Politique Israël

Obama ne lâchera pas les basques d'Israël. Bien au contraire. Ce pitbull politique ne démordra pas parce qu' il exécute un contrat. Parce qu'il fait exactement ce pour quoi - et ce pour quoi uniquement - il a été mis sur les rails par ceux qui sont directement derrière lui, et par ceux qui sont à l'arrière-plan, notamment les groupes, ou les forces qui avaient accumulé un formidable trésor de guerre électoral à son usage. Il a donné le témoignage éclatant de ce qui comptait le plus pour lui lorsque, le lendemain de son intronisation, la première personne, entre toutes, dans le monde entier, qu'il ait appelée au téléphone a été Mahmoud Abbas. Qu'on y réfléchisse une seconde ! Le chef du plus puissant Etat du monde n'a pas d'interlocuteur à appeler plus immédiatement que le chef d'un Etat virtuel. Il ne réserve pas son premier appel de Président américain à Ban Ki-moon ; ni à Poutine; ni à Hu Jintao ; ni à Benoit XVI ; ni à celui ( j'ai oublié son nom ... ) qui présidait alors l'Union Eurabe. Non. Le président Barack Hussein Obama appelle le responsable, jamais repenti, des tueries de 1972 ( JO de Munich ) et 1974 ( Ma'alot ), par ailleurs négationniste patenté ( sa thèse de doctorat à l'Université de Moscou ). Peut-on plus clairement afficher la couleur ? Dire plus clairement vers qui penche son coeur ?

Son coeur, certes, dès longtemps formaté par des Bill Ayers et Jeremiah Wright.

(suite). Mais il s'agit aussi de s'acquitter, politiquement, de la dette contractée envers les forces qui ont permis, préparé et financé son élection. Et d'exécuter un contrat. Et les maffias, politiques ou autres, ne pardonnent pas à ceux qui n'exécutent pas les contrats.
Cette situation peut-elle changer ? - Elle le peut si trois conditions sont réunies, lesquelles se conditionnent un peu les unes les autres :
Je dirai d'abord que je ne partage pas l'optimisme à court terme de Claude_006, concernant par exemple la loi sur l'assurance-maladie. Cette loi a été votée et il y a, à mon avis, peu de chance que les Représentants reviennent sur leur vote. On a vu que, pour obtenir à tout prix un succès politique susceptible ( du moins est-ce l'espoir du clan Obama ) d'inverser une tendance défavorable, Obama était prêt à peu près à tout ( y compris vider ou presque cette loi de son contenu originel ).
Mais cette tendance peut-elle en effet s'inverser ? - Dans huit mois, les " midterm elections " apporteront la réponse. D'ici là, bien des choses peuvent se produire dans le monde, que nous n'avons pas la possibilité de prévoir. Si néanmoins ont fait l'hypothèse d'une défaite démocrate, 'Hussein Obama se verrait quelque peu bridé par un Congrès qui ne serait plus à sa main ( ce qui n'est pas le cas actuellement, le vote sur le projet d'assurance santé l'a montré )

Depuis le jour où l'on a révéler l'existence d'un certain "hussein" obama, je savais que cela ne serait pas bon pour Israël, j'en ai même fait la remarque à l'ambassadeur d'Israël en Belgique lors d'une conférence tenue par cette dernière à l'occasion du "yamatsmahud", il y a déjà 2 ans de cela!!!!!!!.

-suite) une deuxième condition serait que l'appareil du parti démocrate réagisse à une éventuelle perte de popularité en cherchant à lâcher du lest sur certaines questions litigieuses aux yeux de l'opinion publique ( on voit bien que les manoeuvres actuelles du clan Obama, depuis le mardi 9 mars au moins, visent à faire sortir la question d'Israël du champ des questions litigieuses, en construisant contre lui, avec l'aide active d'une partie du Pentagone - Robert Gates, qui n'a pas pour rien été le seul républicain de l'équipe Bush maintenu dans l'équipe Obama ; le général David Petraeus - une unité nationale autour des " boys " mis en danger par Israël ... ). Une tendance lourdement défavorable aux démocrates lors des " midterm elections " pourrait faire peser des craintes quant à une victoire démocrate aux présidentielles de 2012. L'appareil du part serait alors amené à questionner ses positionnements ( ainsi que la question de savoir si représenter Obama, en 2012,
ne risquerait pas de plomber le parti ).
Je crois qu'il faut considérer qu'alors l'appareil démocrate ( à l'intérieur duquel l'appareil de Chicago dispose d'influences et de moyens d'action non négligeables ) serait amené à arbitrer entre : ses intérêts d'appareil ; la pression croissante à l'intérieur du parti des éléments de gauche et d'extrême-gauche, pression susceptible de se répercuter aussi sur et dans l'appareil lui-même ( c'est l'hypothèse que me paraît faire Mme Clinton,

(suite) laquelle table probablement aussi sur la substitution, par l'appareil soucieux de regagner les faveurs de l'électorat, d'une candidate femme à un candidat noir ).

