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Politique IsraëlNetanyahou : "pas de négociations avec ceux qui embrassent le Hamas"Le premier ministre Benyamin Netanyahou a déclaré lundi qu'il ne croit pas que le président de l'autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, est sérieux au sujet de parvenir à un accord de paix avec Israël. "Dans la réalité du Moyen Orient, toute zone de laquelle nous sortirions serait prise en charge par l'Iran," a dit Netanyahou dans une interview donnée à la deuxième chaîne de télévision. "Plus nous serons forts, plus nous serons en mesure d'assurer notre avenir et faire la paix avec nos voisins. Je ferai la paix si je parle avec quelqu'un qui n'embrasse pas le Hamas et ne donne pas crédit a des gens qui font pleuvoir des roquettes sur l'état d'Israël," a-t-il ajouté, critiquant la réunion de réconciliation de la semaine dernière entre Abbas et le chef du groupe terroriste Hamas, Khaled Mashaal, après que ce dernier ait déclaré qu'Israël devait être rayé de la carte. Il a ajouté : "si Abbas vient a la table des négociations sans conditions préalables, il me trouvera de l'autre côté de la table." Depuis 2009, Abbas refuse de venir à la table des négociations avec Israël et tente d'imposer des conditions préalables aux pourparlers. Une de ses revendications est qu'Israël accepte les lignes d'avant 1967 comme frontières définitives. Il demande également à Israël de libérer tous les terroristes arabes de ses prisons, et la fin de la construction juive en Judée, Samarie et Jérusalem Est pour la seconde fois avant que les négociations reprennent. Dans le même temps, il refuse de reconnaître le droit d'Israël à exister. Pendant l'interview, Netanyahou a également une nouvelle fois rejeté les accusations de l'ancien premier ministre Ehoud Olmert qui dit que Netanyahou a gaspillé 11 milliards de shekels dans les préparatifs d'une attaque contre l'Iran qui ne s'est jamais matérialisée. "Pas un seul shekel n'a été dépensé en vain. Nous avons investi dans la sécurité d'Israël," a dit Netanyahou. Il a ajouté : "en plus de cela, nous avons créé des capacités offensives pour Tsahal qui ont également été reflétées lors de l'opération Pilier de Défense, ainsi que dans d'autres domaines, et dans la capacité d'Israël à se défendre contre ceux qui veulent nous détruire. Je pense que ces aptitudes sont essentielles." Interrogé pour savoir si il a l'intention d'augmenter les impôts après les élections, suite à un rapport paru dimanche disant que le déficit budgétaire d'Israël était deux fois plus important que prévu, Netanyahou a répondu : "je ne vois pas la nécessité de le faire parce que nous avons pris ces choses en considération. Peut-être que les marchés se rétabliront et que les exportations croîtront. Le déficit était beaucoup plus grand en 2009, donc nous avons supprimé un grand nombre de dépenses. Cela ne nous empêche pas d'offrir une éducation gratuite à partir de trois ans, la gratuité des soins dentaires et l'augmentation du salaire minimum." Dans le même temps, Netanyahou a refusé de dire explicitement qu'il n'augmentera pas les imports. "Nous allons augmenter le budget, contrairement à ce que les gens pensent," a-t-il dit. "Vous devez penser à ce que vous augmentez et ce que vous diminuez. Afin de renforcer l'économie, nous avons créé des emplois pour que le taux de chômage en Israël soit aujourd'hui parmi les plus faible en Occident. Je ne veux pas augmenter les impôts, ce n'est pas mon inclination naturelle, et je ferai tout mon possible pour l'éviter. Nous allons faire des coupes et des augmentations." Articles connexes
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Bien sûr, on pourra dire qu'il ne s'agit pas des mêmes espèces d'islamistes. Ceux que la France ( comme les Etats-Unis ) appuie sont plutôt du genre " Frères Musulmans " . Mais ce n'est pas si clair ni si simple : en Libye et, plus encore, en Syrie, les " Frères Musulmans " peuvent se faire damer le pion, çà et là, par des islamistes du genre " Al-Qaïda " ( les potes de ceux qui sont en train d'investir l'Afrique sahélienne ). Et, de toute façon, il n'est pas évident que les bandes muzzs des " banlieues " , " cités " et autres " quartiers " des " zones sensibles " ( les fameux " territoires perdus de la République " où domine l'alliance des gangs de la drogue et des imams salafistes ) sauront percevoir les subtiles différences entre l'aide aux uns ( les islamistes type " Frères Musulmans " en Libye et en Syrie, par exemple ) et les coups portés aux autres ( les islamistes type " Al-Qaïda " au Mali ). Il paraît que l'intervention française au Mali a déjà entraîné
sur Internet des centaines d'appels au djihad contre la France ... Ce qui a amené le gouvernement français à relever le niveau d'alerte du plan " Vigiepirate " .
