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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Colonisation: pas de trace d'accords entre Israël et Bush selon Hillary Clinton

La secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, a rejeté vendredi les affirmations israéliennes sur l'existence d'engagements de l'administration Bush envers Israël sur un gel des colonies juives, affirmant qu'il n'en existe aucune trace officielle."Nous avons les compte-rendus des négociations,...
754 commentaires
« Lettre d’un Jérusalémite »

Pour info : ce texte datant des années 70 il ne m’a pas été possible d’en demanderle copyright. Je prie l’auteur de m’en excuser et s’il lit ce texte de se manifester.
J’ai choisi de l’incorporer malgré tout, car il dit dans un langage sans ambiguité ce que jai tenté de démontrer tout au long de ce livre.
Lisez soigneusement, réfléchissez !


« Je ne suis pas un extraterrestre, comme vous semblez le croire. Je suis un Jérusalémite, un homme en chair et en os, comme vous. Je suis un citoyen de ma ville, une partie intégrante de mon peuple.

J’ai certaines choses sur le coeur dont je dois me débarasser.
N’étant pas diplomate de mon état, je n’ai pas à peser mes mots.
Je ne vois pas la nécessité de vous être agréable, ni de vous persuader.
Je ne vous dois rien.

Vous n’avez pas construit cette ville.
Vous n’y habitez pas et vous n’étiez pas présent pour la défendre lorsqu’elle était entourée d’ennemis qui voulaient l’anéantir.
Et nous serons perdus si nous vous permettons de nous la reprendre.

Longtemps avant que New York existât, Jérusalem fût !
Au temps où Berlin, Moscou, Londres et Paris n’étaient encore que des forêts et régions marécageuses, et malsaines, vivait à Jérusalem une communauté juive, jeune et florissante.
Cette communauté dota le monde – ce qu’en tant que nations solidement établies sur cette terre, vous rejetez - d’un vieux code de morale humaine.

C’est ici que marchèrent les prophètes dont les paroles illuminèrent le pays comme des éclairs.
Ici demeurait un peuple qui ne demandait qu’à vivre en paix et qui dut se défendre contre les vagues successives d’attaquants,
Un peuple qui saigna et mourut sur les champs de batailles,
Un peuple qui se jeta dans son temple en flammes plutôt que de se rendre, et...
Lorsque finalement submergé par le nombre, il fut vaincu et emmmené en captivité, il jura :
« Si je t’oublie, Jérusalem, que ma main droite m’oublie, ! que ma langue s’attache à mon palais si je ne me souviens de toi, si je ne fais de Jérusalem le principal sujet de ma joie ! »

Pendant 2000 ans empreints de souffrances, alors que nous vivions parmi vous comme des hôtes indésirables, nous intercédions journellement pour un retour dans cette ville.
Trois fois par jour, nous présentions cette requête devant le Tout Puissant : « Rassemble-nous des quatre coins de la terre, dirige-nous sur le chemin montant qui conduit dans notre pays, dans ta miséricorde reviens à Jérusalem, dans la ville et habite dans ses murs comme tu l’as promis ! »

Chaque année, au jour du grand pardon, et à chaque fête de la Pâque, nous avons élevé nos voix dans l’espérance que nous nous retrouverons l’an prochain à Jérusalem.
Vos inquisitions, pogroms, expulsions et ghettos, dans lesquels vous nous avez parqués, vos contraintes au baptême, votre système de contingentement, votre subtil antisémitisme et finalement l’inexprimable règne de terreur, l’Holocauste – et ce qui est plus terrible encore, votre incroyable indifférence –

Tout cela ne nous a pas brisé.

Il est possible que ces méfaits vous aient enlevés votre dernière force morale.
Quant à nous, ils nous ont forgés comme du fer.
Croyez-vous vraiment qu’après avoir dû passer par toutes ces terribles étapes, nous puissions maintenant être brisés ?

Pensez-vous qu’après Dachau et Auschwitz, vos menaces, vos blocages et autres mesures puissent nous effrayer ?
Nous étions en enfer – nous en sommes revenus – un enfer que vous nous aviez préparé.

