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VidéoUne fillette palestinienne accuse le Hamas d'etre responsableUne fillette palestinienne tenant le Hamas pour responsable de la guerre. Les détails sont clairs.PATV News (Fatah), 29 décembre 2008
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Envoyé par Jean_010 - le Lundi 30 Novembre 2009 à 18:33
Cher Jean,
Pour savoir de quoi on parle, il faut effectivement redéfinir le Bien.
Le Bien/Bon : C’est Hachem ! IL est la source même de tout « Bien/Bon ». Mais comme IL est l’Unité parfaite, le Bien/Bon, c’est Lui, au même titre qu’IL est perfection ou Miséricorde… Tout ceci n’est qu’Une seule et Unique Entité en Lui et non pas comme ce que nous percevons en entités distinctes dans ce monde. Or le mal n’est qu’une absence de Bien et il faut comprendre que le mal n’existe que dans ce monde-ci et encore : Uniquement pour ceux qui ont le libre arbitre ! Pour un crocodile, ce n’est pas mal de manger une gazelle qui se désaltère ! Car il n’a pas de libre arbitre. De ce fait, le mal n’a aucune existence en soi puisqu’il est lié au libre arbitre et que seul le Bien existe. (« Choisis le Bien, afin que tu vives » renvoie à : « Si tu choisis le mal qui n’a pas d’existence, tu n’en auras pas non plus »).
Car c’est bien le retrait de la présence de D. qui a fait que le mal soit apparu dans le monde or il était nécessaire que D. se retire un minimum pour que la matière puisse exister car comment l’aurait-elle pu dans un monde totalement spirituel, à l’Image même de D. qui n’est QUE spirituel ?
Si vous me dites : Mais quand j’ai mal, c’est bien réel si je me brûle ! Il faut croire que non puisque même certains fakirs arrivent à totalement inhiber cette douleur, par leur volonté. Donc tout ce qu’on peut dire, c’est que notre niveau de perception du mal est différent du leur et qu’ils ont pu eux, carrément annihiler cette perception en contrôlant leur système nerveux. Ça c’est au niveau matériel (c’est ce qu’on appelle : l’impureté = la Touma).
Mais au niveau spirituel (la Kedousha = la Sainteté), la notion de mal est donc directement liée à notre niveau de perception de Hachem. Plus nous percevons le mal comme entité réelle, plus nous sommes éloignés de l’Unité et de la toute puissance de Hachem. Ce qui fait dire à un Tana du Talmud : Gam Zou LéTova = Même ça c’est pour le Bien ! Car il avait une telle perception de l’ubiquité, de la présence de Hachem à tout instant et en tous lieux, qu’il lui apparaissait clairement que les choses à priori néfastes, tristes, douloureuses (en un mot : le Mal) n’avaient en fait qu’une seule raison d’être qui était le Bien final qui allait en sortir.
Envoyé par Jean_010 - le Lundi 30 Novembre 2009 à 18:33
La contrepartie dont vous parlez, c’est de suivre les voies de la Torah. Or c’est parce qu’elle vous semble si faible que vous la négligez en réalité mais êtes-vous si sûr de l’avoir estimée à sa juste valeur ?
Sur quoi vous basez-vous pour dire que de suivre la Torah n’est pas si important que ça pour pouvoir mourir en paix en tant que Juif ? Qui vous a dit et certifié cela, tandis que la Torah Elle-même affirme tout le contraire ? Vous dites que ce sont les Rabbanim qui le disent donc ça ne vaut pas ! Or 1) Vu qu’ils sont tous d’accord entre eux depuis des siècles pour dire cela, 2) Vu qu’ils connaissent, eux sur le bout des doigts la Torah pour l’affirmer, 3) Vu que la Torah Elle-même nous le dit et nous dit aussi d’écouter ce que nos Rabbanim ont fixé pour nous 4) Vu que les Rabbanim veulent avant tout le bien de leurs coreligionnaires et non leur perte et qu’ils savent parfaitement que si ils placent la barre trop haut, le peuple ne peut suivre et donc, la loi promulguée sera abolie, or où avez-vous vu à part chez les Chrétiens, que le loi fut abolie ? Ainsi qu’il est dit « On ne reçoit pas d’épreuve plus dure que ce que l’on peut endurer » Conclusion : La Torah est un exercice du niveau de chaque Juif et il a l’obligation de la suivre car ce ‘est pas au-delà de ses forces (Elle n’est pas au – delà des mers…)
Non effectivement, la Sainteté n’a pas de forme, car elle est spirituelle (le suis-je aussi assez ici?)
« ignorer les mitsvots des gentils » Ai-je dit cela ? Bien au contraire, j’ai déjà développé plus haut (je ne sais plus où) que le Ciel ne tenait compte que des efforts de chacun dans le sens d’éradiquer tout mal sur terre, pour le rémunérer et donc, lui éviter le plus possible les affres de mort. Par contre, ce que je dis est qu’il y a une graduation et que celui qui sait suivre totalement la voie de la Torah, n’aura aucun souci à se faire à sa mort. Mais quelqu’un qui ne la connaît pas du tout mais qui croit sincèrement faire le bien, pour peu qu’il le fasse effectivement, il échappera en grande partie aux tourments. Mais il est impossible qu’il n’ait pas fauté durant toute sa vie, donc pour les erreurs commises, il recevra une punition (qui peut même être décrétée de son vivant pour lui éviter pire là-haut. Seuls 7 personnes n’ont jamais fauté…).
Envoyé par William_010 - le Lundi 30 Novembre 2009 à 18:45
Non William ! Au contraire ! L’amour est la plus grande des richesses et celui qui le donne est certainement l’homme le plus riche du monde et il ne lui manque rien quand il aime.
Mais si on aime parce que l’autre nous émeut, ce n’est pas de l’amour ! C’est de l’égoïsme ou de la pitié : On donne parce qu’on se sent mal de voir l’autre souffrir et donc, on donne pour soulager sa propre peine et non par amour.
Mais celui qui aime vraiment donne gratuitement sans rien attendre en retour (j’ai déjà parlé de ça à Sylviane…), si ce n’est que l’autre qui vient alors de s’enrichir de l’amour qu’il a reçu, puisse donner à son tour, ainsi qu’il est dit : Une Mitsvah entraîne une Mitsvah (aimer est une Mitsvah ainsi qu’il est dit : Tu aimeras ton prochain comme toi-même). Celui qui est capable d’aimer, c’est donc celui qui possède mais qui a le pouvoir de donner.
C’est celui qui ne peut aimer qui a un manque et celui-là ne peut que recevoir.