Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

(suite)

des Affaires étrangères, aujourd'hui samedi 22 décembre.

L ONU UN MACHIN SOUS CONTROLE DE NATIONS ARABES?????
IL FAUT y etre present pour répondre eaux dérappages
LA SYRIE DE BACHAR 48 000MORTS ET L ONU.....N arrive pas a imposer une ligne
C EST DU GRAND N IMPORTE QU OI .........

Assad est un assassin Les terrorristes qui le remplaceront ne voudront point signer un acte de paix avec Israel de ce faite nous ne rendront point le Golan J ESPERE QU UN JOURS IL Y AURA UN GOUVERNEMENTS SIRIENS QUI SIGNERA UN ACTE DE PAIX AVEX ISRAEL

---bonjour Danielle---tous les dictacteurs qui sont tombés dans leurs pays, ont étés remplacés ,par des milliers,
de dictateurs encore plus féroces,avec leurs invasions,leurs meurtres ,leurs charia, leurs emputations,c'est horrible,
en ce moment au mali,""à la télé,/ un pays vide,,sur tous les plans,complètement mort,que des tortionaires armés,
jusqu'aux dents,térrorriser et amputer au moindre regard une population qui se cache,, alors ces milliers de barbares
qui nous entourent ,nous donnent froid au dos??? certes nous sommes un pays fort? mais tout ce stounamis n'est
pas de bon augure ?? l'ONU nid de vipères devtrait disparaitre & écrasé comme des serpents qui sont ?? pour
avoir "le plateau du Golan"que de morts,? que de sang ? indispensable pour Israel ? pour en éviter d'autres morts

En une phrase Edmond concernant la fabrication des bombes atomiques par l'Iran
LES CAROTTES SONT CUITES!
Israël ne peut plus agir et Obama a laissé faire.

Bonjour, Yvan. Oui. Israël est désormais ( et aussi les Etats sunnites du Golfe, et, plus généralement, toute la région, sa ) sous la menace d'une décision des dirigeants iraniens de passer à la dernière étape : la fabrication de bombes ( ce qui peut être fait, désormais, très rapidement ). Une partie des stratèges du Département d'Etat considérait, dès 2008-2009, qu'il convenait d' " équilibrer " la puissance militaire israélienne en laissant l'Iran construire une force nucléaire - ce qui, selon ces stratèges, permettrait aux Etats-Unis de se réintroduire dans la région en position d'arbitre. et ce qui aurait aussi pour effet de rendre Israël vulnérable, et donc plus docile aux décisions américaines concernant la " solution à deux Etats " .

La déclaration de l'ONU concernant le Golan à Israël doit être une fin de non
recevoir et un refus total.
Lorsque l'on connait, comme en Tunisie, en Egypte en Libye et demain en Syrie les mouvances
islamiques qui gouvernent et gouverneront ces pays il n'y a rien à attendre de bon pour Israël.
Les islamistes appuient leur gouvernance sur un refus de l'état juif et Israël sert leur dessein de
maintenir leurs peuples sous leur joug totalitaire et religieux.

Samir Qoutaini, 17 ans, a toujours rêvé d'être footballeur, mais en attendant c'est un fusil d'assaut AK-47 qu'il a entre les mains, pour se battre au côté de la rébellion à Alep, dans le nord de la Syrie.

Il ne regrette pas l'école qu'il avait d'ailleurs quittée pour travailler dans le magasin de téléphones portables de son père. La seule chose qui lui manque ce sont les matchs de foot avec ses camarades.

"Je suis avant-centre et, vraiment, je (sais) marquer. Mon rêve était de jouer avec (Lionel) Messi et (Andrés) Iniesta", deux vedettes de l'équipe du FC Barcelone.

L'adolescent s'interrompt quand une explosion retentit. Il a posé son arme et se réchauffe les mains près d'un fourneau. L'eau bout dans une théière. Depuis quelque temps un magasin abandonné de Salaheddine est devenu son gîte.

Salaheddine est un quartier de l'ouest de la métropole commerciale d'Alep, cible de bombardements aériens et théâtre d'affrontements quotidiens depuis le mois de juillet.

Cette zone de la ville a été totalement désertée de ses habitants et les forces du régime tentent d'en chasser les combattants de l'Armée syrienne libre (ASL, rebelles) qui s'y sont installés.

Depuis que Samir est parti de chez lui, il s'est formé une nouvelle famille, composée essentiellement d'autres adolescents comme lui.