Que pourriez-vous encore trouver dans votre arsenal qui serait susceptible de nous infliger la terreur ?
Deux fois, j’ai vu la ville souffrir sous une grêle de bombes propulsées par des nations qui se disent civilisées.

En 1948, alors que vous étiez des spectateurs non concernés, j’ai vu des femmes et des enfantss déchiquetés par des éclats d’obus, ceci après que nous avons souscrit à votre désir, « d’internationaliser » la ville.
Ce fut une alliance porteuse de mort :
Officiers britanniques, canonniers arabes utilisant des canons américains. Et, peu après, le pillage et la destruction sauvage de la vieille ville...
Les massacres sciemment organisés, la cynique dévastation des synagogues et des écoles religieuses, la profanation des cimetières juifs et la vente par le gouvernement des pierres tombales pour la construction de poulaillers et d’entrepôts militaires et même, tenez-vous bien, de lieux d’aisance publics !!!

Et vous n’avez jamais élevé la voix pour dénoncer ces abominations.
Vous n’avez jamais élevé la moindre protestation lorsque les Jordaniens, au mépris des promesses faites après la guerre, guerre qu’ils firent malgré une décision de l’ONU à ce sujet, verrouillèrent le lieu le plus saint de nos lieux saints, le Mur des Lamentations.

Aucune voix ne se fit entendre parmi vous lorsque les mercenaires coiffés de leur casque à pointe, à l’abri dans leurs positions derrière les murs, ouvrirent le feu sur nos citoyens.

Vos coeurs saignèrent lorsque Berlin fut bloquée.
Vous vous êtes empressés d’organiser un pont aérien pour venir en aide aux courageux berlinois, mais vous n’avez pas envoyé une once de nourriture dans la Jérusalem assiégée et affamée.
Vous avez tempêté lors de la construction par les Allemands de l’est d’un mur au travers de Berlin mais...

Il n’y eut pas le moindre piaillement de votre part à cause de l’autre mur qui divisait le coeur de Jérusalem*. Puis, lorsque vingt ans plus tard, de semblables évènements se reproduisirent, alors que les Arabes, sans aucune provocation, bombardèrent sauvagement la Ville Sainte, lequel d’entre vous a entrepris quelque chose ?

Ce n’est qu’au moment où la ville fut enfin et définitivement unifiée que vous vous êtes réveillés.

Alors en vous tordant les mains, vous avez prononcé de pompeuses paroles sur le droit et la morale, particulièrement sur le fait de tendre l’autre joue.
Préfériez-vous voir la ville détruite plutôt que de la savoir entre les mains juives ?

Malgré la tournure toujours très diplomatique de vos phrases, les préjugés établis depuis fort longtemps percent dans chacune de vos paroles.
Au cas où le retour de la ville au peuple juif provoquerait un noyau de difficultés dans votre théologie, il serait temps pour vous de réviser votre catéchisme.

Après tout ce que nous avons souffert, nous ne nous conformerons pas passivement à vos fausses idées selon lesquels nous devons accepter d’être éternellement apatrides.
Pour la première fois depuis l’an 70 après J.C., il y a la liberté religieuse dans tout Jérusalem.
Pour la première fois depuis que les romains jetèrent leurs torches incendiaires sur le Temple, il y a, en terre d’Israël, les mêmes droits pour chacun.

Nous avons en horreur l’usage de l’épée mais vous nous avez contraints à la prendre dans les mains.
Nous désirons ardemment la Paix mais nous ne reviendrons pas à l’état de paix de 1948, comme vous l’exigez de nous.

Nous sommes enfin chez nous, dans notre pays.
C’est pour nous une merveilleuse certitude en tant que nation, nous qui fûmes contraints par vous de voyager sur tout la surface du globe.
Nous ne partirons pas.
Nous avons retiré le gage déposé par nos ancêtres.

Jérusalem sera construite, l’an prochain, et l’an prochain et l’an prochain, ceci jusqu’à la fin des temps, « à Jérusalem ».


