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![]() Israel et sa terre : 35 points sur les iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Voici quelques faits parmi tant d'autres, documentés de façon incontestable par l'ensemble des historiens de bonne foi : Jérusalem et nation :
1.. Israël est devenue une nation en 1312 avant J.C, soit 2000 ans avant même la naissance de l'Islam.
2.. Jamais aucune entité géographique et politique indépendante, aucun pays, ne s'est intitulée "Palestine" au cours de l'histoire. Par extension aucun peuple ne s'est jamais appelé "palestinien".
3.. Les arabes de la "région" du Moyen Orient dénommée "Palestine" n'ont commencé à s'identifier comme faisant partie d'un peuple "palestinien" que dans la 2eme moitie du 20eme siècle.
4.. Depuis la conquête juive de 1272 avant J.C, les juifs ont établi leur nation sur cette terre et la nation juive y a prospère pendant 1000 ans, avec Jérusalem comme capitale.
5.. La présence juive sur la terre d’Israël a été constante et ininterrompue pendant 3300 ans.
6.. Jérusalem n'a jamais été la capitale d'aucun état arabe ou musulman.
7.. Même lorsque les Jordaniens occupaient Jérusalem, ils n'ont jamais envisagé d'en faire leur capitale.
8.. Durant la souveraineté Jordanienne sur Jérusalem (19 ans), jamais un homme d'état arabe ne l'a visitée.
9.. Jérusalem est mentionnée plus de 700 fois dans le Tana’h, le livre saint du judaïsme.
10.. Jérusalem n'est pas mentionnée une seule fois dans le Coran.
11.. Jérusalem fut fondée par le Roi David.
12.. Jamais Mahomet n'a visité Jérusalem.
13.. Les juifs du monde entier prient en se tournant vers Jérusalem.
14.. Les musulmans pour prier tournent le dos à Jérusalem.
Les refugiés juifs et arabes :
15.. Pendant la guerre Israélo-arabe de 1948, les arabes ont été encouragés à fuir Israël par les leaders arabes et en particulier le grand Mufti de Jérusalem, allié d'Hitler et son hôte a Berlin pendant la guerre 39-45.
16.. Les appels radio du Mufti annonçaient clairement le massacre de tous les juifs se trouvant en Israël lors de l'invasion imminente par les armées arabes, ainsi que celui des Arabes qui auraient refusé de fuir et seraient considérés comme "collaborateurs".
17.. Il est honnête de rappeler que certains arabes, qui en ont eu connaissance, ont également fui suite au massacre de 300 personnes dans le village de Deir Yassine perpétré en représailles par le groupe Stern suite à l'assassinat de plusieurs des leurs par des éléments du village.
18.. 70% des arabes ont ainsi quitte Israël sans avoir jamais vu un soldat juif ou entendu parler de Deir Yassine.
19.. 450 000 arabes sont réputés avoir ainsi fui Israël en 1948.
20.. Subséquemment 650 000 juifs ont été contraints de fuir les pays arabes, à la suite de brutalités, de persécutions, d'exactions et de pogromes, faits largement occultés par les bonnes âmes si promptes à prendre fait et cause pour les réfugiés arabes.
21.. Ce nombre doit être porte à 1 000 000 si on y ajoute les juifs d'Algérie, de Tunisie et du Maroc.
22.. Les juifs vivaient dans ces pays parfois depuis 2000 ans et y possédaient des richesses dont ils ont été intégralement spoliés. Il est largement prouvé que les juifs étaient le véritable moteur économique des pays arabes jusqu'à leur expulsion.
23.. Parler exclusivement du problème des "réfugiés palestiniens" est une distorsion intentionnelle et pernicieuse de l'histoire destinée à masquer le problème des "refugiés" au sens large, qui doit inclure les "réfugiés juifs" et le problème des compensations faramineuses qu'ils sont en droit de réclamer.
24.. Mais un réfugié juif a probablement moins de droits qu'un réfugié arabe, dans l'esprit des bonnes âmes qui vilipendent Israël.
25.. Les réfugiés arabes ont été intentionnellement parqués dans des camps par leurs "frères arabes" dans les pays dans lesquels ils avaient fui, afin de servir d'arme politique.
26.. Ils n'ont jamais été intégrés dans leurs pays d'accueil malgré l'immensité des territoires arabes non utilisés et les fabuleuses richesses dérivées des revenus pétroliers dont ils disposaient et disposent encore.
