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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientAbou Mazen déclare la guerre à Israël avec un ultimatumLe président de l’autorité palestinienne, Abou Mazen (Mahmoud Abbas) va demander au Conseil de sécurité de l’ONU de fixer un délai pour le retrait d’Israël des territoires qu’il a conquis lors de la guerre des Six Jours, donc de revenir aux frontières de 1967. Abou Mazen a déclaré que si le Conseil de sécurité n’approuve pas la demande, les Palestiniens se tourneront vers la Cour pénale internationale et déposeront une plainte contre Israël pour crimes de guerre. Articles connexes
25 commentaires
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dire. Il s'agit de ce que je me plais à nommer la SOLUTION SUDETES-POZNANIE. En d'autres termes, faire, à travers l'annexion de la Judée-Samarie, ce que Tchèques et Polonais firent après 1945 : l'expulsion d'une population ennemie. L'Umma est assez vaste pour accueillir deux millions, voire davantage, d'Arabes - aux quels seraient attribuées des compensations financières pour les terres et les maisons ( ce que les Allemands de Sudètes et de Poznanie n'eurent pas l'heur de recevoir ). Il y a eu, au XXe siècle, de nombreux cas de re-localisation de populations - Turcs de Thrace, Grecs d'Asie Mineure, et bien d'autres. Israël devra peut-être envisager cette solution.
1) Même si la Judée est le cœur historique du "pays juif" (ce n'est pas le cas de la Samarie), ça fait 2000 ans que d'autres s'y sont établis. Nous n'avons sur ce territoire aucun titre de propriété opposable aux tiers. Il se trouve que depuis les premières aliyahs, nous avons occupé prioritairement les zones côtières et la Galilée et laissé la population arabe se concentrer sur la Judée-Samarie. C'est un précédent qui s'impose désormais à nous.
2) Il n'a jamais été question de tracer la future frontière sur les lignes d'avant 1967, mais de prendre ces lignes comme base de discussion pour tracer la future frontière en tenant compte bien entendu des données démographiques actuelles.
3) Vous occultez délibérément la question CRUCIALE : Que faire des 2 millions de palestiniens qui y vivent ? Moi, je préfère les avoir dehors que dedans. Et ça, c'est le contraire d'une utopie ! C'est du réalisme tout simplement.
Vous êtes libre de ne pas partager mon avis, mais pas de m'insulter.
Où avez-vous vu que je voulais brader notre terre ? Sur quoi vous basez-vous pour prétendre que les palestiniens nous l'auraient volée ?
C'est à l'équipe du Yshouv, dirigée par David Ben Gourion, que nous devons ce bijou qu'est Israël. C'est dans un esprit de réalisme qu'il a laissé la Jordanie mettre la main sur la Judée Samarie. Chacun sait qu'un accord secret avait été conclu à l'époque à cet effet. Si nous avons été contraints en 1967 de faire la guerre et d'occuper de vastes territoires en la gagnant, ce n'était pas dans un esprit de conquète mais pour nous défendre et pour desserrer l'étreinte qu'on nous faisait subir. Et si les arabes ne nous avaient pas à l'époque opposé leur stupide "triple NON de Khartoum", nous aurions eu dès cette époque des négociations de paix et une évacuation de la majorité des territoires occupés. Les implantations ne se sont créées et développées par la suite que face au vide juridique laissé par le refus arabe de négocier. Ce furent et ce sont de monstrueuses erreurs que nous ne cessons de payer.
> D'abord, parce que nous avons déjà expulsé ou fait fuir 700.000 arabes en 1948-49. Dans les circonstances actuelles, ce sont plus de 2 millions supplémentaires qu'il faudrait expulser. C'est monstrueux et profondément injuste. Ces gens sont enracinés dans le pays depuis de nombreux siècles. Ils y sont chez eux. Les pays voisins ne veulent pas d'eux. On ne joue pas au ping pong avec les peuples.
> Et puis le monde a changé. L'opinion publique internationale n'est pas prête à tolérer aujourd'hui ce qu'elle a dû avaler dans les affres des bouleversements de l'après-guerre et face aux décisions arbitraires de Yalta.
> Enfin, Israël est un minuscule pays à l'échelle de l'univers, qu'il est absurde de comparer avec une grande puissance comme la Russie de Staline ou de Poutine ou avec les USA. Un vieil adage latin dit "Quod licet Jovi non licet bovi" (ce qui est permis à Jupiter n'est pas permis au bœuf). Il est dangereux de sombrer dans la mégalomanie.