Les Américains aussi sont dans la même contradiction ( on l'a vu lorsque l'ambassadeur américain en Libye a été assassiné à Benghazi ). Mais eux sont tout de même à quelques milliers de kilomètres des théâtres d'opérations. Et ils n'ont pas ( encore ) à domicile l'équivalent des colonies de muzzs qui peuplent en France les 750 à 800 " zones sensibles " .
Je me dis qu'il pourrait y avoir là l'amorce de sérieux problèmes pour les dirigeants français. D'autant que, si, par hypothèse, la France renonçait à soutenir les Etats du Sahel, ceux-ci s'effondreraient, et les Etats du Maghreb comme l'Algérie et le Maroc seraient alors directement menacés. Or, mener des jeux tortueux avec des islamistes ( et contre Israël ) au Proche-Orient est une chose. Tolérer l'installation de régimes islamistes pas du tout " modérés " sur la rive sud de la Méditerranée serait une tout autre chose. L'intervention militaire de la France au Sahel est donc logiquement appelée à s'intensifier et le " grand arrière " que constitue la France par rapport à ces pays appelé à se porter de plus en plus à l' " avant " - sauf si ( hypothèse peu probable ) les islamistes d' " Ansar Din " et d' " AQMI " étaient très vite complètement détruits.
Je partage tout à fait ton avis, et c'etait un peu l'ironie de mon post... Mais ou va la france ???, et comme tu le faits justement remarquer, des jours dangereux en vue pour la france, en plus de s'enfoncer dans un conflict dont hollande n'a aucune idée de l'etendue et des consequences à moyen terme...
AM ISRAEL HAY
AM ISRAEL HAY
d'autre part, on voit bien à travers les reportages de guerres que la guerre au Mali met en évidence que la France à pris du retard dans la technologie militaire en envoyant sur place des avions Mirage et des hélicoptères, très vulnérables, là où il suffirait de quelques drones pour détruire en quelques heures cette armée le terroristes particulièrement voyante sur le sable à bord de camionnettes armées; pauvre France qui envoie ses soldats au casse-pipe pour défendre des Africains qu'on voit attablés dans des bistrots !
Mais, dans la journée de vendredi, les choses se précipitaient sur place de telle manière ( prise de Konna, à moins de cent kilomètres de l'aéroport international du Mali, à Sévaré ) que les forces françaises étaient amenées à effectuer en urgence une intervention faute de laquelle la capitale du Mali, Bamako, serait, à l'heure actuelle, aux mains des islamistes. Il n'était plus question de l'ONU ...
Ceci a au moins une signification : c'est que la France, non pas va se trouver, mais se trouve déjà en première ligne. Est-ce que l'Etat-Major y était préparé ? - Difficile de se faire une opinion précise. Tu évoques l'inadéquation des matériels ... C'est peut-être un peu rapide ... La question la plus importante est ( ou sera ) peut-être celle de l'engagement de troupes françaises au sol ... : le cauchemar, en somme, pour Paris ... Qui ne pourra, dans cette affaire, guère compter que sur lui-même, non que les armées africaines, celles des pays de la CEDEAO, se refusent à intervenir, mais que pèsent-elles ? Quant à l'Union Européenne, ou aux Etats-Unis, ils offriront au mieux leur " soutien logistique " comme vient de le faire David Cameron ... : tel est le revers de la médaille françafricaine : la Françafrique, c'est l'affaire des Français. Et c'est à chacun de tenir " son " front : tout - la géographie, l'histoire, je le répète - se conjugue pour faire de l'ex-empire colonial africain de la France l'affaire des Français.