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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientColonisation: pas de trace d'accords entre Israël et Bush selon Hillary ClintonLa secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, a rejeté vendredi les affirmations israéliennes sur l'existence d'engagements de l'administration Bush envers Israël sur un gel des colonies juives, affirmant qu'il n'en existe aucune trace officielle."Nous avons les compte-rendus des négociations,...
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754 commentaires
| Membre Juif.org
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Dernière mise à jour, il y a 26 minutes
Mais non Jocelyne, c'est pas toi qui a toujours raison mais c'est le juif.org.
Et quelque soit son désaccord avec un autre juif.org, le juif.org aura toujours raison.
C'est ça qui est beau.
Désolée je ne suis pas irrévérencieuse; C'est juste ma façon de parler quand j'ai un grand besoin de me détendre
Alors on étudie, et l'étonnant est que même si on commence le parcours en étant athée comme je l'étais, eh bien c'est un véritable bouleversement de toute notre vie qui se produit, la pire des psychanalyses...on perd nos repères et on n'en a pas encore d'autre...enfin on sait que le bout du chemin arrivera et je vous assure que le jour du miqvé est une véritable naissance. Avec la naissance de mes enfants, le plus beau jour de ma vie...et u bout du compte je n'ai pas regretté de m'être tant battue car comme après un accouchement on a la plus belle des récompenses, au bout du parcours ardu...le miqvé et la joie est telle que l'on oublie toutes les épreuves
Je devrai écrire sur cela. Encore un livre...bouh!!!
Mais c'est vrai Sonia, si tu es sincère et je crois que tu l'es tu y arriveras et ce jour là nous te dirons un grand mazel tov de tout notre coeur.
Laïla tov le koulam
Je décroche
Yehudit
Mon inversion était bien sûr volontaire. J'aurais pensé que le ton de ma réponse suffisait à lever tout doute là-dessus. Pourquoi je ne lui ai pas dit... ? Mais je ne lui ai pas dit plein de choses ! D'une, parce que, n'étant pas assidu sur ce site, je ne suis pas toujours en mesure de cadrer la personne à laquelle je m'adresse, de deux, j'interviens de nouveau lorsqu'il y a une suite et si j'estime que l'interlocuteur est 'fréquentable'. Il n'y a pas eu de suite.
Je ne pense pas trop me tromper en avançant que Sivan est viscéralement anti-Israël. Comme Ryad, c'est d'une tribune dont il a besoin pour canaliser sa haine et nous resservir les ignominies qu'il puise dans le grand réservoir de la désinformation pro-anti-nous. S'il est Juif, je le renvoie à sa conscience, sinon... c'est de bonne guerre...
Je dois dire que ce fil m'a beaucoup donné à réfléchir. Le chapitre relatif aux philosophes a eu le mérite, une fois de plus, de totaliser mes insuffisances en la matière. Il y a les littéraires et les techniciens. C'est difficile d'être les deux à la fois. J'avoue avoir vécu le même découragement en me frottant au site 'causeur' d'Elisabeth Levy. Mais quand même, chapeau les artistes !
Une chose est sûre, ce site st bien fréquenté. Il y a les fougueux qui défendent bec et ongles mon idéal de justice et les humbles au sens noble du terme, tout aussi séduisants.
L'approche de Bernard sur le plan relationnel est irréprochable. Sans vouloir enfoncer le clou, je ne suis pas toujours d'accord avec lui et quelques-unes de tes remarques me confortent dans ma différence. J'ai bien apprécié la sérénité de ses réactions face à tes réticences. Mais ma plus grande admiration va à toutes ces merveilleuses femmes qui portent bien haut notre drapeau sur ce site et dont nous avons beaucoup à apprendre.
Mais toi, Jocelyne, tu t'es surpassée sur ce coup. Je n'ai pas lu, j'ai bu. Talent, érudition et pouvoir de persuasion. Kol akavod.
Elle ferait mieux de bien chercher "sous" le bureau ovale où "travaillait" son époux volage, la hilary voilée maintenant. Elle ne doit pas "avoir les yeux en face des trous" à cause, justement, du voile...
Dans pas longtemps, elle va porter la burka pour faire plaisir au "grand brun" , comme ça, la "boucle sera bouclée"...
HAM ISRAEL HAYE (devant bab-el-mandeb, porte des lamentations pour la "maison blanche")
par Me B. RAMAS-MUHLBACH
Le 16 juin 2009, le Président américain Obama a salué le discours prononcé 4 jours plus tôt par le Premier Ministre Israélien (désormais favorable à la création d'un Etat palestinien). Il a toutefois renouvelé ses exigences quant à l'arrêt des constructions en Judée Samarie, constitutives, selon lui, d'un obstacle, à toute perspective de paix.
Loin d'ébranler le ministre des Affaires étrangères, cette recommandation américaine n'a pas empêché Avigdor Lieberman de confirmer à la secrétaire d'Etat Hilary Clinton, qu'il n'y aurait aucun gel des constructions en Judée Samarie, (le 17 juin 2009), en vertu d'accords passés en ce sens avec la précédente administration américaine (ce qu'a immédiatement démenti l'interlocutrice). Pour Avigdor Liberman, «des gens vivent et meurent en Judée Samarie» et il n'est pas possible d'empêcher l'extension naturelle des implantations même si le désaccord avec l'administration américaine peut être réglé par une volonté mutuelle «de trouver une formule consensuelle».