Eliezer Ben Yisrael

Envoyé par Judith - le Lundi 22 Juin 2009 à 09:54
Mais quesque ils connaissaint tous ses politiciens de pacotille,ils ne savent pas si dans une heure ils seront vivants, a chaque segonde qu' il passe de nouvelles de changements, des revers, il veule ça et ça, et rient de ce qu'ils programent et etudient se fait, seule La Parole de Dieu se accompli, ce Lui Seul qui dirige et fait. Julia
Envoyé par Julia - le Lundi 22 Juin 2009 à 10:00
Conclusion


Née en France, à une période privilégiée, en tant que Juive : après la Shoah, à laquelle j’ai échappé de justesse par ma date de naissance, je n'ai vécu que quelques années en Israël. Occidentale, j’ai mis un certain temps à comprendre les méandres de la mentalité moyen-orientale, mais j’ai lu, étudié, observé et... beaucoup réfléchi.
Associé aux résurgences sporadiques, d’un antisémitisme toujours présent, j’ai compris que pour un Juif, il n’y avait qu’un pays. Que, malheureusement, ce n’était pas celui où j’étais née, dans lequel plus d’une fois l’on m’avait fait comprendre que j’étais soit étrangère, soit différente.
Ce pays sans cesse menacé, je me devais, nous nous devions de le protéger.
Or, nous vivions en France où les Juifs peuvent encore s’exprimer, depuis 60 ans, et parallèlement Israël existe... au dam de beaucoup, depuis 57 ans. Mon âge et, à quelques jours près, la date exacte de ma naissance.
Cela faisait beaucoup. Beaucoup trop pour rester indifférente.

Je suis devenue profondément sioniste, en dehors de toute histoire personnelle, convaincue de la nécessité de la Alya pour les Juifs, que cela soit par idéal, conviction religieuse, sécuritaire, ou tout simplement, connaissance de plus en plus approfondie de l’Histoire.
La réalité de la Alya existe. Que l’appel de Monsieur Sharon ait choqué ou pas les instances politiques de la France, il y a une situation qui ne peut laisser toute personne responsable, sourde ou aveugle, même si « une bonne Alya » reste plus idéologique que sécuritaire, il n’empêche : Israël existe... pour notre bien à tous et... notre espoir. N’est-ce d’ailleurs pas le titre de l’hymne national israélien ! Le seul sans doute pour tout Juif d’être certain d’être libre, ne plus être insulté, menacé, soumis à des brimades et devoir cacher les signes « ostentatoires » de ses origines, à moins que d’être obligé de les porter de manière tout aussi ostentatoire.

Le premier tome de Saba1, s’achèvera donc sur la reprise de « l’ Appel aux Juifs », d’E. Braunstein.
Chacun est libre de ses idées et certains seront d’accord avec le cheminement de ma pensée. D’autres pas. Mon but, fil directeur de cet ouvrage, a été : donner matière à réflexion. A chacun ensuite de prendre sa décision. Pour moi, je n’en ai qu’une. Pourtant j’ai aimé la France, je l’aime encore, et il n’est pas si facile de se déraciner. Mais...
Lorsque l'on est Juif, que l'on sait le poids de l'esclavage, de la dhimmitude et de l'oppression, ceci durant des millénaires, que les pressions sous toutes leurs formes ne cessent de se répéter, un jour de plus, un jour de trop, on décide que cela suffit.

Je me permettrai de donner un avis, politique. Lorsqu’il s’agit de sécurité, tout homme politique a le devoir de ne pas jouer à la roulette russe, et donner, redonner, sans contrepartie est bien dangereux ! Il y a eu des concessions (déjà faites par nos ancêtres en... 47), et des compromissions. Celles que nous faisons depuis quelques années.