27.. Sur les 100 000 000 réfugiés dans le monde depuis la 2eme guerre mondiale, le groupe des réfugiés dit "palestinien" est le seul qui n'ait jamais été absorbé par les siens.
28.. Les réfugiés juifs, rescapés des camps de la mort Hitlériens dans un premier temps, puis de plus de cent autres pays ont été intégralement absorbés en Israël, un pays plus petit que l'état du New Jersey, couvrant 0,8% de la région dite du "Moyen Orient" ou dans d'autres pays d'accueil, ou ils se sont intégrés en participant au développement de leur nouvelle nation.
Protection et droits religieux :
29.. Lors de la domination Jordanienne sur Jérusalem, l'intégralité des lieux saints juifs ont été profanés et détruits. 58 synagogues, pour certaines d'une valeur architecturale et sacrée inestimables ont ainsi été anéanties.
30.. Les tombes juives arrachées des cimetières ont été utilisées pour paver les routes et construire les urinoirs publics. (Cimetière du Mont des Oliviers entre autres).
31.. Témoin de cette ignominie, l'ONU est curieusement restée silencieuse, elle si prompte à condamner Israël en toute occasion. La vérité ne fut connue qu'en 1967 après la guerre des 6 jours.
32.. Les juifs ont été interdits d'accès à leurs lieux de culte les plus sacrés en territoire arabe et en particulier à Jérusalem. Politique d'apartheid, largement entérinée par l'ONU présente dans la ville.
33.. Sous la juridiction israélienne, tous les lieux de cultes, musulmans ou chrétiens ont été préservés, protégés et sont totalement libres d'accès pour toutes les religions.
34.. Sur les 175 résolutions votées par le Conseil de Sécurité de l'ONU avant 1990, 97 l'ont été contre Israël...
35.. Sur les 690 résolutions votées par l'Assemblée Générale des Nations Unies avant 1990, 429 l'ont été contre Israël... M.F.A
Yonit MOZES
rav Aharon BIELER
Juif.org
M.F.A
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Au sein de cette communauté musulmane constituée par cet agglo¬mérat de peuples divers, survécurent des communautés ethniques et religieuses soumises politiquement à la domination musulmane mais conservant, avec leur religion, une autonomie relative. Telle fut la condition des communautés chrétiennes et juives de Jérusalem et de Palestine, d'Égypte, de Syrie, comme d'Espagne et du Maghreb. Elles étaient "protégées". Grâce à quoi, elle ne furent pas absorbées par l'islamisation et gardèrent, tant bien que mal, leur identité, leurs biens, leurs lieux de culte.
Or, la communauté juive de Jérusalem, héritière des traditions mo¬saïques et talmudiques, n'a jamais cessé de s'y maintenir, comme, d'ailleurs, celles de Jaffa, de Tibériade ou de Safed en Galilée. Elle n'a jamais cessé, non plus, d'accueillir les Juifs répandus dans le monde entier mais pour lesquels Jérusalem demeurait le centre de leur vie religieuse et nationale. Car, s'il n'y eut jamais une nation palesti¬nienne, il y a, depuis Moïse et même Abraham, un peuple juif qui n'a jamais renoncé à considérer la Judée comme sa patrie et Jérusalem sa capitale. Toute la Bible en témoigne. Mais aussi Flavius Josèphe, Strabon et Tacite, comme aujourd'hui les historiens tant soit peu sé¬rieux.
Bien avant la déclaration Balfour de 1917, bien avant le livre de Hertzl sur l'État juif, en 1896, la communauté juive de Jérusalem est déjà, et depuis trois siècles, la plus nombreuse. Sur 15.510 habitants, en 1844, on dénombre 7.120 Juifs pour 5.000 musulmans et 3.390 chrétiens. De 500 familles en 1621, la population juive de Jérusalem est passée à 1.200 familles en 1700 et 3.000 en 1824. En 1896, 28.400 Juifs représen¬tent 61,9 °/o de la population de Jérusalem, en face de 8.560 musulmans et 8.748 chrétiens. En 1905, les statistiques turques font apparaître 40.000 Juifs à Jérusalem, 12.000 à Safed, 5.500 à Tibériade. A cette date, dans l'ensemble de l'actuelle Palestine, il y a 17 colonies juives instal-lées sur des terres en friches ou marécageuses, cédées un bon prix par leurs propriétaires turcs, persans ou levantins. C'est le cas, notam¬ment, de la ferme-école Mikveh-Israel créée par l'Alliance israélite universelle, fondée à Paris, en 1870, par Charles Netter et Adolphe Crémieux. Celle de Rishon-le-Tzion s'est établie en 1882, grâce au baron Edmond de Rothschild.