Sur le plan linguistique, les aménagements effectués par Israël en Judée Samarie sont généralement repris sous le terme de « colonisation » parce que les mots implantations, constructions et colonisations se traduisent en anglais par le même terme «settlements». Aussi, est il confortable pour ceux qui se livrent à une critique systématique de la politique israélienne, d'employer ce mot qui suggère à la fois une attitude condescendante, une illégitimité définitive et l'idée d'une future décolonisation puisqu'il faudra nécessairement défaire demain ce qui ne devait pas être fait aujourd'hui : soit la puissance coloniale tombe, soit elle organise elle-même sa propre décolonisation (après un retour à la raison).
Sur un plan géopolitique, le terme de colonisation résulte de ce que la Cisjordanie n'a pas été annexée par Israël et qu'ainsi, faute d'intégration à l'intérieur des frontières israéliennes, les aménagements sont nécessairement effectués sur une terre étrangère.
Enfin, pour ce qu'il en est des palestiniens, la condamnation de la « colonisation » légitime le combat mené par « l'occupé » et justifie tous les moyens employés pour se débarrasser de celui qui n'a rien à faire à cet endroit. Les palestiniens sont d'ailleurs confortés dans leur entreprise par la communauté internationale qui a, de façon récurrente, condamné l'occupation survenue en 1967, critiqué la politique d'implantation dans les territoires et jamais reconnu l'annexion de la partie orientale de Jérusalem intervenue à la suite de la guerre des 6 jours.
En fait, l'emploi du mot « colonisation » est impropre mais résulte de la rédaction de la résolution 242 de 1967, et de l'absence de prise en compte des modifications survenues en 1988.
Le 22 novembre 1967, l'Onu a adopté la résolution 242 qui a exigé « un retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés lors du récent conflit », exigence également reprise dans la résolution 476 du 30 juin 1980 (la nécessité impérieuse de mettre fin à l'occupation prolongée des territoires arabes occupés par Israël depuis 1967, y compris Jérusalem) ou encore par la résolution 478 du 20 août 1980 (qui reprend dans son 1er point la même formulation). Au delà de la discussion sémantique sur la traduction anglaise de la résolution 242, qui stipule un retrait « from territories » (c'est-à-dire de territoires) et non « from the territories » (c'est-à-dire des territoires), il convient de rappeler que le territoire occupé en 1967 était la Jordanie et non la Palestine, ce qui emporte des conséquences immédiates au regard de la soi disant colonisation.
En effet, ce sont les forces transjordaniennes qui ont, le 23 mai 1948, capturé la ville sainte de Jérusalem, et occupé la Samarie et une partie de la Judée en s'installant sur des zones qui avaient vocation à devenir le « futur État arabe » (en vertu du plan de partage de l'Organisation des Nations unies de 1947). Par la suite, le roi Abdallah de Transjordanie a annexé la Cisjordanie et la partie arabe de Jérusalem (le 24 janvier 1949), malgré la vive et unanime protestation des chefs d'Etat Arabes de la région. Puis, le nouveau Parlement d'Amman a, le 24 avril 1950, approuvé officiellement l'union des deux rives du Jourdain en un seul État pour fonder « le Royaume hachémite de Jordanie ».
Assiette territoriale du futur Etat arabe de Palestine (pourtant refusé par les arabes de Palestine en 1947), ces territoires sont devenus (un temps) une partie intégrante du pays qui allait devenir la Jordanie. Bien évidemment, pour marquer la désapprobation, le roi Abdallah de Jordanie a été assassiné le 20 juillet 1951 sur les marches d'une mosquée à Jérusalem, par un palestinien partisan du mufti Haj Amin el-Hussein opposé au contrôle jordanien sur la partie arabe de la Palestine. Par la suite, le fils du roi Hachémite, l'émir Talal fils bdallah a succédé un temps à son père, puis a été remplacé (pour cause d'incapacité mentale) par son petit fils Hussein en 1952 qui a été sacré roi de Jordanie en mai 1953.
Ainsi, il résulte de cette intégration dans le royaume hachémite, qu'à la suite de la guerre dite des « 6 jours », c'est la Jordanie (dans sa partie occidentale) qui a été occupée par Israël (et non la Palestine) et c'est la partie jordanienne (non palestinienne) de la ville de Jérusalem qui a été annexée.
C'est en l'occurrence cette occupation de la Jordanie par Israël et l'annexion de la partie jordanienne de Jérusalem qui ont été dénoncées dans les résolutions de 1967 et de 1980 : en aucun cas, la communauté internationale n'a condamné l'occupation de la Palestine qui n'a jamais existé en tant qu'entité indépendante et souveraine.