Ne pas dire clairement que Jérusalem ne peut en aucun cas être mise sur la table de quelconques négociations, c’est « reculer pour mieux... sauter » (sans mauvais jeu de mots), tant il est vrai que ce serait faire vaciller le symbole même de notre survie bi-millénaire, toute notre culture, nos fêtes, notre Histoire, tout simplement. Et nos ennemis le savent bien ! Sinon pourquoi cette focalisation soudaine pour faire de Jérusalem la... capitale palestinienne alors que jusqu’à !présent non seulement personne ne s’en était soucié, ne l’avait revendiquée, hormis notre peuple, avec une constance de trois mille ans, mais bien au contraire, l’ont profanée, souillée et qu’encore maintenant, le waqf, chargé de gérer les affaires musulmanes sur la partie du Mont du Temple que nous avons eu la malencontreuse idée de leur laisser, ne cesse de profiter de l’aubaine pour effacer des traces archéologiques de la présence juive, et met en péril la structure même de l’esplanade par la construction d’une immense mosquée sous celle-ci !

Sur cette terre que notre peuple a forgée, choyée, vénérée, nous avons un destin, écrit et à écrire.
Il n'est pas besoin d'être religieux pour être fidèle à la terre d'Israël, à notre passé et à nos valeurs, et j'ajouterai même: à notre Thorah, bien que je doute souvent de l'existence de D.ieu dans un monde où la cruauté a bien plus droit de cité que la bonté!

Déjà heurtée par les pressions internationales, continuelles, comme, lors de la « guerre des scuds », afin qu’Israël fasse preuve de « retenue », et ne se défende pas - pour la première fois – dans la énième guerre qui lui était déclarée, comme à l’habitude, par un pays arabe, et ceci pour ne pas faire éclater une « coalition » de pays ne souhaitant que sa disparition, je suis, encore et toujours plus, écœurée par les marchandages sordides et internationaux se jouant, comme d’une guigne, de la sécurité d’Israël, de ce petit peuple qui n’aspire ni à la conquête de territoires, ni à imposer sa religion, mais de qui l’on exige le tracé d’une route qui couperait le pays, le rendant indéfendable, et que j’appelle moi, la « route de la mort », (sans doute, l’étranglement qui était le sien, lors des premières guerres, en raison du « partage » au contours tordu, imposé par les nations, n’avait-il pas assez bien joué son rôle dans l’anéantissement programmé – par tiers interposé - du pays juif !)

Je dénonce ici l’exploitation complaisante du malheur palestinien, choisi et entretenu par le monde, par les pays arabes et les intéressés eux-mêmes. Deux poids, deux mesures, en vérité dont l’occident se rend complice, même si ce n’est pas lui, pour une fois, qui fait directement « le sale boulot » !

Nous n'avons qu'un pays mais aussi un seul avenir: celui qui passe par le respect de nous-mêmes. La lucidité à elle seule dit que céder devant qui appelle à notre destruction, c'est se suicider. Et je croyais que Massada faisait partie du passé ainsi que la Shoah, les pogroms, la dhimmitude ...
Nous n'avons qu'un choix: celui de ne pas rejouer à l'échelon national le rôle de juif de ghetto. Comme disait H.Pagani "les nazis qui nous assaillent parlent arabe",* mais... ce n'est plus le temps des nazis, même si certains en ont la nostalgie car :

LE PEUPLE JUIF POSSEDE UN PAYS ET UNE ARMEE

Et cela fait toute la différence !
Etre Juif c’est faire partie d’un peuple. Certes dispersé, et pas encore revenu dans sa totalité sur sa terre, ou ce qu’il en reste, toutefois tout Juif est un citoyen potentiel de l’Etat d’Israël, tout juif, a la possibilité de par son alya, de devenir citoyen israélien, de pouvoir et défendre cette terre, mais également pouvoir y être défendu et se défendre, s’il ne peut le faire dans les pays de diaspora.

Sans nul doute, ceci relève du phénomène et est inhabituel pour un monde, dont la routine est de nous exploiter, disposer de notre terre comme monnaie d’échange ainsi que de notre vie, mais,
Fille et petite fille de survivants, ayant été élevée dans l’idée qu'un Juif devait avoir toujours un passeport valide et de l’argent liquide en poche, je dis: j'affirme que j’ai un vrai pays, pas un lieu où l’on me tolère plus ou moins. Mes ancêtres ont payé le prix fort pour me l'offrir et je ne braderai pas ma terre.

