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Politique IsraëlUn député Kadima organise une pétition pour NetanyahouAlors que le bureau du premier ministre travaille sur une réponse israélienne à la ferme demande américaine d’arrêter la construction à Jérusalem, deux différentes initiatives à la Knesset demandent au premier ministre Benyamin Netanyahou de se tenir à sa déclaration disant qu’Israël allait continuer à construire au-delà de la frontière de 1967, comme le pays l’a fait depuis 42 ans.
Le député Otniel Schneller (Kadima) a commencé mercredi à récolter des signatures des membres des différents partis pour une pétition supportant le premier ministre sur le dialogue difficile entre Jérusalem et Washington.
Peu de députés ont pour le moment signé la pétition, et Schneller a prévu de continuer jeudi.
Le lobby Terre d’Israël de la Knesset organise également une pétition de soutien à Netanyahou. « Nous demandons encore une fois de continuer à rester fidele à votre position disant qu’il n’y a pas de place a de nouveaux gestes de la part d’Israël comme condition pour reprendre les pourparlers, et de ne pas céder aux extorsions palestiniennes, pas plus qu’à la pression internationale demandant d’autres gestes, » déclare la lettre signée par les députés et les chefs de partis.
Le lobby est dirigé par le chef de la coalition, Vladimir Elkin (Likoud) et le député Arieh Eldad (Union Nationale).
Schneller, membre de l’opposition, a expliqué que « en dehors des désaccords sur des questions diplomatiques, il n’y a aucun litige lorsqu’il s’agit de construire à Jérusalem Ouest, et aucun parti ne peut accepter les pressions américaines. »
Il a ajouté : « je voulais voir si les partis pouvaient êtres unis autour de cela. Il y avait deux partis qui ont émis des réserves sur le texte d’origine et ont demandé d’ajouter deux phrases de plus. »
Schneller a précisé qu’il soutenait les critiques de Kadima sur la conduite par le gouvernement de l’affaire des constructions à Ramat Shlomo, ainsi que son comportement en termes de relations avec les Etats-Unis.
« Il est important pour moi de montrer que Kadima ne joue pas à la politique lorsqu’il s’agit de Jérusalem. Le gouvernement, en raison de sa conduite, a mis Jérusalem à l’ordre du jour. Mais, connaissant les demandes de Clinton, nous devons dire que cela suffit. Ces demandes sont sérieuses et aucun citoyen juif israélien ne peut les accepter. Il y a des limites, et nous devons soutenir l’état, pas le gouvernement. » Articles connexes
144 commentaires
| Membre Juif.org
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Je suis pas mal sur Facebook des forums pro palos...Certains se sentiront bien quand "toute les palestine" sera libérée. Voilà qui donne idée de ce qu'ils souhaitent à Israël !! Sont pas content quand je leur dit qu'elle aurait pu être libre en 48
Cette gaffe aura comme conséquence le renforcement international anti-Israëlien!!!
comment voulez-vous faire la paix avec un peuple qui eleve ses propres enfants dans la haine du juif ......
Et cerise sur le gateau, l'obamination a reussi a faire l'unité des Israeliens (meme de kadima),ceci n'est pas un petit exploit
Et meme les Juifs americains,du moins ,ceux qui sont + préocupes par Israel que l'avortement,semblent sortir de leur léthargie
Je n'épiloguerai pas sur les buts à court terme de cette provocation ( redorer le blason d' 'Hussein Obama auprès de ses co-religionnaires- et l'on voit bien comment l'entend la racaille islamique, particulièrement dans la Vieille Ville : comme une incitation à multiplier ses attaques - s'auréoler, auprès des membres de soin parti démocrate, du moins auprès de l'aile radicale de ce parti, d'une " victoire " , au moins une , en politique extérieure ). Il me paraît toutefois que c'est le but à moyen terme de cette provocation qui est le plus grave il ne s'agit de rien de moins, à mon sens, que de commencer un travail d'érosion d'une opinion publique américaine jusqu'ici de plus en plus favorable à Israël. Ce but - saper peu à peu la position d'Israël dans l'opinion publique américaine, délégitimer Israël auprès des Américains - Obama et ses séides pensent pouvoir l'atteindre peu à peu en fais
Il n'est toutefois pas acquis pour 'Hussein Obama que ses grosses ficelles lui garantissent le succès ( l'édito du très influent " Wall Street Journal " semble au contraire montrer une défiance croissante de certains milieux pour la politique pro-musulmane d'Obama ). Huit mois ( ce qui est long, surtout si, dans cet intervalle, l'Iran parvenait à achever la construction de l'arme nucléaire - ce qui ferait qu'Israël, le dos au mur, ne pourrait plus atermoyer ) nous séparent des " mid-term elections " : si la tendance qui prévaut depuis plusieurs mois dans l'opinion américaine se confirmait dans les urnes, 'Hussein Obama ( dont un très récent sondage indique que, si des élections présidentielles avaient lieu aujourd'hui, il les perdrait ) risquerait de voir ses élans pro-Islâm freinés par un Congrès qui ne serait plus à sa main. Il lui faut donc faire vite ( mais cette précipitation est contradictoire, jusqu'à un certain point, avec l'objectif de faire " tourner " l'opinion publique sur Israël - renversement qui ne peut être acquis en quelques jours ... sauf ... effet Zimmermann ou effet Pearl Harbor ). Et tel est aussi certainement le point de vue de ce que j'appelle
Mais le fait, pour Obama - et peut-être de manière plus frappante encore pour Joe Biden et Mme Clinton - de parler à Israël sur un ton très dur ( pratiquement jamais utlisé jusqu'ici - et qui est le pendant, et le complément, de la fameuse photo où l'on pouvait voir ' Hussein Obama " recevoir " Benyamin Netanyahu les pieds sur son burlingue ) prouve aussi qu'à l'approche des mid-term elections, le haut establishment démocrate a choisi de serrer les rangs en se rapprochant de l'importante aile gauchiste ( " radical " ) du parti démocrate.