, mais, n’eût-il pas fallu, au nom de ces mêmes valeurs, a fortiori après cette décade tragique et ces propos décadents, quitte, effectivement, à enfreindre les règles de la neutralité républicaine, appeler également à ne pas voter pour MM Artaud, Joly, Mélenchon, et Poutou ?
Comme quoi, les cerveaux les plus structurés ne sont pas les moins exposés à l’hémiplégie morale et politique.
L’islam est-il soluble dans la démocratie ?
Dans un ordre d’idées assez voisin, j’avoue mon inquiétude après avoir entendu Bernard Guetta, pronostiquer lundi que « l’islam était soluble dans la démocratie ». Je suis inquiet, car, généralement, cet homme courtois se trompe.
Ainsi, la semaine dernière il avait privilégié l’hypothèse populiste pour expliquer les massacres du sud-ouest.
C’est lui qui également avait prévu que l’Europe ferait un tabac lors de la consultation sur Maastricht, que la méthode douce initiée il y a cinq ans par les Européens convaincrait les Iraniens de stopper leur projet atomique, que le Hamas, c’était fait, avait implicitement reconnu Israël et ainsi de suite.
A la décharge de l’éditorialiste diplomatique de France Inter, reconnaissons, sans surprise, que son point de vue est aussi celui du Monde, du Quai d’Orsay et, plus généralement, de la gauche bien mal pensante. Seuls, mais c’est un détail sans grande importance, les faits les démentent.
Ainsi, les frères musulmans égyptiens, contrairement à leurs promesses les plus solennelles, ont décidé de présenter leur chef à la future élection présidentielle. Pour prétendre cependant que les islamistes aujourd’hui au pouvoir ne sont pas si terribles que cela, que jamais la Charia ne serait appliquée (ce qu’elle est déjà largement dans les faits), nos incorrigibles optimistes les opposent aux plus radicaux salafistes.
Ils devraient pourtant se souvenir que, déjà, Lénine avait utilisé le gauchisme pour asseoir la réputation du bolchevisme.
Que le rouge puisse déteindre sur le vert n’étonnera que ceux qui n’ont pas encore compris que les deux couleurs s’accordent harmonieusement.
Gilles William Goldnadel