Yehudit Braunstein





















_______________________________
P.S. De nouveau, je rappelle un autre combat, digne de l’intérêt des salles de rédaction : celui de la pauvreté qui sévit ici même, en occident, en France, face aux vitrines illuminées et regorgeant de merveilles !
Je rappelle ici le combat de chacun, face à la misère cotoyée chaque jour dans nos rues, dans nos immeubles. Si, au lieu de détourner pudiquement (ou hypocritement) le regard, nous allions vers eux, afin de partager qui, un repas, un café, un vêtement, une couverture. Vous n’avez vraiment pas en réserve de tels articles ? Admettons. Pas le temps de faire partie d’une association ? D’accord, mais connaissez-vous le prix dérisoire d’un modeste camping gaz que vous pourriez offrir? trois fois rien... et je vais vous dire tout le danger que vous risquez : celui d’apprendre qu’un S.D.F. vous « bénira » chaque fois qu’il y réchauffera sa soupe en hiver – même en poudre, prise d’un modeste sachet - chaque matin où en été, il pourra se croire au Paradis, en lisant son journal tandis qu’il se chauffera de l’eau pour le café et pourra griller un morceau de pain.
Quant aux médias, comment pouvez-vous avoir le « courage » de nous faire passer si rarement les images de ces mères du tiers-monde, dont les seins vides sont incapables de nourrir leurs enfants. Moi j’ai envie de pleurer et de vomir... de dégoût pour le choix des combats, des mobilisations... de la civilisation .
Oh !... je suis « hors sujet » ! Je m’éloigne de celui de ce livre ! Je ne crois pas... et si tel est le cas, tant pis. Toutes les occasions sont bonnes pour faire passer le message : rester un humain digne de ce nom, c’est regarder et voir l’autre. Aller vers lui. Croyez-moi, le totalitarisme y trouvera porte close !
Albert MEMMI

Oui, Juif, je suis surtout un opprimé...
Dans cette perspective, ma figure ressemble à beaucoup d’autres :
d’autres opprimés précisément.




Juda AL-HARIZI

Ne ressemblez pas à ces hommes
Qui n’ont d’honnête que l’extérieur ;
Qui portent des vêtements sans tâche
Et dont l’âme est souillée ;
Qui portent sur leur tête un voile blanc
Et dont les actions sont noires ;
Qui disent des paroles douces
Comme le miel et qui dans leur cœur
Portent l’absinthe ;
Qui prêchent la paix de leurs lèvres
Et dont le cœur est plein
De ruse meurtrière.

L’Anthologie de la poésie juive du monde entier de Pierre Haïat
Chapitre : Les Opprimés et leur révolte









Envoyé par Judith - le Lundi 22 Juin 2009 à 10:01
Merci Judith. Bien au contraire, vous ne nous ennuyez jamais, en tout cas pas moi.

Je dois dire qu'avec mon "humour" que j'espère corrosif (et qui est ma façon d'exprimer ma rage devant toutes les injustices et la décrédibilisation dont nous sommes victimes), je sens très bien tout ce que vous exprimez dans vos posts.

Chacun sa personnalité. Ma chère mère m'a donné en héritage cette ironie que j'utilise afin d'atteindre les gens qui ne croient et n'entendent que les discours anti-sémites actuels qu'on leur fait ingurgiter jour après jour en doses PAS homéopathiques. Je considère donc que chacun et chacune d'entre nous a le devoir d'apporter san"petite pierre à l'édifice", en réponse à la décrédibilisation massive dont nous sommes de + en + victimes, face aux barbares et aux idiots qui les écoutent. Et c'est ce que je fais, avec mes modestes moyens....

