Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Est ce un mal que les palestiniens refusent toute concession. Cela rend impossible la création d'un état palestrinien Jean micherl

Vous parlez de bouts de papier,qui n'ont strictement aucune valeur,pour les arabes .ils s'en torche le c
Seule la force a valeur. Et comme Israël,n'est plus qu'un tigre de papier. , Qui n'a plus envie de se battre. Et bien dégagez !!! Les nations de la terre,se font la guerre ,depuis des milliers d'années ,et ce n'est pas fini
Les juifs au bout de. 65. Ans. Ne sont plus capables. De se battre pour une petite partie de leur pays .
Cherchez l'erreur .....de toutes façons ,bibi ,est en train de tout donner.
La question est de savoir, combien de juifs ,on pourra sauver ,d'Israël. Vers l'étranger. ???
L'état. Ashkénaze D'Israël, Est un fiasco. Total. Et dieu. A épuisé. Sa réserve de prophètes.

moi 1ere ministre je vous dis fiiiiiiiii cette terre est a nous va demander a ton D.....allah de rectifier ma torah
grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

"Processus de paix" l'escroquerie de Kerry



Par Joseph Puder

http://www.frontpagemag.com/2013/joseph-puder/kerrys-peace-process-fraud/

Adapté par Mordeh'aÏ pour le blog malaassot©5774








Compte tenu de la crise accablant le Moyen Orient arabe, le déluge de feu et de sang interminable en Syrie, en Irak, en Egypte ainsi que l'hégémonie de l'Iran- qui a ouvert une ligne de faille entre les Sunnites et les Shiites - rend l'attention obsessionnelle de Kerry pour la création d'un état Palestinien quelque peu incompréhensible.



Selon Aaron David Miller, ancien négociateur de paix au Moyen-Orient qui est maintenant vice-président du Centre international Woodrow Wilson, " L'empressement de Kerry ", est que ce travail est le couronnement de sa carrière, un poste qu'il convoitait en second lieu après à la présidence, et ses collaborateurs disent qu'il est prêt à prendre des risques considérables pour cimenter son héritage comme un artisan de la paix. Pour H.Clinton, qui a encore un potentiel pour son avenir, le secrétariat d'État n'était qu'un tremplin, lui permettant de redorer ses lettres de créance, mais aussi la réalisation des risques potentiels, notamment sur le terrain politiquement chargé du Moyen-Orient. Alors que Clinton a consciencieusement fait le tour, elle a rarement pris un gros pari sur le "processus de paix ".



Le Secrétaire d'Etat John Kerry est arrivé en Israël, pour une autre visite, le mercredi 4 Décembre 2013, pour des réunions avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à Jérusalem. Jeudi, il avait prévu de rencontrer le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas à Ramallah. palestiniennes qui ont débuté en Juillet et se sont bloquées à plusieurs reprises depuis.



Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, profondément déçu par l'accord intérimaire P5+1 de l'Iran, dans lequelle les États-Unis ont joué un rôle majeur, n'est pas désireux de faire des concessions supplémentaires aux Palestiniens. Le voyage de Kerry est destiné à arranger les choses en ce qui concerne l'Iran, mais plus précisément, de faire pression sur Israël sur la question palestinienne. Kerry saura sans doute dire aux Israéliens que l'accord avec l'Iran était aussi dans l'intérêt d'Israël. palestiniens sont au point mort cependant, Kerry cherche à les faire revivre, mais l'opportunité est mal choisie.



Les Israéliens se sentent beaucoup moins en sécurité avec l'Iran en possession de 19 000 centrifugeuses, et l'assouplissement des sanctions. Drecevoir. La libération de terroristes palestiniens avec du sang de civils israéliens innocents sur leurs mains, comme geste de bonne volonté donné à Mahmoud Abbas pour venir à la table des négociations, était assez mauvais. L'expérience de Gaza de 2005, quand Israël a expulsé près de 9000 résidents jufs de Gaza, et a facilité les attaques terroristes du Hamas sur le sud d'Israël, est encore fraîche dans les esprits de la plupart des Israéliens. Les Israéliens ont de graves préoccupations quant à la suppression des territoires stratégiques à côté de ses centres de population, qui pourraient devenir de nouvelles cibles pour les Palestiniens qui n'ont pas renoncé à la "lutte armée." En outre, en dépit des accords signés par les Palestiniens qui les obligeaient à arrêter l'incitation contre Israël, les États-Unis ont longtemps négligé cette transgression grave - qui est une question très sensible pour les Israéliens.



