|
Politique IsraëlAviva Shalit : “Aujourd’hui peut être la peine de mort pour Guilad »Le père du soldat Guilad Shalit et des membres de la Campagne pour la Libération de Guilad Shalit ont protesté à l’extérieur du bureau du premier ministre à Jérusalem ce lundi, tandis que le premier ministre et six autres ministres du cabinet restreint se réunissaient pour statuer sur un échange de prisonniers avec le Hamas.
« Ca ne servirait à rien de rester assis à la maison. Nous attendrons jusqu'à la fin des délibérations pour entendre le résultat, » a déclaré le père du soldat aux journalistes en dehors du cabinet du premier ministre. « Nous devons prendre une décision, le Hamas aussi. Le temps est venu de mettre fin aux souffrances de centaines de milliers de palestiniens dans la bande de Gaza. »
Les manifestants tenaient des cartons grandeur nature de l’image de Guilad, dans une tentative d’influer sur la décision des ministres d’approuver un accord permettant de relâcher quelques 950 terroristes emprisonnés contre la libération de Shalit, qui est hottage du groupe terroriste Hamas depuis trois ans et demie.
Aviva Shalit, la mère du soldat, a appelé la décision que doit prendre le cabinet aujourd’hui une « possible peine de mort » pour son fils.
« J’espère qu’ils se décideront aujourd’hui. Quiconque vote doit réaliser que leur vote signifie une possible peine de mort pour Guilad, ou sa libération, » a-t-elle déclaré à la radio de l’armée.
Si les sept membres du cabinet restreint approuvent l’accord, il sera probablement porté devant le gouvernement pour accord.
« Je peux comprendre les difficultés auxquelles les ministres font face ; ce n’est pas facile pour nous non plus, » a dit Aviva de la controverse entourant les détails de l’accord proposé. « Il est inconcevable qu’après autant de jours, aucune alternative n’ait été proposée pour faire libérer Guilad, et il est toujours là-bas. Il peut encore être ramené vivant, le monde entier a vu qu’il est toujours en vie. »
« Il aurait déjà pu être à la maison si autant d’erreurs n’avaient pas été commises, » a-t-elle rajouté.
Entre-temps, le président Shimon Peres a appelé le public et ses leaders à laisser le cabinet restreint prendre sa décision avec le minimum de distraction possible.
« Personne, moi y compris, ne devrait être autorisé à s’immiscer dans les échanges de la commission ministérielle sur un possible échange de prisonniers contre Guilad Shalit, » a-t-il dit lundi.
« Et il ne devrait y avoir aucune fuite dans ce débat, » a-t-il ajouté.
Peres répondait à une question d’un journaliste lui demandant comment il réagirait dans pareille situation. Le président, qui a souvent été en contact avec la famille Shalit, dit qu’il ne discuterait pas de la question avec les medias, soulignant l’importance de laisser la décision ultime au gouvernement. Articles connexes
77 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 2 heures - Le Figaro
Il y a 4 heures - Le Figaro
Il y a 5 heures - Kountrass
Il y a 7 heures - i24 News
4 Avril 2025 - Slate .fr
29 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Guillemette
21 Avril 2025 par Claude_107
18 Avril 2025 par Claude_107
4 Mai 2025 - Le Monde Libre
4 Mai 2025 - Identité Juive .com
1 Mai 2025 - Torah-Box
1 Mai 2025 - Torah-Box
16 Avril 2025 - Identité Juive .com
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 30 minutes
Hou la la, mon coeur est à gauche mais ma droite est méchante, il ne faut pas me chercher, vous me trouverais sur votre chemin. Je suis loin d'être un gentil toutou, au diable la varice, je suis très suceptible que je démare au quart de tours, prenez garde.
J'aime tout ce qui est juste et bien fait, à partir de là, ci quelqu'un me monte sur mes orteilles, je lui arrache les Cacahuettes. c'est mon caractère, coulé dans un moule à l'Israëlienne.
Shavoua Tov lé koulam, Shimon.
Mais le sentiment déchirant de la paternité peut-il abolir toute autre considération ? Peut-on effacer de son esprit l des questions cruciales telles que : libérer mille Samir Kuntar en échange de Guilad, n'est-ce pas prendre par avance la responsabilité des crimes terroristes que ces loups, remis en liberté, pourraient accomplir ? N'est-ce pas fournir à l'avance, à tout terroriste, la certitude que, quelque horribles soient les crimes qu'il pourrait commettre, de toute façon, ils n'entraineraient au pire, pour lui, que quelques années de prison en attendant les nouveaux chantages que permettraient de nouvelles prises d'otages ?
Un père, une mère, peuvent ne penser qu'à leur enfant : nul n'ira leur jeter la pierre, trop heureux de ne pas se trouver dans leur situation.
Mais un gouvernement ? N'e'st-il pas comptable de l'avenir ? Sa responsabilité s'arrête-elle là où le porte la vague émotionnelle ? Mille " Samir Kuntar " en liberté, assoiffés de faire couler à nouveau lme sang juif : est-ce une éventualité que l'on puisse prendre à la légère ?
Un gouvernement doit prendre en charge, au-delà de l'émotion, fût elle la plus déchirante, le " bien commun " - dans le présent ; et pour l'avenir.
Moi j'aurais bien une solution: "On ne vous en donne que trois en échange, et c'est bien payé, les 997 autres serviront d'exemple: vous avez 24 heures pour relacher Guilad SHALIT, passé ce délai, 500 parmi les 997 restants seront éxécutés, pour exemple, le lendemain 100 autres. Dépêchez vous messieurs du Hamas, il ne vous reste que 4 jours, Le premier jour: 100 autres, le deuxième jour: 100 autres, le troisième jour 100 autres. Le dernier et quatrième jour: Il ne vous reste que 24 heure pour sauver les 97 derniers, et recevoir les trois prévus en échange de Guilad SHALIT, sans quoi passé ce terme, nous en feront le Samson National du temps et dirons qu'il a tué 1000 philistins des temps modernes en 5 jours".
il faut accepter l'echange avant que le hamas change d'avis.