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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientNucléaire iranien : le responsable des renseignements israéliens s ...Tsahal reste prête à frapper l'Iran Le Figaro
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Ils ont été arrêtés par la sécurité Egyptienne
dimanche 23 novembre 2008.
Des jeunes de Batna en Algérie sont revenus sur leur décision d’immigrer vers Israel après n’avoir pas trouvé de travail dans leur pays.
Leur aventure s’est achevée à l’Ambassade d’Israel au Caire, après avoir été arrêtés par la sécurité Egyptienne et subi un interrogatoire qui a duré une semaine.
L’histoire du jeune M.A, qui réside à Batna, a commencé lorsqu’on a refusé de lui renouveler un contrat de travail à cause d’une faute professionnelle, dans une compagnie pétrolière au Sud Algérien. Ce jeune a déclaré dans ce cadre : « mon souhait était de me stabiliser dans mon travail pour subvenir aux besoins de ma famille pauvre et pour pouvoir me marier, toutefois, je me suis retrouvé dans la rue avec un moral au plus bas et un avenir compromis ».
Ce jeune a ensuite décidé de partir en Egypte en compagnie de son ami, après que ce denier l’ait convaincu de son projet. Les deux jeunes se sont adressés à l’Ambassade d’Israel au Caire afin de déposer leur demande de visa pour ce pays, après qu’ils se soient mis d’accord pour déclarer qu’ils étaient d’origines juives.
Toutefois, les agents de l’ordre Egyptiens, chargés de la sécurité de l’Ambassade d’Israel au Caire se sont rendus compte de leur histoire. Ils les ont arrêtés et les ont conduits au poste de police. Ces jeunes ont subi des interrogatoires tout au long d’une semaine, avant qu’ils ne soient extradés vers les frontières de la Libye avec l’Algérie.
L’un de ces jeunes a déclaré en fin de compte qu’il n’hésiterait pas à refaire la même expérience s’il avait une seconde chance, pour une raison simple qui est de ne pas avoir trouvé un travail pour vivre
Leur aventure s’est achevée à l’Ambassade d’Israel au Caire, après avoir été arrêtés par la sécurité Egyptienne et subi un interrogatoire qui a duré une semaine.
L’histoire du jeune M.A, qui réside à Batna, a commencé lorsqu’on a refusé de lui renouveler un contrat de travail à cause d’une faute professionnelle, dans une compagnie pétrolière au Sud Algérien. Ce jeune a déclaré dans ce cadre : « mon souhait était de me stabiliser dans mon travail pour subvenir aux besoins de ma famille pauvre et pour pouvoir me marier, toutefois, je me suis retrouvé dans la rue avec un moral au plus bas et un avenir compromis ».
Ce jeune a ensuite décidé de partir en Egypte en compagnie de son ami, après que ce denier l’ait convaincu de son projet. Les deux jeunes se sont adressés à l’Ambassade d’Israel au Caire afin de déposer leur demande de visa pour ce pays, après qu’ils se soient mis d’accord pour déclarer qu’ils étaient d’origines juives.
Toutefois, les agents de l’ordre Egyptiens, chargés de la sécurité de l’Ambassade d’Israel au Caire se sont rendus compte de leur histoire. Ils les ont arrêtés et les ont conduits au poste de police. Ces jeunes ont subi des interrogatoires tout au long d’une semaine, avant qu’ils ne soient extradés vers les frontières de la Libye avec l’Algérie.
L’un de ces jeunes a déclaré en fin de compte qu’il n’hésiterait pas à refaire la même expérience s’il avait une seconde chance, pour une raison simple qui est de ne pas avoir trouvé un travail pour vivre.
Donc, l'état "soi-disant nazi" Israêl serait même un refuge pour des travailleurs arabes algériens qui crèvent de faim chez eux, et qu'on empêche de gagner leur vie en Israêl. Tout comme Israêl fournit du travail aux palos, depuis des années, ces derniers remerciant Israêl en lui balançant des roquettes, en creusant des tunnels pour y cacher des armes pour leurs enturbannés du hamas et du herzb, etc..
Et au milieu de tout ce b....les médias gauchistes, au lieu de faire passer le message d'Israêl pourvoyeur de travail sur son territoire, renvoient exprès l'image de son armée, bien obligée de se défendre contre les fous furieux qui l'entourent.
Je ne le dirai jamais assez: quelle injustice pour Israêl, et quand toutes ces comédies vont-elles cesser?
Chalom.
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« Je défends sans aucune peur, ma civilisation, ma culture et ma religion - a–t-il déclaré - et donc c’est inévitable de trouver des ennemis sur ma route ».
Le maire-adjoint tend de toute façon à minimiser ce qui s’est passé. Dans la vie, il y a toujours des fous et des mythomanes, il est évident qu’étant un représentant de la Ligue qui ne craint pas de dire ce qu’il pense, je m’expose à la possibilité d’actes fâcheux.
Le service de protection est assuré tous les jours à l’allée comme au retour. Discrètement la même scène se rejoue tous les matins avant 8 heures: le véhicule de police quitte pour quelques minutes la patrouille de surveillance et s’arrête devant l’habitation de Gentilini.