En Juillet dernier, lors de la reprise des négociations de paix entre Jérusalem et Ramallah, sous la médiation de Kerry un cadre de neuf mois pour les négociations avait été fixé. Au cours des cinq prochains mois, les parties en négociations sont censés traiter les questions difficiles des frontières d'un Etat palestinien, l'avenir des colonies juives, et le statut de Jérusalem. Unis et ses alliés à l'accord intérimaire avec l'Iran. Ainsi, Kerry aurait à extirper à Israël des concessions critiques au moment où les 5 +1 puissances auraient décider de rendre l'accord intérimaire avec l'Iran permanent. Aaron David Miller avait ceci à dire: " Les deux plus difficiles séries de décisions que les Israéliens ont à prendre ... sont à peu près des décisions au cours de la même période de temps. Je ne sais pas si cela a été fait volontairement ou si cela fonctionne simplement de cette façon ou pas, mais ... rend pratiquement certain que le Premier ministre israélien ne pourra être en mesure que de gérer l'une ou l'autre. " (c'est le piège tendu par Obama)



Juste avant l'annonce de Kerry de la reprise des négociations directes entre Israël et les Palestiniens, le 19 Juillet 2013, Reuters a rapporté que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a convenu que ces négociations directes seront basées sur les frontières du 4 Juin,1967. Le Premier Ministre a vigoureusement nié ce rapport. Selon ses collaborateurs, M. Netanyahu a occupé une position de principe qu'Israël ne reviendra pas sur les lignes de 1967. .Un responsable israélien a déclaré cependant a déclaré plus tôt qu'Israel était prêt à reprendre les négociations avec les Palestiniens sur la base des lignes de 1967 et des échanges de territoires en échange de la reconnaissance palestinienne de l'Etat d'Israël comme un «Etat juif».



Après les pourparlers de Washington entre le négociateur en chef palestinien Saab Erekat et Tzipi Livni d'Israël à la fin de Juillet 2013, il est apparu que les Etats-Unis ont obtenu quatre milliards de dollars d'investissements privés à long terme pour les Palestiniens. Kerry a apparemment reçu une promesse de Netanyahu que le gouvernement israélien assouplirait les restrictions sur la circulation des marchandises à travers la Cisjordanie. Les Palestiniens ont accepté le compromis à leur demande d'un gel des implantations israéliennes. Conscient qu' 2009, la demande d'Obama que l'arrêt par Israël (en fait à Jérusalem)de la construction, qui a fourni à Abbas une excuse pour geler les négociations directes avec Israël, Kerry a exhorté Obama de ne pas exiger d'Israël l'arrêt de la construction comme une condition préalable. Kerry a également insisté pour que les négociations restent secrètes, sinon des fuites pourraient compromettre politiquement à la fois Abbas et Netanyahu.



Alors que les Palestiniens ont été soudoyé pour accepter les négociations avec des incitations financières, Kerry a utilisé des tactiques alarmistes sur les questions de sécurité avec Israël. Il a souligné à Netanyahu que la sécurité relative dont Israël jouit actuellement est temporaire. Il a probablement averti que sans une solution à deux Etats Israël devra faire face à une campagne de délégitimation menée par l'Europe, et finalement, d'une nouvelle Intifada. Kerry sans doute a rappelé que les Palestiniens peuvent à un moment donné avoir un chef plus radical, et utilisera des tendances démographiques défavorables à Israël. Kerry probablement soulevé la crise qui a suivi le printemps arabe, et ses ramifications en Israël.