HAM ISRAEL HAYE (devant les crédules et ceux qui les manipulent, ils se reconnaîtront) Clin d'oeil
Envoyé par Viviane_005 - le Lundi 22 Juin 2009 à 10:01
Voilà j'ai mis quelques passages de mon livre. Je ne suis ni historienne, ni écrivain d'origine, mais écoeurée par la désinfo, les attaques continuelles contre Israël, le peuple juif...j'ai un jour explosé et me suis mise à traquer dans mes nombreux bouquins, les complétant au besoin, toutes les infos que je possédais; je les ai réunies dans ce livre, les synthétisant au mieux pour les rendre plus facilement lisibles, jai intercalé, comme vous avez pu le voir en partie, des poèmes se reliant au sujet traité pour alléger le livre, le rendre plus attractif, mon but étant qu'il ne soit pas ennuyeux à lire...lorsque je l'ai présenté on m'a répondu qu'il était trop gros, qu'il n'y avait pas de public..Pas de public! alors là j'ai été estomaquée: pas de public chez les Juifs! ils ne s'intéresseraient donc pas à leur propre Histoire, aux causes de l'antisémitsime, répondre en étant mieux armé ne les intéresserait donc pas...ils seraient donc éternellement des dhimmis???
C'est pourquoi je vous livre des passages bien que la présentation dans mon livre soit meilleure...j'ai besoin de votre avis.
Dois je continuer à me battre pour le faire paraître? Est-il digne d'intérêt? Vous pouvez y apporter des idées, des critiques...ce ne peut être que constructif pour le but que je me suis fixé: lutter avec ma plume contre la désinfo, l'antisémitisme et je l'avoue promouvoir un désir de alya basé sur une prise de conscience.
Merci à vous
Yehudit
Envoyé par Judith - le Lundi 22 Juin 2009 à 10:14
Une précision: j'ai écrit que je doutais parfois de D.ieu (mis pas de la Thorah) Ceci n'est pas un blasphème et je dois y croire cr je 'adresse souvent à lui, je lui pose des questions
S'il m'arrive de douter c'est en raison de l'immense souffrance subie pa notre peuple, de la misère qui règne sur terre mais je dois y croire vu le nombre de fois où je l'interpelle. Et je pense, j'espère qu'il me pardonnera de m'exprimer ainsi comprenant que ce n'est que par révolte contre la cruauté humaine...
Donc D'ganya ne me tombe pas dessus...je me corrige peu à peu
Amitiés à tous et Am Israël Haye jusqu'à la fin des temps
Yehudit
Envoyé par Judith - le Lundi 22 Juin 2009 à 10:19
Bernard, admire ce que dit Judith et reflechis y quand tu dis pour la judée "que peut-on y faire d´autre que de donner la judée":

Mes ancêtres ont payé le prix fort pour me l'offrir et je ne braderai pas ma terre.

Yehudit Braunstein

Cette seule phrase se suffit à elle même, comme dirait l´autre, tout le reste est commentaire, Clin d'oeil
Envoyé par Elie_010 - le Lundi 22 Juin 2009 à 10:47
Bernard je voulais aussi connaitre ta position, tu dois être pour le gel de la construction en judee samarie, puisque tu es pour donner cette region, ou ai-je tout mal compris rassure moi?!
Envoyé par Elie_010 - le Lundi 22 Juin 2009 à 10:51
Je suis tout à fait d 'accord avec Judith , je ne braderais pas la terre que tant de juifs ont eu du mal à conquérir
La Judée-Samarie est nous , point barre !! cette terre a été anexée et elle nous appartient ..que les palos aillent
faire un petit tour chez les grecs...!!...
aucun pays ne rend les régions et les terres conquisent après une guerre ...sauf Israel qui à rendu le Néguev
et Gaza...peut-être que les 21 OOO km2 leur suffisait ? en tout cas c 'etait de la bétise , on aurait du les garder
Envoyé par Jacqueline_013 - le Lundi 22 Juin 2009 à 11:08
Répondez moi...dois je continuer à me battre pour faire paraître mon livre? Est-il "digne d'intérêt" Y a-t-il un public?Apporte -t- il des élément constructifs?
Si c'est non j'avoue que je serais très déçue de penser que les Juifs, 60 ans après la Shoah, la renaissance de notre si beau et petit pays, ont déjà jeté l'éponge mais je veux y croire, je veux, je veux, je veux;..
Yehudit
Envoyé par Judith - le Lundi 22 Juin 2009 à 11:19
Membre Juif.org





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