English Version Force de Défense d'Israel sur Internet
Inscription gratuite
AccueilInfos IsraelBlogs Juifs et IsraéliensVidéo IsraelOpinions : monde Juif et IsraelLe MagTOP SitesLa BoutiqueJuif.org TV

Israël : infos Société

Qu'est-ce un antisioniste ? (Victor Perez)

Combattre le Sionisme est devenu, pour certains de plus en plus nombreux, une raison de vivre. Tout antisioniste se revendiquant publiquement de ce combat, se drapera des vertus des droits de l’homme pour se justifier. Il vous exposera, au fil du temps, qu’il n’a rien contre les Juifs, mais qu’il est contre la politique du gouvernement israélien qui perpétue «l’occupation des territoires palestiniens», «sa colonisation» ainsi que la «répression des autochtones»
157 commentaires
Bonjour Viviane , c 'est vrai ce que vous dites à propos de leur problèmes sociales , ils passent toujours devant les pauvres Fraçais sans ressource et pour les logements c 'est pareille , c 'est eux qui passent avant !!
quand à la quantité de gosses , c 'est un par an , tant que la femme est en état d 'en fiare !! ensuite c 'est la france qui paie !! quelle honte ...c 'est vrai trop c 'est trop !! regarder les grandes gueules qu ils ont les sans-papiers qui ne sont pas français , toutes ces manifs qu ils se permettent de faire et de squatter les rues !
mais que font-ils chez nous ? les caisses de l ' etat sont vides pour les français !!!!!
Envoyé par Jacqueline_008 - le Dimanche 16 Novembre 2008 à 08:28
F,

C´est pour ca quand on me fait le sionisme (retour à Sion) c´est une ideologie du 20 eme siecle, je trouve que c´est du n´importe quoi.
Envoyé par Elie_010 - le Dimanche 16 Novembre 2008 à 10:43
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par F - le Dimanche 16 Novembre 2008 à 11:01
Les Palestiniens chrétiens subissent de « rudes coups » de la part des musulmans. C’est ce qu’écrit un Palestinien dans un article exceptionnellement sincère sur la situation des chrétiens en terre arabe.

« Soyons honnêtes avec nous-mêmes et ayons le courage de dire tout haut que les Palestiniens chrétiens subissent de nombreux coups rudes, mais souffrent cependant en silence pour ne pas attirer l’attention », écrit Abd Al-Nasser Al-Najjar dans le quotidien de l’autorité Palestinienne Al-Ayyam.

Les musulmans ainsi que le plupart des chrétiens des territoires palestiniens disent aux journalistes qu’ils sont tous des Palestiniens. En public, ils nient habituellement l’existence de tout problème ou de toute différence entre eux. Ils disent bien s’entendre et que le principal problème, c’est « l’occupation » israélienne de la Cisjordanie.

En privé toutefois, certains chrétiens avouent les pertes d’emplois, les confiscations de terres, les attentats contre les églises, l’intimidation, la torture, les coups, les enlèvements, les mariages forcés et le harcèlement sexuel que subissent les chrétiennes. Des chrétiens ont été tués.

Mais les manifestations de cette tension interreligieuse trouvent rarement d’échos dans les médias palestiniens et arabes.

Dans son article du 25 octobre, Al-Najjar, qui est lui-même musulman et intervient régulièrement dans ce journal de l’Autorité Palestinienne, critique la persécution musulmane des chrétiens dans les pays arabes, en particulier celle ayant cours dans les territoires administrés par l’Autorité Palestinienne.

Selon Al-Najjar, les chrétiens souffrent, non pas de « l’occupation » israélienne, mais de la confiscation des biens chrétiens, plus particulièrement dans les villes de Cisjordanie de Bethléem, Ramallah, et Al-Birah.

Ce qui rend les choses pires encore, écrit-il, c’est que ceux qui ont pillé les biens de chrétiens sont eux-mêmes soit puissants, soit soutenus par des gens puissants, dont « des haut gradés de l’armée et des membres influents de clans importants ».