Le maire-adjoint sort de son logement, monte dans sa voiture et est accompagné pour traverser la ville selon un parcours fixe jusqu’à Ca’Sugana, l’édifice de la mairie, où il descend et va à son bureau. Par la suite, si il a besoin de se déplacer il utilise l’auto de service avec un de ses chauffeurs.
L’accompagnement se répète également le soir, lorsque Gentilini quitte la mairie pour rentrer chez lui ou pour assister à des évènements ou manifestations. Récemment on a pu le voir accompagné dans ses sorties par un ou deux agents urbains qui déjà depuis longtemps effectuent en armes leurs rondes de surveillance en ville.
Le 15 septembre denier à Venise, Gentilini avait été comme un fleuve en crue en parlant contre tout et contre tous, contre la presse hostile au “Carroccio” (son parti, la Ligue du Nord), contre les prostituées, contre les islamistes et les mosquées, contre les “phone centers” et les commerces ethniques: «Je dois les faire contrôler par des agents» « Que les étrangers aillent pisser dans leurs mosquées…» contre le voile et la burka. « Je ne veux pas de conseillers municipaux bruns, jaunes, Verts ou gris.
« ll n’y a pas de place ici pour la civilisation du désert qui enseigne comment courir derrière une gazelle et à s’enfuir derrière les lions»
«Pas de mosquées ni de centres islamiques , offrons-leur des tapis, mais qu’ils aillent prier dans le désert.»
Voilà quelques exemples de phrases prononcées par le “Shériff” devant les membres de la Ligue, des propos qui lui ont valu des lettres de menaces, prises au sérieux et qui ont forcé Gentilini à être protégé d’une escorte policière
« Je défends sans aucune peur, ma civilisation, ma culture et ma religion - a–t-il déclaré - et donc c’est inévitable de trouver des ennemis sur ma route ».
Le maire-adjoint tend de toute façon à minimiser ce qui s’est passé. Dans la vie, il y a toujours des fous et des mythomanes, il est évident qu’étant un représentant de la Ligue qui ne craint pas de dire ce qu’il pense, je m’expose à la possibilité d’actes fâcheux.
Le service de protection est assuré tous les jours à l’allée comme au retour. Discrètement la même scène se rejoue tous les matins avant 8 heures: le véhicule de police quitte pour quelques minutes la patrouille de surveillance et s’arrête devant l’habitation de Gentilini.
Le maire-adjoint sort de son logement, monte dans sa voiture et est accompagné pour traverser la ville selon un parcours fixe jusqu’à Ca’Sugana, l’édifice de la mairie, où il descend et va à son bureau. Par la suite, si il a besoin de se déplacer il utilise l’auto de service avec un de ses chauffeurs.
L’accompagnement se répète également le soir, lorsque Gentilini quitte la mairie pour rentrer chez lui ou pour assister à des évènements ou manifestations. Récemment on a pu le voir accompagné dans ses sorties par un ou deux agents urbains qui déjà depuis longtemps effectuent en armes leurs rondes de surveillance en ville.
Le 15 septembre denier à Venise, Gentilini avait été comme un fleuve en crue en parlant contre tout et contre tous, contre la presse hostile au “Carroccio” (son parti, la Ligue du Nord), contre les prostituées, contre les islamistes et les mosquées, contre les “phone centers” et les commerces ethniques: «Je dois les faire contrôler par des agents» « Que les étrangers aillent pisser dans leurs mosquées…» contre le voile et la burka. « Je ne veux pas de conseillers municipaux bruns, jaunes, Verts ou gris.
« ll n’y a pas de place ici pour la civilisation du désert qui enseigne comment courir derrière une gazelle et à s’enfuir derrière les lions»
«Pas de mosquées ni de centres islamiques , offrons-leur des tapis, mais qu’ils aillent prier dans le désert.»
Voilà quelques exemples de phrases prononcées par le “Shériff” devant les membres de la Ligue, des propos qui lui ont valu des lettres de menaces, prises au sérieux et qui ont forcé Gentilini à être protégé d’une escorte policière
« Je défends sans aucune peur, ma civilisation, ma culture et ma religion - a–t-il déclaré - et donc c’est inévitable de trouver des ennemis sur ma route ».
Le maire-adjoint tend de toute façon à minimiser ce qui s’est passé. Dans la vie, il y a toujours des fous et des mythomanes, il est évident qu’étant un représentant de la Ligue qui ne craint pas de dire ce qu’il pense, je m’expose à la possibilité d’actes fâcheux.
Le service de protection est assuré tous les jours à l’allée comme au retour. Discrètement la même scène se rejoue tous les matins avant 8 heures: le véhicule de police quitte pour quelques minutes la patrouille de surveillance et s’arrête devant l’habitation de Gentilini.
Le maire-adjoint sort de son logement, monte dans sa voiture et est accompagné pour traverser la ville selon un parcours fixe jusqu’à Ca’Sugana, l’édifice de la mairie, où il descend et va à son bureau. Par la suite, si il a besoin de se déplacer il utilise l’auto de service avec un de ses chauffeurs.