De quel droit, dès lors, prétendre que les Juifs sont des étrangers et des intrus au pays de leurs pères et de leurs patriarches, Abraham, Isaac et Jacob, dont Hébron conserve encore les tombeaux? Les Juifs se considèrent en Judée comme les Polonais en Pologne, les Armé-niens en Arménie, les Irlandais en Irlande, même quand ceux-ci revien¬nent après en avoir été exilés pendant plus d'un siècle.
Leur droit d'y revenir est d'autant moins contestable que, dans la plupart des pays où ils s'étaient réfugiés, ils ont eu à souffrir de vexations et de sévices particulièrement odieux, voire de massacres, de spoliations et d'expulsions. Les pays arabes n'ont pas fait exception, à commencer par ces tribus juives de Médine, massacrées ou expul¬sées par Mahomet.
Aux quelque 800.000 Palestiniens qui auraient quitté, en 1948, le territoire où fut fondé l'État d'Israël, on peut opposer un nombre égal de Juifs que les événements de 1948 à 1967 ont contraint de quit¬ter les États arabes, Irak, Syrie, Égypte et Maghreb, en y laissant la plupart de leurs biens.
Si, de 1919 à 1948, la population juive de Palestine s'est accrue de 483.000 immigrants, la population arabe, elle aussi, s'est augmentée de 558.085 âmes. Mais la natalité n'est pas le seul facteur de cet accrois¬sement, alors que la mortalité infantile est encore de 150 pour mille. Comme le remarque un rapporteur de l'U.N.R.W.A. : "Après 1931 les emplois du temps de guerre et, d'une façon générale, le développe¬ment de l'industrie, plus rapide en Palestine que dans les pays arabes voisins, ont attiré de nombreux ressortissants de ces pa
Ainsi la présence accrue des Juifs en Palestine, loin d'entraîner un appauvrissement du pays, y apporte richesse et augmentation de l'em¬ploi telles que les Arabes des pays voisins viennent s'y embaucher et s'y fixer. C'est ce que tenait à souligner, dans une déclaration à la B.B.C., le 23 mai 1939, M. Lloyd George :
"L'immigration juive a élevé le niveau de vie des Arabes en Pales¬tine. Leurs salaires ont triplé. Leur hygiène s'est améliorée grâce aux institutions médicales et aux aménagements sanitaires réalisés par les Juifs. En de nombreuses régions, l'eau est abondamment fournie pour l'irrigation, l'énergie électrique et les besoins domestiques. La malaria disparaît grâce à l'assèchement des marais; grâce à l'exemple juif également, les méthodes primitives de culture se transforment petit à petit. Aucun Arabe n'a été exproprié de sa terre contre son gré. Les Juifs achètent des marais arides et désolés par la malaria, ainsi que des collines pierreuses, en les payant à leurs propriétaires arabes des prix exorbitants. Ensuite ils drainent ces déserts, les irriguent, les fer¬tilisent et les ensemencent jusqu'à ce que la terre de Canaan, où cou¬laient jadis le lait et le miel, apparaisse à nouveau."
Cependant, si le droit de retour des Juifs au pays de leurs ancêtres n'est pas moins certain que celui des Arméniens en Arménie, des Polonais en Pologne, des Irlandais en Irlande, si ce retour a été, pour la terre d'Israël, un incontestable bienfait dont la main-d'œuvre arabe a très largement profité, grâce aux emplois qu'elle y a trouvés, c'est un fait que, de 1919 à 1948, l'opposition des Arabes à Israël s'est faite de plus en plus agressive et virulente. Les notables, les grands féo¬daux arabes de Jérusalem, les effendis, réveillent et attisent dans la masse le ferment nationaliste. Le plus acharné apparaît alors un effendi de Jérusalem, Hadj-Amin-el-Husseini. Il est le principal res¬ponsable de l'agitation qui, dès février 1920, saisit la foule arabe. Les colonies juives de Haute-Galilée, Tel-Haï, Kfar Guiladi, Metoulla, sont attaquées par des Arabes armés de couteaux. Il y a dix morts. A Jéru¬salem, à l'occasion de la Pâque de cette année 1920, les Arabes atta¬quent les Juifs à coups de pierres, de matraques, de couteaux,
Dès le mois de mai 1921, de nouveaux troubles éclatent. A Jaffa et à Tel-Aviv, on tue des Juifs sans défense, tel que le poète Haïm Brenner et sa famille. Tandis qu'on laisse armes et munitions aux Arabes, tout Juif porteur d'un revolver est arrêté.