Le tentatives qu’ont entreprises des dirigeants politiques ou le système judiciaire pour corriger la situation ont échoué, ajoute Al-Najjar.

« Ces dernières années, plusieurs de mes amis chrétiens m’ont dit tout ce qu’ils ont subi pour avoir essayé de retrouver leurs terres après qu’elles eurent été confisquées par des habitants influents de Bethléem, et cela inclut des menaces de divers ordres, y compris même des menaces de mort. »

« De plus, l’on a essayé de marginaliser la culture chrétienne en Palestine, alors même qu’elle y est riche et fermement enracinée. Cela a commencé par des accusations d’incroyance [contre les chrétiens], et cela a finalement nui à la société palestinienne tout entière », écrit Al-Najjar.

Malgré les injustices perpétrées contre les chrétiens, personne, que ce soit au sein du gouvernement, des ONG ou des factions politiques, n’a pris de mesure constructive pour les empêcher ou pour défendre les chrétiens, ajoute-t-il.

Il y aurait dû y avoir de telles mesures, « non par bonté et par compassion », mais parce que les Palestiniens chrétiens sont d’ici et qu’ils ne sont « pas différents de nous, avec les mêmes droits et les mêmes devoirs » que les musulmans.

« Nous continuons à instiller à nos enfants une culture épouvantable qui considère les chrétiens comme des infidèles », écrit Al-Najjar. Il appelle à un « réveil national » pour restaurer les droits des chrétiens et préserver l’ « équilibre démographique ».

Des dizaines de milliers d’Arabes chrétiens ont fui la Cisjordanie et la bande de Gaza au cours des ans. A Bethléem, lieu de naissance de Jésus, l’exode des chrétiens a été encore plus important. En 1990, 60% de la population y était chrétienne. Aujourd’hui, selon des estimations, 20%, voire moins, de la population est chrétienne. Seul 1,5% de la population de la Cisjordanie et de la bande de Gaza est chrétienne.

« N’oublions pas que les tribus d’Arabie étaient chrétiennes. Les meilleurs auteurs, les meilleurs poètes étaient chrétiens, tout comme beaucoup de guerriers et de philosophes. C’est eux qui portèrent l’étendard du panarabisme. La première université palestinienne fut établie par des chrétiens.»

Al-Najjar a demandé à ce que l’on dote les tyrans « de comportements progressistes » et de « la vérité », « afin que les religieux et les vieillards ne soient pas les seuls chrétiens qui restent en Terre Sainte et dans la ville de naissance de Jésus. »

Al-Najjar a également fait mention des derniers attentats en Irak contre les chrétiens, dont beaucoup ont été obligés de fuir après une série de meurtres ces derniers mois. On estime que des centaines de milliers de chrétiens ont fui le pays depuis l’intervention militaire menée par les USA en 2003.

Ne serait-ce que cette semaine, deux soeurs chrétiennes ont été abattues à Mossoul dans le nord de l’Irak par des hommes armés identifiés comme étant des extrémistes islamiques.

« Les chrétiens sont persécutés non seulement en Irak, mais dans la plupart des pays arabes, indifféremment de la taille de leur communauté. Ils sont soumis à toutes formes de discrimnations, ainsi qu’aux expulsions », écrit Al-Najjar.

Non seulement les officiels arabes sont-ils silencieux sur le sujet, mais les intellectuels, les élites, les ONG et les dirigeants du secteur privé dans le monde arabe le sont aussi, écrit-il. Il évoque également l’Egypte, le Liban, l’Algérie parmi les pays ayant le même problème anti-chrétien « généralisé ».

L’évaluation que dresse Al-Najjar de la situation est confirmée par le rapport de 2008 sur la liberté religieuse dans le monde du département d’Etat (américain).

En Algérie, le gouvernement montre de moins en moins de respect pour la liberté religieuse, selon les USA. « Il a été fait de nombreuses fois état de restrictions gouvernementales relatives au culte, dont des arrestations et des condamnations de gens qui s’étaient convertis au christianisme, des fermetures administratives d’églises, la révocation d’un directeur d’école chrétien pour avoir censément utilisé l’école à des fins d’évangélisation, et la confiscation de bibles » affirme le rapport.