Le plus jeune de la bande, Abdel Khader Zeidan, a 15 ans. Le plus âgé, Mahmoud Bassar, a 18 ans.

"un jeu vidéo"

Une écharpe rouge entoure le visage d'enfant d'Abdel Khader. "Ne vous fiez pas à mon âge. Je me bats depuis cinq mois et j'ai tué plusieurs soldats", pérore-t-il.

Son école a fermé à cause des combats qui secouent la Syrie depuis mars 2011 et ont fait plus de 44.000 morts depuis le début du conflit.

"Tous les jours, je voyais à la télévision comment l'armée tuait des innocents. Je ne voulais pas rester à la maison en attendant qu'ils nous tuent aussi", explique-t-il.

"Je me souviens du jour où j'ai décidé d'aller me battre, mes parents se sont mis à pleurer. Je leur parle une fois par semaine, pour leur dire que je vais bien, mais ma mère pleure toujours quand on se dit au revoir", dit Abdel Khader.

Mahmoud, le plus âgé et le plus expérimenté du groupe, n'aime pas parler de la guerre.

"Je ne sais pas si j'ai tué quelqu'un ou pas, et ça ne m'intéresse pas", dit-il. "Je sais juste que je leur tire dessus et qu'ils me tirent dessus. Dieu guide les balles".

"Avant de m'enrôler, je n'avais jamais touché à une arme et je n'avais jamais pensé à en utiliser une", affirme Mahmoud. Une fois la guerre finie, il voudrait retourner à l'école, pour ensuite aller à l'université, faire des études de médecine ou d'infirmier.

Ses parents n'étaient pas d'accord pour qu'il aille se battre.

Mais "même s'ils ne le disent pas, ils sont fiers de moi, surtout mon père, qui avait mon âge quand il s'est soulevé" contre le père de Bachar al-Assad, Hafez, dans les années 1980, assure Mahmoud.

"Les gens meurent et tout ça... mais au final, c'est comme un jeu vidéo", déclare Samir, amateur du célèbre jeu vidéo de guerre "Call of Duty".

"J'y joue très bien, surtout en mode sniper", affirme-t-il en exhibant un fusil muni d'un viseur télescopique.

Mais, souligne Mahmoud, contrairement aux jeux vidéos, à la vraie guerre, "on n'a pas droit à une deuxième chance, et on n'a qu'une seule vie".

© 2012 AFP

Edmond bonjour,
Je suis d'accord avec ton analyse, les USA en laissant l'Iran devenir une puissance
atomique réalisent son projet de tenir l'état juif en laisse ( je dirais même avec un noeud
coulant qu'il suffit de serrer pour l'étrangler ) et obliger Israël à se plier à ses dictas.
Comment tu vois la situation dans les mois à venir?
Moi, je suis inquiet car après les désaccords vont venir les ordres d'Obama pour faire
plier B.Natanyahou qui pousse ses pions en sachant que pour son dernier mandat il ne
craint rien.

Re-bonjour, Yvan. Vraiment, je ne sais pas quoi penser exactement. D'un côté, les Etats-Unis de Baraq 'Hussein Obama et de Mme Hillary Clinton ont laissé se faire une force nucléaire iranienne. D'un autre côté, ils mènent une politique en quelque sorte homéopathique - " soigner " le mal shî'ite iranien en favorisant l'extension du pouvoir des " Frères Musulmans " - en Egypte, en Syrie ... Dans les deux aspects, il y a une bonne part de pari, qui, comme tout pari, peut être perdu. Les événements de Benghazi, ceux de Tunisie et d'Egypte montrent à quel point le chevauchement du tigre islamique est périlleux et incertain dans ses résultats. L'affaire de Syrie - déboulonner Bachar El-Assad, comme il a été fait de Ben Ali et de Hosni Moubarak, pour lui substituer une improbable nébuleuse islamique - est peut-être en train d'aboutir au resserrement du contrôle russe sur ce pays. Pour ce qui est du nucléaire iranien, le risque est immense : outre celui, direct, qui pèse désormais sur Israël, il y a le risque d'une hégémonie régionale iranienne, qui amènerait les monarchies pétro-sunnites du Golfe à monnayer leur survie contre un alignement politique et diplomatique sur Téhéran. Il y a aussi le risque permanent de voir l'Iran doter l'un de ses proxies terroristes de bombes nucléaires " sales " ... Il y a encore la possibilité que les monarchies sunnites, plutôt que de passer sous les Fourches Caudines de Téhéran, ne se lancent à leur tour dans la construction de capacités nucléaires