L’accompagnement se répète également le soir, lorsque Gentilini quitte la mairie pour rentrer chez lui ou pour assister à des évènements ou manifestations. Récemment on a pu le voir accompagné dans ses sorties par un ou deux agents urbains qui déjà depuis longtemps effectuent en armes leurs rondes de surveillance en ville.
Le 15 septembre denier à Venise, Gentilini avait été comme un fleuve en crue en parlant contre tout et contre tous, contre la presse hostile au “Carroccio” (son parti, la Ligue du Nord), contre les prostituées, contre les islamistes et les mosquées, contre les “phone centers” et les commerces ethniques: «Je dois les faire contrôler par des agents» « Que les étrangers aillent pisser dans leurs mosquées…» contre le voile et la burka. « Je ne veux pas de conseillers municipaux bruns, jaunes, Verts ou gris.
« ll n’y a pas de place ici pour la civilisation du désert qui enseigne comment courir derrière une gazelle et à s’enfuir derrière les lions»
«Pas de mosquées ni de centres islamiques , offrons-leur des tapis, mais qu’ils aillent prier dans le désert.»
Voilà quelques exemples de phrases prononcées par le “Shériff” devant les membres de la Ligue, des propos qui lui ont valu des lettres de menaces, prises au sérieux et qui ont forcé Gentilini à être protégé d’une escorte policière
vendredi 7 novembre 2008
Une étude du ministère de l’Intérieur révèle l’ampleur du succès des sites djihadistes en France et décrypte la stratégie informatique de la mouvance al-Qaida.
Le djihadisme sur Internet a pris des proportions industrielles et menace ouvertement la France. Dans ses derniers Cahiers de la sécurité, consacrés à la criminalité numérique, l’Institut national des hautes études de sécurité (Inhes), dirigé par Pierre Monzani, se penche sur le phénomène.
Deux experts proches des milieux militaires, Walter Akmouche et Henri Hemery, ont donc analysé pour le compte de cet organisme, directement rattaché à Michèle Alliot-Marie, la propagande des islamistes radicaux. Ils révèlent dans leur étude que les sites appelant à la guerre sainte enregistrent des milliers de connexions depuis l’Hexagone. La seule adresse d’un site de soutien à la « résistance irakienne » comptabilise deux cents visites quotidiennes. Ce qui place la France en « cinquième position des pays consultants, devant l’Égypte ou l’Arabie saoudite ».
Selon les auteurs, des as du marketing conseillent les djihadistes. Le discours d’al-Zawahiri, numéro deux d’al-Qaida, est mis en scène par une agence de communication. Abou Moussab al-Zarqaoui avait lui troqué ses traditionnelles invectives en dialecte jordanien pour un discours calme et posé. Il était même devenu adepte du « Web 2.0 ou Web contributif », sous forme de chats et autres forums de discussion. N’hésitant pas à multiplier les provocations face aux « mécréants et infidèles ». On comptait 74 sites djihadistes en avril 2006. Ils sont sans doute « près de deux cents aujourd’hui », assure un policier spécialiste de la veille sur Internet qui reconnaît la « complexité grandissante » de son travail.
Walter Akmouche en connaît les raisons : « Les djihadistes sont désormais en mesure d’utiliser la stéganographie (logiciel permettant de camoufler un message dans un fichier photo, par exemple). » Ils ont aussi accès à des logiciels de cryptographie, téléchargeables gratuitement. Or il faut parfois « neufs jours » pour « casser » ces algorithmes.
Formations à distance
« Conscients de la relativement faible connaissance de l’arabe par les jeunes générations, des sites clairement islamistes et même djihadistes n’hésitent pas à proposer des versions françaises, allemandes, anglaises, etc. », notent Akmouche et Hemery. « L’inconvénient, ajoutent-ils, est qu’il existe aussi sur Internet des sites proposant des formations à la guérilla (urbaine notamment, comme certaines revues au format PDF), à la fabrication d’explosifs à partir de composants du commerce, au maniement des armes à feu. » On peut y lire ce type d’instructions : « Nous vous recommandons des cibles faciles au début (…) Par exemple, (…) en Algérie, les Français (…). Pour les cibles humaines », après « les juifs », les « chrétiens seront classés dans l’ordre suivant : Américains, Britanniques, Espagnols, Australiens, Canadiens et Italiens ». Ce texte mais aussi d’innombrables fatwas sont actuellement disponibles d’un simple clic.
À en croire les deux experts, la propagande se double parfois de « formations à distance (« e-learning ») des internautes susceptibles de passer à l’acte ». Un danger loin d’être virtuel. Les membres de la filière irakienne de Montpellier condamnés jeudi à Paris comptaient parmi leurs complices un certain Shraidi, que l’Algérie vient de condamner à douze ans de prison. Il avait pris directement contact, via sa messagerie d’ordinateur, avec l’ex-GSPC pour lui proposer ses services.
Les modérateurs des forums extrémistes, invitent désormais leurs « frères internautes » à plus de prudence dans l’évocation de leurs projets. Mais un juge antiterroriste le dit : « Sur ces sites, les jeunes finissent par se monter la tête. »