Je ne vous ai jamais insulté, il n'y a pas un seul mot grossier de ma part !!!
votre commentaire m'a rendue très en colère , j'ai été choquée, de ce que vous laissez entendre à propos " des arpents de terre de plus ou de moins "!! dont manifestement, vous faites si peu de cas !!
Excusez moi, mais dans mon cœur, ces arpents de terre , dont vous parlez aussi légèrement ," de plus ou de moins" !!! évoquent ceux qui, avec acharnement, ont travaillé cette terre, n'ont épargné aucun effort avec leur sueur, y laissant parfois leur vie , et ceux qui ont donné leur sang pour la garder !! et c'est un trésor qui est sorti, chaque poignée de cette terre est un bonheur et nous rappelle tout cela .... et cette terre elle est la seule que nous ayons !! respectons là et faisons tout pour la garder .
Avant toute négociation de qu oi que ce soit ..comment négocier avec un homme sans mandat du peuple ...on marche sur la tête ...israeĺ devrait revoir sa position avec des yeux neufs en faisant abstraction d hier ...et réagir
2/ - On ne voit pas en quoi les titres des Arabes à occuper le pays juif seraient supérieurs à ceux des Juifs. D'abord, les plus anciens d'entre eux ne sont pas là depuis 2000 ans, mais depuis 1377 ans. Et je dis " les plus anciens d'entre eux " , car la plupart des Arabes actuellement présents descendent de groupes venus du Caucase, de Bosnie, de Syrie et installés là par les Ottomans à la fin du XIXe siècle ou au début du XXe.
TOUS les voyageurs européens des XVIIe, XVIIIe, XIXe siècle ( de Relandi à Mark Twain, en passant par Chateaubriand et Flaubert ) s'accordent à dire que la Palestine ottomane était quasi vide - sauf de Juifs précisément, à l'exception de villes comme Na
Naplouse ou Nazareth. Donc, ces gens ne sont pas, contrairement à ce que vous voulez croire, " enracinés ... depuis de nombreux siècles " .
Quant à ce que l'opinion internationale est prête ou n'est pas prête à accepter ... on en reparlera, si besoin est ... Jupiter - puisque votre citation l'invoque ... - est un peu en panne, non,? depuis quelque temps - si par " Jupiter " il faut entendre le président des Etats-Unis ... Toute sa politique arabo-musulmane depuis 2009 est un échec monumental, qui fait qu'il n'est guère en mesure d'imposer quoi que ce soit à qui que ce soit dans cette région. Je ne sais pas qui remportera l'élection présidentielle de novembre 2016. Mais, qui que ce soit, il devra prendre ses distances par rapport à la politique suivie en cette région ( et en d'autres ! ... ) par Barack Hussein Obama. La probable candidate à la candidature démocrate, Mme Hillary R. Clinton, a déjà commencé à le faire, y compris sur la question des " frontières de 1967 " .
On ne sait pas, à l'heure actuelle, comment les choses vont évoluer au Proche-Orient ( et au Maghreb ; et en Afrique sahélienne ). Il semble que l'ensemble de ces régions soient profondément déstabilisées, comme jamais depuis la période 1916-1922. Je vois là plusieurs conséquences possibles. La première est que le prochain Président des Etats-Unis ( appuyé en cela par un Congrès presque unanime ) considérera que la seule puissance capable de force et de stabilité sur laquelle il puisse
puisse s'appuyer dans la région est, plus que jamais, Israël. Ce qui devrait logiquement l'amener ( le repositionnement de Mme Clinton est, à cet égard, très significatif ) à bien moins faire pression sur Israël. ( Il va sans dire que l'Etat-Major américain pèserait probablement de tout son poids dans ce sens ).
Une autre conséquence est que, dans une région ou les frontières redeviennent mouvantes, on ne peut exclure a priori qu'une solution comme celle que j'esquisse ( la SOLUTION SUDETES-POZNANIE ) perde de son caractère utopique pour devenir une des voies possibles des réaménagements et des rééquilibrages. Wait and see, comme dirait notre amie Viviane. Ce qui est précisément - si je ne me trompe - la politique de Binyamin Netanyahu : voir venir ... : contrairement à ce que croient certains, le temps ( et les forcenés de l'islamisme ) travaillent en notre faveur.