Le véritable problème est né le 31 juillet 1988, lorsque la Jordanie a rompu les liens juridiques et administratifs avec la Cisjordanie : depuis cette date, la Jordanie a cessé d'être occupée et la partie orientale de Jérusalem ne pouvait plus être considérée comme étant annexée. Ainsi, en déplaçant entre les mains de l'OLP la responsabilité de l'avenir des Territoires (anciennement jordanien) occupés, les résolutions 242 et suivantes sont devenues nulles et non avenues (même si elles sont toujours invoquées pour exiger le départ des israéliens).
En fin de compte, le véritable Etat colonial de la région n'était autre que la Jordanie (par l'annexion réalisée en 1950) même si les palestiniens se sont opposés au contrôle jordanien de ce territoire par l'assassinat du roi Abdallah puis lors des évènements de septembre 1970 (septembre noir). Par la suite, la décolonisation jordanienne sauvage survenue en 1988 a véritablement permis à Israël de s'établir sur des terres désertiques sans souveraineté, telle une île déserte qui attend un drapeau national.
Lorsque les palestiniens comprendront que les installations israéliennes sur des territoires sans souveraineté ne sont pas une colonisation, ils sentiront la nécessité d'établir leur Etat sur les terres sans souveraineté qui n'ont pas encore été annexées par Israël et réaliseront que le temps qu'ils ont perdu à faire la guerre, aura juste permis à Israël de se renforcer dans ses frontières géographiques
je vous soumet cet article que j'ai piqué sur Israël Info (la première chose que je lis après le p'tit déj...
je crois qu'il pose bien le problème.
chalom
Soulignons, toutefois, que plusieurs états soutinrent non seulement la création de l’état d’Israël mais condamnèrent également les invasions, et leurs conséquences, des pays arabes, ainsi :
Tarassenko, délégué soviétique déclare au Conseil de sécurité le 20 mai 1948 « Nous sommes préoccupés par le fait qu’un certain nombre d’états voisins de la Palestine y ont envoyés leurs troupes. Notre connaissance de ce fait n’est pas fondée sur des rumeurs, ni sur des articles de journaux, mais sur des documents officiels signés par les gouvernements des états mêmes qui ont informé le Conseil de sécurité de l’entrée de leurs troupes en Palestine. Je me réfère en particulier aux documents signés et envoyés par les gouvernements d’Egypte et de Transjordanie… J’aimerais relever au passage qu’aucun des états dont les troupes sont entrées en Palestine ne peut revendiquer la Palestine comme une partie de son territoire »
- les anciens royaumes d’Israël se situant sur la terre incluant aujourd’hui Israël, la « Palestine » et la Jordanie, les noms de Juif, en hébreu Yehud, découlent de Judée, en hébreu Yehuda, comme celui d’Arabe, de l’Arabie, et Palestinien de cette région re-baptisée Palestine par Rome qui, la première, voulu la déjudaïser, déportant massivement les Juifs, en 70 (pour la deuxième déportation). S’il y eût d’autres conquérants, avant Rome, le nom de Judée/Samarie ne fût jamais contesté, pas plus que les titres de propriété des bâtisseurs et gardiens du Temple de Jérusalem. Salomon, David, étaient des hébreux, et aucune des inscriptions découvertes sur les vestiges du Temple ne sont en arabe, évidences trop facilement occultées, et pour cause !
Parler de la Palestine comme d’un pays ayant toujours existé, nier toute une partie de l’Histoire de l’humanité, persister à passer au-dessus des résolutions, ratifier une propagande n’ayant d’autre but qu’une nouvelle spoliation du patrimoine juif, ne sont que de nouvelles manifestations, dont l’introduction vient de s’écrire, d’un antisémitisme séculaire,* et j’affirme que les pressions envers l’état d’Israël, sont le prolongement de la politique de colonisation occidentale du début du siècle, que le terme de colons est utilisé envers les victimes des auteurs même de la colonisation, et que nous continuons de payer pour leur ingérence dans la vie du Moyen-orient !
CAR...
Les Arabes, eux-mêmes, en 1948, ne considéraient pas la Palestine comme leur appartenant, bien au contraire, et ce n’est qu’en 1964, que l’Organisation de Libération de la Palestine vit le jour. Son seul objectif : l’anéantissement d’Israël, clairement établi dans sa charte à laquelle il fallait bien trouver un prétexte aux yeux des nations démocratiques...
- "There is no such country as Palestine. 'Palestine' is a term the Zionists invented. . . . Our country was for centuries part of Syria. 'Palestine' is alien to us. It is the Zionists who introduced it." Local Arab leader à la British Peel Commission, 1937
(Il n’y a aucun pays nommé palestine. « Palestine » est un terme inventé par les sionistes... Notre pays a été durant des siècles une partie de la Syrie. La « Palestine » nous est étrangère. Ce sont les sionistes qui l’ont introduit )
-"There is no such thing as Palestine in history, absolutely not:” Professor Philip Hitti, Arab historian to Anglo-American Committee of inquiry, 1946
(Il n’y a aucune Palestine, dans l’Histoire, absolument pas)
-"It is common knowledge that Palestine is nothing but southern Syria." Delegate of Saudi Arabia United Nations Security Council, 1956
(Il est connu que la Palestine n’est rien d’autre que la partie sud de la Syrie)