On note également un déclin du respect pour la tolérance religieuse en Egypte, au milieu d’incidents violents et d’attentats contre des institutions chrétiennes, selon le rapport.

Au Liban, le rapport remarque qu’au cours des 60 dernières années, « il y a eu une baisse constante du nombre de chrétiens comparé à celui des musulmans, principalement du fait de l’émigration d’un grand nombre de chrétiens maronites et d’un taux de natalité supérieur à la moyenne chez les musulmans. »

Envoyé par Roland_002 - le Dimanche 16 Novembre 2008 à 22:38
La crétinerie de l’église face à l’islam n’a pas de limite. Dans le cas présent, il s’agit de l’église de Norvège (l’église luthérienne est religion d’état en Norvège) qui se félicite que des extraits du coran aient été lu pour la première fois pendant un office religieux le vendredi 14 octobre.

Et pas dans n’importe quelle église : la cathédrale Nidaros de Trondheim. Cette cathédrale est la plus importante de tous les édifices religieux nordiques ; construite en 1152, elle a été le centre de la chrétienté pour un diocèse qui incluait même l’Islande ou l’Ile de Man. Depuis 1400, les rois de Norvège furent couronnés à Nidaros. La cathédrale comprend la tombe de Saint Olav (le seul saint norvégien reconnu par le Vatican), c’est à dire le roi Olav Haraldsson, qui importa le christianisme en Scandinavie. Olav accomplit après sa mort en 1030 des miracles qui ont fait de Nidaros un lieu de pèlerinage unique en Scandinavie. L’actuel prince héritier de Norvège a fait le pélérinage à Nidaros avant son mariage; ceci pour vous montrer la place que la cathédrale occupe encore actuellement en Norvège.

Le 14 octobre, journée des Nations-Unies, des élèves des écoles Kolstad et Tonstad de Trondheim (des écoles connues pour leur forte composante multiculturelle) y ont lu des textes de l’ancien, puis du nouveau testament, puis enfin du coran ; des textes dont le contenu parlait de paix et de justice. Les textes du coran ont été lu par Faiza, de Somalie, et Laok, d’Irak.

Les pasteurs protestants Lars Sperre et Bodil Slørdal se sont félicités d’avoir participé à cet évènement historique : « Inclure le message du coran dans notre église montre que notre service religieux se produit dans un esprit de tolérance. Nous vivons dans une société multi-religieuse, et cela doit aussi apparaître au sein de notre église. »

Source (en norvégien) : le journal adressa.no

Ces naïfs multi-cucu espèrent-ils que les musulmans écouteront des enfants chrétiens leur lire la Bible à la mosquée ?
Envoyé par Roland_002 - le Dimanche 16 Novembre 2008 à 22:42
bonjour Roland ! que voulez-vous les chrétiens croient encore au Père Noel !! laissons les croirent , ce n 'est pas ça qui changera la mentalité des arabes ! leur allah est si grand et sans défaut , " tout le monde il est beau tout le monde il est gentil "(Jean Yanne ) c 'est ce que eux pensent
Envoyé par Jacqueline_008 - le Lundi 17 Novembre 2008 à 08:22
L’information ci-dessous rapportée n’est que la simple application du coran : « Le voleur et la voleuse, à tous deux coupez la main, en punition de ce qu’ils se sont acquis, et comme châtiment de la part d’Allah. Allah est Puissant et Sage » (Coran 5:38)

Il faut dire qu’en matière d’amputations, le « beau modèle » de l’islam, le prophète de paix, d’amour et de tolérance™, Mahomet, avait montré la voie. Voici quelques hadiths à titre d’exemple :

« L’apôtre d’Allah a fait couper les mains d’un homme qui avait volé un bouclier dont le prix était d’un dinar ou dix dihrams. » (récit de Abdullah ibn Abbas , Dawud XXXVIII 4374)