La troisième condition est plus difficile à préciser ( quoiqu'elle soit probablement la plus décisive ) et à apprécier. Il s'agirait de savoir dans quelle mesure les Américains, qui avaient cru couronner, en quelque sorte, la victoire des Droits Civiques en élisant un Noir à la Présidence, se rendraient compte qu'ils ont été menés en bateau par un candidat expert en taqiyya et appuyé, ,y compris financièrement, par des groupes occultes liés à l'Islâm ( un peu comme JFK avait pu bénéficier, en son temps, du soutien de la Maffia ) ; et que ce personnage est en réalité un ennemi de leurs valeurs et de leur pays. C'est là un enjeu formidable. Mais pas tout à fait hors de portée.

Et, dans ce sens, un premier pas serait à faire : que la communauté juive américaine, qui a voté à 77 ou 78 % en faveur d'Obama, se rende compte que ce faiseur de génuflexion et de baise-main au roi d'Arabie est en réalité un employé de celui-ci et le pire ennemi d'Israël.

Je vois que la suite de mon post ( un peu long, j'en conviens - mais je suppose que le problème n'est pas là ... ) a été " modérée " ... Je voudrais tenter de la reformuler, en termes plus ... modérés !

J'ajoutais que Mme Clinton table probablement aussi sur la substitution, par l'appareil du parti démocrate soucieux de regagner, en 2012, les faveurs de l'électorat, d'une candidate femme à un candidat noir en perte de vitesse.

Et j'évoquais une troisième condition, certes plus difficile à apprécier et même à formuler de manière très précise : il s'agirait de savoir dans quelle mesure les Américains qui avaient cru, en votant pour Obama, couronner en quelque sorte la victoire des Droits Civiques en portant un Noir à la plus haute fonction, commenceraient à se poser des questions concernant ses allégeances réelles et les risques que celles-ci pourraient faire courir à leurs valeurs et à leur pays.
Je terminais en disant que la communauté juive américaine, qui a voté à 77 ou 78 % en faveur d'Obama, a aussi quelques questions à se poser ...

Réponse à Edmon _002, il a téléphoné à habas!.oui mais vous oubliez qu'il a aussi téléphoné au nain dangereux d'iran

Ca aggrave encore son cas, Oscar ! Chabbat chalom.

Edmond, vous semblez savoir qu'Obama compte parmi les financeurs de sa campagne des ennemis d'Israël. Je me demande bien qui sont ces "mafieux politiques" que vous évoquez...

Didier, bonsoir. Je ne SAIS rien de précis. Mais je me pose des questions. Une enquête indépendante, il y a un an environ, je crois, avait trouvé que " J - Street " avait reçu, souvent par l'intermédiaire de prête-nom - dont certains juifs, entre autres, des financement séoudiens et iraniens. Pour Obama, je ne sache pas qu'une telle enquête ait eu lieu. Et je doute fort qu'elle soit possible, sauf de la part de journalistes d'investigation suicidaires ... MAIS, je me pose des questions car le trésor de guerre électoral 'Obama était absolument faramineux, aux dire de ceux qui ont eu connaissance des chiffres ( des évaluations avaient circulé, il y a un an, environ, ou davantage ). Ce trésor dépassait, et de très loin, les sommes jamais réunies au profit d'un candidat américain et même les bosses démocrates n'en revenaient pas. Il paraît d'ailleurs qu'on est loin de l'avoir dépensé en totalité, mais la question n'est pas là. Elle est : d'où venaient ces fonds ? Certes il y a les traditionnels dîners, soirées et galas de " fund raising " , où les places peuvent être à 100 000 dollars ou davantage. Il y a les contributions, syndicales ou autres ; les dons fastueux de grands noms du show business ( par exemple Spielberg ... ) : tout cela a été exploité abondamment. Mais c'est ce qui se fait toujours. Et ça n'explique pas l'ampleur du trésor. ... ??? ...

Chabbat chalom .