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VidéoUne fillette palestinienne accuse le Hamas d'etre responsableUne fillette palestinienne tenant le Hamas pour responsable de la guerre. Les détails sont clairs.PATV News (Fatah), 29 décembre 2008
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J'aime.
En des termes plus modestes, je dirais la même chose que vous. Je crois que c'est parce que toutes les réponses sont quelque part disponibles que la création prend tout son sens. Si l'homme est partie prenante des questions et participe tel un éléctron à la diffusion de la lumière, la cabessa qui lui sert de pense-bête n'a certainement pas été programmée pour emmagasiner le savoir universel... à son grand dam.
William et Elie, je n’ai pas eu le temps de tout vous lire. J’ai juste pris des bribes et j’ai disserté dessus parce que j’avais ce besoin de parler avec vous mais peut-être est-ce déjà ce que vous pensez ?"
Chalom Men,
Pour moi comme fort probablement pour Elie, le profil schématique de cette discussion n'est qu'une option n'ayant d'autre objet que de définir des ordres de grandeurs approximatifs. Pour ce qui me concerne, tu t'apercevras en me lisant dans le détail que je pousse le bouchon volontairement pour abonder dans le sens que tu développes.
Il y a l'idée de départ et il y a le style d'Elie auquel je ne résiste pas. Il va jusqu'au bout de ses interrogations sans chercher à ménager ses arrières. C'est une qualité que j'apprécie. A te lire, tu n'est pas moins insensible à son charme.
Mais oui, D... n'est pas le gabarit dont nous avons usé et abusé. Mais ton intervention n'en était pas moins opportune. La vraie grandeur de D... n'est jamais assez glorifiée.
Merci pour cet échange, ton analyse était honnête et, tres important dans un débat pour ne pas perdre le fil, sans fioriture
sales qui s’unissent au labeur de l’esprit absolu, et doivent nécessairement
passer par l’attitude religieuse, pour que l’humanité arrive à habiter une
demeure spirituelle où elle se sent pleinement chez elle. Heureusement pour
nous, Modernes contraints à expérimenter la douleur d’une vie brisée, l’état
dichotomique du savoir n’est que temporaire :
« Die Wunden des Geistes heilen, ohne daß Narben bleiben53 »...
53. «Les blessures de l’esprit guérissent sans que cicatrices demeurent». Ph.G., p. 360 ;
http://id.erudit.org/iderudit/004931ar
Envoyé par Men - le Lundi 30 Novembre 2009 à 15:12
Je suis d'accord avec vous Men... et bien placée pour en témoigner...
Néanmoins, je ferais une petite nuance : il y a aussi des juifs qui s'évertuent, tout comme les non-juifs, avec toutes leurs sciences, à tjrs les chercher ( les solutions)...car tous les juifs n'ont pas nécessairement la profondeur que vous avez vis-à-vis de la Torah...
Merci à tous pour ces réflexions que vous partagez si généreusement !
Envoyé par Jean_010 - le Lundi 30 Novembre 2009 à 18:33
Jean,
Oserions-nous nous comparer aux mérites de Moshé Rabbeinou ou du 'Hafets 'Haïm par exemple?
Bien sûr qu’il est évident qu’il y ait des Tsadikim qui entrent au ‘Olam Haba sans difficulté ! La Gmara cite même 7 personnes qui sont mortes sans avoir fauté une seule fois sur terre et la Torah assure que pour un Tsaddik, la mort n’est qu’une simple formalité. Que nous nous ayons peur, c’est normal car notre conduite est éloignée des chemins droits que nous demande de suivre la Torah. Or plus nous en sommes éloignés et plus notre peur de la mort est grande mais nous n’avons pas le droit de contester que certains puissent « mourir » facilement.
Au contraire ! On doit se dire que c’est une chance pour nous qu’il y ait un moyen de mourir en paix. Si tout le monde mourrait facilement qu’il soit méritant ou non, il n’y aurait aucune motivation de corriger nos actions sur terre, avant qu’il ne soit trop tard et il y aurait alors une injustice pour ceux qui sont méritants, de voir les non-méritants mourir la fleur au fusil. La Torah (Pirkei Avot) affirme qu'il n'en est pas ainsi.
D’où vraiment l’obligation de déjà connaître les chemins de la Torah afin de les suivre si on veut mourir en pai