palestinienne, qui a échappé à ses prédécesseurs, Kerry a choisi d'ignorer le simple fait que ni l'Iran ni les Palestiniens posent actuellement une menace existentielle pour Israël. Unis avec l'Iran, que le Premier ministre Netanyahu a appelé "une erreur historique", est beaucoup plus dangereux pour Israël que la menace d'une Intifada palestinienne. Cela ne veut pas dire qu'Israël rejette tout compromis avec les Palestiniens sur la base d'une solution à deux Etats. Au contraire, le peuple d'Israël a prouvé à maintes reprises qu'il est prêt à faire des sacrifices douloureux pour la paix. L'ancien Premier ministre Menahem Begin a abandonné l'ensemble du Sinaï, avec ses champs de pétrole, et sa maison à Yamit pour une paix froide avec l'Egypte. Le Premier Ministre Yitzhak Rabin a permis à Arafat de revenir en Cisjordanie et à Gaza et a signé les Accords d'Oslo qui ont installés en retour comme récompense des kamikazes palestiniens et une Intifada qui a tué plus de 1000 Israéliens.Le Premier Ministre Ariel Sharon a détruit les colonies juives de la bande de Gaza et a expulsé ses habitants, dans l'espoir de la paix, et a à la place s'est installé le régime du Hamas. Netanyahu a accepté la libération de 104 terroristes palestiniens ayant du sang sur les mains juste pour être en mesure de parler de paix avec Abbas.



Pour que l'iniative de paix réussisse Kerry doit concentrer son énergie sur le respect par l'Autorité Palestinienne de la fin de l'incitation anti-juives. Le peuple palestinien doit reconnaître Israël comme l'Etat juif, avec plus qu'une juste déclaration obligatoire d'Abbas. La Raison nécessite que l'Etat palestinien doit être démilitarisé, mais la réalité assure le contraire. En dépit de son palestinienne, Kerry doit attendre des temps meilleurs.

Sonia_080

Aucune partie de la Palestine concernée par le mandat britannique n’a été donnée pour la création d’un Etat arabe, car les droits des Arabes à l’autodétermination leur ont été accordés ailleurs : en Syrie, en Irak, en Arabie, en Egypte et en Afrique du Nord, et il fut créé 21 Etats arabes contemporains à cet effet, sur une immense masse terrestre qui va du golfe Persique à l’océan Atlantique. Contre un seul Etat pour les Juifs, en Palestine historique.

Il n’y a donc, d’un point de vue juridique pour l’ONU, aucune possibilité de créer encore un Etat arabe indépendant sur le territoire spécifique de l’ex-Palestine mandataire réservée à l’auto-détermination juive, et plus particulièrement en Judée, en Samarie et à Gaza !

Créer un tel état sur les terres juives serait illégal en vertu de l’article 80 de la Charte des Nations Unies, et outrepasserait l’autorité juridique que l’ONU s’est elle-même donnée. L’ONU est totalement bloquée, quelle que soit sa volonté politique actuelle.

je ne pense pas que B i B i va céder des terres contre une paix hypothétique...les musulmans ont en tête les paroles de leurs prophête mahomet..qu ' il , faut , par tous les moyens exterminer les juifs...jusqu ' au dernier ( paroles rapportée par un admirateur de dieudonne , un certain malik naram...

il n ' y aura jamais de paix israêlo palestinienne...jamais...!

c ' est une guerre de religion qui dure depuis l ' avènerment de l ' islam : faut pas rêver !

l ' islam s ' attaque aux chrét

suite

d ' abord je rectifie :

bien lire la 1 ere ligne Sonia_004 et non Sonia_080 !

et puis à la dernière ligne :

l ' islam s ' attaque aux chrétiens dans les pays arabo-musulmans en priorité , en attendant que le problème israêlo-palestinien soit résolu...

Jacques , on est bien d'accord - il faut pas céder encore une fois un seul pouce de terre de Israël et encore moins deviser Jérusalem !

Au contraire , il faut faire son Alyah pour renforcer Israël le seul foyer pour le peuple juif .

Ils tournent tous autour du pot alors qu'abou mazen le tueur d'enfants juifs va se faire exploser si il reconnait Israël comme état juif, ça va pas plus loin !

Non 30 ans

"olp: "pas d'accord avec Israêl tant que nous n'obtenons pas tout ce que nous voulons":

"Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse".

Tout ce que vont se recevoir tous ces va-nu-pieds enturbannés illettrés ce sera un bon coup de pied au c....ul cacher qui va leur remettre le pois chiche qui leur sert de cerveau à la bonne place. Amen.

AM ISRAEL HAY