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le jour ou la france s'est qualifiée je rentrais chez moi et j'ai entendu les klaxons. j'ai cru que c'était pour la france mais ils étaient pas encore qualifiés c'était pour l'algérie! les rues étaient envahies et c'était pas à paris ou marseille MAIS A CAEN!
et après certains disent qu'iln'y a pas besoin d'un débat sur l'identité!

pauvre France

ne t'inquiète pas France nous somme la

Trop.drôle.albert.vous.êtes.français.ou.israélien?une.question.si.il.ya.une.guerre.entre.israel.et.la.France.vous.défendrez.quel.pays?je.devine.votre.réponse .alors.please.ne.parler.pas.d'identité.national

REVUE DE PRESSE

“Le scandale du Hezbollah à la Sorbonne“ par Arielle Schwab

Par UEJF - 13 décembre 2009 03:11


http://laregledujeu.org/2009/12/12/589/589/

[Ce papier a été écrit à chaud, par une Présidente de l’UEJF attendant les militants de son organisation devant un commissariat quelques heures après les faits relatés ci-dessous.]

Aujourd’hui, samedi 12 décembre, l’Université Paris 1 – Panthéon – Sorbonne accueillait Ali Fayad député du Hezbollah, et Nadine Rosa Rosso, fervente défenseur du Hamas dans le cadre d’une conférence organisée par le Mouvement des Indigènes de la République sur le thème “Gaza, un an après: les nouveaux risques d’agression dans la région”.

Depuis une semaine, les étudiants Juifs de France sont incrédules et alarmés. La Sorbonne, université millénaire ouvre ses portes et l’un de ses plus vieux amphithéâtres à des députés de mouvements terroristes. On s’interroge: les organisateurs ont-ils eu l’autorisation adéquate? Peut-être faut-il mettre l’administration au fait de ce qui risque de se passer au sein de ses murs?

Jean-Claude Colliard, le Président de l’Université ne semble pas être à Paris, sa Directrice de Cabinet regrette d’avoir laissé faire sans, dit-elle, « réaliser la portée de l’événement et la nature des intervenants ». Mais la Sorbonne n’annulera pas, peu importe l’importance des valeurs qui sont bafouées au passage. Ce qui compte c’est de ne pas faire de bruit, de ne pas donner d’écho à leur faux-pas. Ils tentent de nous rassurer, ils déplacent la conférence de la Sorbonne au Panthéon, envisagent même d’interdire l’entrée aux médias et prétendent qu’il n’y aura que peu de monde…. Rien n’est moins sur.

Quelques heures avant la conférence, nouvelle entretien avec la directrice de cabinet du Président de l’Université. Dernière tentative pour préserver la Sorbonne et faire annuler cette conférence. Il n’en sera rien, elle aura bien lieu, et ce sont les Républicains et étudiants qui finiront par être évacués de la salle.

Une salle qui se remplit progressivement. Il est 15h, elle est déjà pleine. Nous étions filtrés à l’entrée. J’entends derrière moi « j’ai failli ne pas rentrer, ils m’ont pris pour un feuj, je n’ai pas une tête de feuj! » Des libanais demandent si la conférence sera traduite en arabe, des militants juifs antisionistes attendent le début de la conférence.

A l’intérieur, aucun représentant de l’Université, ni même le service de sécurité de la fac pour servir de garde-fou. Les membres des Indigènes de la République sont tendus. Ils prennent le micro, indiquent le processus d’évacuation en cas de débordements mais rassurent la salle: les gens ici sont raisonnables et respectueux de la parole et du débat d’idée.

On présente les intervenants, et c’est le tour des Etudiants Juifs de France de prendre la parole, depuis la salle, pour rappeler la nature du Hezbollah.

Insultés, bousculés, agressés, les militants antifascistes et les étudiants. Le Mouvement des Indigènes de la République, aidé par l’assistance, emploie la violence pour nous faire sortir de la salle.
Plusieurs d’entre nous seront frappés au visage, jetés contre les murs.