A Hébron, le 23 août 1929, au témoignage de Sir John Chancelier on déplore "les meurtres sauvages perpétrés sur des membres sans dé¬fense de la communauté juive, sans égard pour l'âge ou le sexe et accom¬pagnés d'actes de férocité indicibles, incendie des fermes et des maisons, dans les villes et les campagnes, pillage et destruction des biens". Dans le même temps, à Jérusalem, à Safed, à Tel-Aviv, les mêmes mas¬sacres des Juifs se reproduisent. La plupart des victimes ont reçu au moins trois blessures, plus d'une en a reçu douze à dix-huit sur tou¬tes les parties du corps. Quarante-cinq pour cent d'entre elles sont des femmes, dix-neuf pour cent des enfants de un à dix a
Mais tandis que David Shaltiel, parti chercher des armes en Eu¬rope, se fait coiffer par la Gestapo et envoyer à Dachau et Buchenwald jusqu'au 18 mars 1939, le grand mufti de Jérusalem se fait ravitail¬ler par Hitler. Exilé par les Anglais, en juillet 1937, il continue son action à Bagdad où l'accueille Nouri-Saïd. En 1941, il se réfugie à Berlin auprès de Hitler, auquel il offre la collaboration d'une brigade de Waffen SS arabes. Accompagné d'Eichmann il visite les chambres à gaz d'Auschwitz et encourage la solution finale qu'elles apportent à la question juive.
Alors que la persécution des Juifs fait rage en Allemagne, en Autri¬che et, après Munich, en Tchécoslovaquie, les Arabes, en Palestine, continuent de se livrer contre les Juifs à de sauvages agressions. Le 4 octobre 1938, 19 Juifs sont brûlés ou poignardés à Tibériade. La synagogue est incendiée. A cela, l'administration de Sa Majesté répond par un nouveau Livre blanc, le 17 mai 1939. Il limite pour cinq ans l'émigration juive.
Mais, à peine terminée la guerre et achevé le monstrueux génocide de six millions d'israélites, la situation des Juifs en Palestine se heurte aux mêmes difficultés, aux mêmes hostilités qu'en 1939. Les malheu¬reux rescapés des camps de la mort que soutenait l'espérance de re-trouver une patrie à Jérusalem se voient refoulés par la police bri¬tannique. On leur interdit l'entrée en Palestine, on en interne plus de 20.000 à Chypre, dans des camps de sinistre mémoire.
Les bateaux où on les entasse connaissent parfois un tragique destin. Le Patria coule dans le port même de Haïfa où 1.800 émigrants sont noyés. Le Salvador s'engloutit dans la mer de Marmara avec 326 émi¬grants, le Struma coule dans le Bosphore avec 769
On comprend l'exaspération qui entraîne alors l'Irgoun et la Hagana dans une lutte acharnée, à la fois contre la police britannique et contre les commandos arabes qui ne cessent de les attaquer. Pour protester contre les arrestations massives (2.718) de juin 1946, l'Irgoun fait sau¬ter l'hôtel King David, mais après avoir prévenu les occupants qui, malheureusement, n'en tiennent pas compte. Il y a 200 morts.
Enfin, le 29 novembre 1947, les Nations unies prennent la décision de partager la Palestine en trois zones : 1° celle d'Israël qui compren¬drait 546.000 Juifs et 350.000 Arabes sur 14.477 kilomètres carrés ; 2° celle des Arabes avec 945.000 habitants, dont 8.000 Juifs sur 11.655 kilomètres carrés ; 3° une zone internationale autour de Jérusalem avec 170.000 habitants dont 106.000 Juifs.
Aussitôt, les Arabes s'insurgent contre cette décision à laquelle, malgré tout, Israël se rallie. Le 3 décembre 1947, à Jérusalem, 200 Ara¬bes poignardent les passants, pillent des magasins, brûlent les mar¬chandises. Le 31 décembre 1947, les employés arabes de la raffinerie de Haïfa attaquent 400 ouvriers juifs de la même entreprise, 39 sont assassinés, 7 autres blessés. Le 18 janvier 1948, 35 étudiants de l'Uni¬versité hébraïque de Jérusalem sont attaqués, massacrés jusqu'au der¬nier