« Des gens avaient pris les chameaux du Prophète, les avaient montés et avaient apostasié . Ils ont tué le berger de l’apôtre d’Allah qui était un croyant. Il a envoyé des gens à leur poursuite et ils ont été pris. Il leur a fait couper les mains et les pieds et enlever les yeux. C’est à ce moment que le verset concernant le combat contre Allah et le Prophète a été révélé. » (récit de Abdullah ibn Umar, Dawud XXXVIII 4356)

« Une femme de la tribu de Makhzum avait volé. Elle fut amenée devant l’apôtre d’Allah et elle chercha l’intercession de Umm Salam, l’épouse du Prophète. Alors l’apôtre d’Allah dit :
- Par Allah, même si elle avait été Fatima , je lui aurait fait couper sa main.
Et sa main fut coupée. » (récit de Jaibir, Muslim XVII 4190)

Envoyé par Roland_002 - le Lundi 17 Novembre 2008 à 19:43
Le 29 novembre 1947, le plan de partage de la Palestine (ou plus exactement de ce qui restait de la Palestine, une partie ayant déjà été séparée afin de constituer la Transjordanie) élaboré par l'UNSCOP est approuvé par l'Assemblée Générale de l'ONU, à New York (résolution 181 de l'assemblée générale). Ce plan, destiné à résoudre le conflit entre Juifs et Arabes à propos du mandat britannique sur la Palestine, propose le partage de ce territoire entre deux États, l'un juif, l'autre arabe, avec Jérusalem sous contrôle international. Le refus de ce plan par les pays arabes ainsi que la détérioration des relations entre juifs et arabes en Palestine conduit à la Guerre israélo-arabe de 1948.

Envoyé par Roland_002 - le Lundi 17 Novembre 2008 à 19:48
Les Nations Unies, qui avaient succédé à la Société des Nations, tentèrent de résoudre le conflit entre Juifs et Arabes à propos du devenir du mandat britannique.

En février 1947, le gouvernement britannique de Clement Attlee, ne parvenant plus à maintenir l'ordre en Palestine, décida de remettre son mandat aux Nations Unies.

L'ONU désigna le 13 mai 1947 les membres d'un comité, l'UNSCOP (United Nations Special Committee on Palestine), composé de représentants de 11 États (Australie, Canada, Guatemala, Inde, Iran, Pays-Bas, Pérou, Suède, Tchécoslovaquie, Uruguay, Yougoslavie). Dans un souci de neutralité, aucune des grandes puissances de l'époque ne fut représentée.

L'UNSCOP considéra deux options. La première était la création d'États juif et arabe indépendants, avec la ville de Jérusalem placée sous contrôle international. La seconde consistait en la création d'un seul État fédéral, contenant à la fois un État juif et un État arabe.

À la majorité, l'UNSCOP adopta la première solution, bien que plusieurs membres se fussent prononcés en faveur de la seconde option ; l'Australie quant à elle, ne put se décider entre ces deux propositions. L'Assemblée générale des Nations unies accepta à une large majorité la proposition de l'UNSCOP, mais apporta quelques
Envoyé par Roland_002 - le Lundi 17 Novembre 2008 à 19:49
Selon le Plan de Partage, l'État juif comprenait la plaine côtière, qui s'étend de Haïfa à Rehovot, l'est de la Galilée et le désert du Negev, incluant l'avant-poste de Umm Rashrash au sud (maintenant appelé Eilat).

L'État arabe devait recevoir l'ouest de la Galilée, avec la ville d'Acre, les monts de Cisjordanie, et le sud de la côte, s'étendant du nord de Majdal (maintenant Ashkelon), et comprenant l'actuelle Bande de Gaza, avec une partie du désert le long de la frontière égyptienne. La ville de Jaffa à population majoritairement arabe, au sud de Tel-Aviv, devait initialement faire partie de l'État juif. Elle fut finalement comprise dans l'État arabe avant que le Plan de partage ne soit adopté par l'ONU, formant ainsi une enclave.

Envoyé par Roland_002 - le Lundi 17 Novembre 2008 à 19:51
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 44 minutes