La suite de la conférence sera l’attendu plaidoyer pour les actions du Hezbollah dans un amphi de la Sorbonne déserté de ses universitaires et dirigeants, et vidé de ceux qui sont attachés à son héritage.

L’Université a failli aux valeurs républicaines et manqué à son devoir de protéger ses étudiants. Fidèle à son héritage, la Sorbonne aurait dû rester un lieu d’ouverture, de débats voire de contradictions. Elle doit se prémunir de la haine et de ses conséquences dans ses amphithéâtres. Aujourd’hui, elle a failli à sa mission…

Arielle Schwab, Présidente de l’UEJF

le jour que la France profonde ce réveilleras attention au hezbollah sa va vous faire très mal

chalom a vous
ils n ont pas assez de leur mosquee il faut encore qu ils s etalent dans les rues
De tte facon ils faut tjs qu ils grignotent un peu plus chaque jour du terrain, et le gouvernement laisse faire , mais allez faire cela chez eux messieurs du gouvernement et vous verrez si vous aurez l autorisation d encombre leurs rues pour vos prieres. Qu ils respectent un peu le pays qui les accueille et qu ils utilisent leur lieu de priere comme tout le monde. BONNE ANNOUKA SHALOM

C'est absolument inadmissible ce que fais la france, en autorisant, en pleine rue, donc rue appropiée, plus de voitures, plus de magasins accécibles, hotels etc... Mais pourquoi autorisé celà. Ce n'est pas vrai qu'il manque de mosquée, il suffit de se déplacer d'un arrondissement à l'autre. C'est tout simplement le laisse aller des autorité si nous en somme là.On n'a jamais vu çà, c'est une honte : prier dans la rue, comment des gens peuvent-ils en arriver là. Espérons que les autorite prendrons bien vite les décisions nécessaires,car d'autres quartiers ne vont pas tarder à en faire autant. Que D'ieu nous préserve. Gerard David

une mosquée à été profanné hier à Castre !!! ça leurs fait tout bizarre de voir des croix gamés sur les murs , ils
avaient l ' air tout ébêtés les muzzzz !! et oui , c 'est chacun son tour ...
pour ce qui se passe dans cette rue Polonceau , c' est scandaleux , c 'est ça le respect qu 'ils ont pour un pays qui veut les accueillir ? le maire tolère de voir ça !! c 'est Paris made in arabia maintenant

Il y a déjà assez longtemps qu'il est devenu à peu près impossible, dans n'importe quelle Université française (et pas seulement à Villetaneuse ), lors d'une assemblée d'étudiants, de prononcer le mot " Israël " non-assorti d'épithètes infâmantes sans se faire immédiatement agresser, verbalement au minimum, et même physiquement.
Cette situation provient f'une complicité profonde des étudiants, majortairement de gauche avec tout ce qui leur paraît revêtu du sceau sanctifiant et salvateur de l " anticolonialisme " et du tiers-mondisme : à ce titre tout ce qui est " rabe " ou " musulman " est immédiatement considéré a priori comme étant " du bon côté " , Israël ( et, de plus en plus ouvertement, les Juifs ) étant au contraire non moins systématiquement vu comme l'incarnation du Mal. Ces étudiants ne se rendent pas compte, ni, d'ailleurs, ne savent, qu'en faisant de plus en plus des facs des territoires, sinon encore Judenrein, du moins des lieux où le Juif n'est toléré qu'à condition de se faire le plus incolore possible, ils mettent leurs pas dans ceux de leurs prédécesseurs de la fin du XIXè siècle et de la première moitié du XXè, lorsque les Universités étaient dominées par les bandes maurassiennes de " Camelots du roi " . Le même sillon maudit de l'antisémitisme se recreuse aux mêmes lieux, une fois de plus en France. les porte-bannière sont les mêmes ; mais ils ont coloré autrement leurs drapeaux. Derrière la scène, ceux qui guettent le moment où la France tombera