Israël : infos Société

Il y a des mots en hébreux qui n'existent pas en français et en anglais.

Si le peuple juif est né du don de la Torah, pourquoi donc être juif si ce n'est pour la préserver dans son intégrité ? Pour pouvoir en discuter quelque soit le deuxième langage de chaque juif. N'est-ce pas la Torah qui a lié le peuple juif malgré la diaspora ?

Avnt de m'insulter sur ce que je viens de dire Hilda ou Jean en me disant qu'est-ce qu'elle a nous faire la leçon la "goy"...songez que des convertis ont été dans le peuple juif de grands rabbins et juste au cas où j'aurais été une des âmes présente au Sinaï...respectez mes PROPOS...

On ne sait jamais, n'est-ce pas ?
Vous pouvez discuter de l'idée que je viens d'émettre mais faites bien attention de ne pas attaquer ma "personne"...Vos injures ne se retourne pas seulement contre vous mais contre le peuple juif.

Chalom à tous !

Plutôt que de se demander "Qui est juif?" Pourquoi ne pas se demander "Pourquoi être juif ?"

C'est une question qui demande une très grande réflexion...tant pour les juifs que pour les non-juifs.
Peut-être même est-ce une des clés de cette Paix et cette Justice que tout le monde recherche si maladroitement depuis des millénaires...

Bonne nuit ou bon matin !

"L'Hébreu, dimension essentielle de l'identité juive":

Mal placée pour en parler, puisque malheureusement je ne parle pas -encore- l'Hébreu, je pense aussi qu'un (juif/ve devrait connaître la langue de ses ancêtres, ne serait-ce que pour mieux comprendre les textes sacrés.

Ceci dit, il est évident que cette langue, considérée comme "langue morte" comme le latin et le grec, est d'un abord difficile, surtout lorsqu'on vit en Galouth, sans pratique, sauf pour les prières en synagogue, et encore.

Je pense que si on veut se considérer comme bon juif/ve (dans le vrai "bon" sens du terme), et qu'on a des enfants, la meilleure chose est de leur donner une éducation juive, pas basée uniquement sur des interdits alimentaires, mais sur d'autres valeurs, + élevées, et profiter de l'occasion pour apprendre l'Hébreu avec eux. L'émulation au sein de la famille, dont j'ai personnellement manqué cruellement, est un véritable ciment, et un bon exemple. ET nos écoles rabbiniques sont excellentes pour cela, aussi bien pour les garçons que pour les filles.

Quant on voit l'"éducation catastrophique" qui est donnée par le monde arabo/muzz à leurs propres enfants, qui sont pourtant leur avenir: haine contre l'occident, haine contre les juifs en particulier, pas d'école sauf des madrassas où ils ânonnent sans rien comprendre des versets incendiaires. Ca fait pitié pour leur propre avenir.

Conclusion: oui pour une identité juive, bien comprise et bien vivante dans le monde présent.

J'aimerai réagir à une phrase du commentaire de Viviane (tout à fait hors sujet par rapport au thème évoqué) :
:... pas basée uniquement sur des interdits alimentaires, mais sur d'autres valeurs, + élevées,…

Voilà bien une pensée occidentale et chrétienne ! car à force de s’élever on se déconnecte de la réalité….Dans le Judaïsme la véritable « élévation » est dans la spiritualisation de la matière (Adam, l’être humain est de la même racine que Adama, la terre). Ce qui signifie que nous nous devons de développer notre Présence sur cette terre et pour cela les interdits alimentaires et autres lois sont là pour nous aider à orienter notre attention et développer notre discernement. Etre présent à chaque acte posé, chaque parole prononcée, à chaque pensée, concourt à améliorer notre discernement dans tous les autres domaines de l’existence. La Halakha n’est pas un but en soi, si c’est que vous vouliez dire, mais bien un outil de travail pour développer notre Présence au monde et par conséquent notre Responsabilité collective ; celle-ci étant plus ajustée à la réalité et moins sentimentaliste puisque nous avons commencé par l’exercer sur nous-mêmes dans les aspects les plus concrets de la vie !

A Ruth 013. Merci pour vos commentaires (même si la mention "hors sujet" que vous m'avez attribuée n'engage que vous, en l'occurrence).

Mon opinion sur les interdits alimentaires venait d'expériences vécues.

Toute jeune, j'avais constaté que ceux/celles qui étaient les plus rigoristes au niveau des habitudes alimentaires, je dirais même psycho-rigies, étaient parfaitement laxistes et plutôt "je-m'en-foutistes" quant à leurs comportements familiaux.

Et je trouvais, déjà, que la religion, montrée sous un tel angle "sonnait faux". D'où mon sentiment que la nourriture, surtout utilisée de cette façon-là, n'était pas TOUT dans notre si belle religion.

Mais vous avez raison, utilisée à bon escient, elle peut accompagner tout le reste.

AM ISRAEL HAY