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Helene

Dinovisz va faire un cours à jerusalem d'ici une semaine env, j'irai peut-etre le voir, comme tu l'avais fait.

Pour ce qui est de Elie43, lui meme au debut tentait de calmer les choses et avait proposer son amitie à Bozo, aujourd'hui il t' a repondu comme ca, demain ca lui passera, c' est un impulsif

Bon sur ce mes amis, je vais m' absenter jusqu'à ce soir, laissez moi un message, ma secretaire fera le necessaire

Elie10, bonjour...

Pour Dynovisz, dis-lui bonjour de ma part.
Dis-lui que son message fait son chemin.
Va l'entendre, ça en vaut le déplacement !

Chers amis,
Je vous propose une petite étude sur le texte suivant :
« je n'ai jamais dit qu'il y avait de sots métiers et il y a en Israël des éboueurs ou femmes de ménage .
Mais je maintiens que répondre à quelqu'un qui pourrait faire son alya, qui peut être s'interroge sur le bien fondé de son expatriation ,ce qu'on comprend ,
Qu'elle pourra faire des ménages ;
Que cela est bien digne d’untel. »

Tout de suite, regardons ce que disent les commentaires sur la conjonction de coordination « ET » dans la phrase « …sots métiers ET il y a en Israël des éboueurs… » :
Il est dit : « étonnant ! probablement une ta’out sofer (erreur d’écriture du rédacteur). Car il aurait fallu ne pas éluder cette phrase d’une précision ici nécessaire pour son sens, comme par exemple : « Il n’y a pas de sots métiers et en Israel, il y a POURTANT des éboueurs… » (sous entendu : qui sont des sots métiers). Ou à l’inverse : Il n’y a pas de sots métiers et il y a en Israel, des éboueurs… (vékhoulé=etc) qui font un travail formidable (sous entendu : donc, ce ne sont pas des sots métiers)».
Poursuivons le texte pour en savoir un peu plus :
« Mais »
Explication : Le « mais » vient alors dire le contraire de ce qui a été dit avant, comme dans cet exemple « il a toutes les qualités mais… » D’où on déduit qu’il ne les a pas toutes en réalité.

(étude suite 1)
Donc si la phrase d’avant voulait dire : « sous entendu : qui sont des sots métiers », alors la suite du texte ici voudra à présent faire la louange de ces métiers apparemment sots mais qui ne le sont pas en réalité.
Cependant, si la phrase d’avant voulait dire : « sous entendu : donc, ce ne sont pas des sots métiers », alors nous allons avoir droit à présent, au développement qu’il s’agit bien quelque part de métiers sots.
Poursuivons :
« Je maintiens » = il n’y a aucun doute pour moi, je confirme.
« peut être s'interroge sur le bien fondé de son expatriation» = Il n’y a aucun bien fondé d’aller vivre en Israel
« ce qu’on comprend » = c’est une évidence pour tous, qu’il est stupide de faire son expatriation vers Israel.
«Qu'elle pourra faire des ménages » l’ambigüité du texte est ici enfin levée car on ne peut que comprendre alors :
« répondre à quelqu'un qui pourrait faire son alya, …qu'elle pourra faire des ménages » sous entendu de poursuivre par : « …est une honte, tellement ce type de métier est dégradant aux yeux de tous et cela ne va pas l’encourager à faire son alya ; Déjà qu’elle s’interroge sur le bien fondé d’une telle alya et que tous nous lui confirmons par ailleurs qu’effectivement, une telle démarche est stupide (on comprend qu’elle s’interroge… on s’interrogerait à moins que ça !)»

(étude suite 2 et fin)
Le rédacteur veut clairement exprimer que la proposition de travail n’est pas adaptée car le travail est jugé non enthousiasmant car bien peu honorable (sot en quelque sorte) et qu’il ne va pas contribuer à donner envie à la postulante, d’avancer dans une démarche déjà douteuse pour tous et qui présente des perspectives plus que laborieuses.
« Que cela est bien digne d’untel ». = La considération du rédacteur pour le « untel », vient ici enfoncer le clou ! Car le untel ne présentant qu’un caractère vil aux yeux du rédacteur, ce dernier met dans un même sac le « untel » et le niveau des propositions de celui-ci.
Nous concluons qu’aux yeux du rédacteur, « femme de ménage » est bel et bien un sot métier et qu’elle a sans peine pu le démonter par ces termes choisis sans ambigüité.
Fin de l’étude.

Hilda, toute cette discussion que vous ramenez tourne autour de cette question concernant "la faute des parents" que les enfants portent ou ne portent pas. Tous les rabbins à qui j'en ai parlé vont dans le sens qu'un enfant ne portent pas la faute de ses parents mais qu'il a la lourde responsabilité de briser les chaînes qui le lient à ses parents par son éducation. Certains y parviennent et c'est tant mieux. Un enfant né d'un viol par exemple, ne fait pas de lui un violeur. Son lien à Dieu est UNIQUE et son Libre-Arbitre lui permet de faire un autre choix de vie que celui de son père violeur. C'est simplement cette "thèse"...que je défendais dans ce blog. Mais Jean-Hilda ont déformé mes propos comme ils déforment les propos de tous...tous ceux qui OSENT exprimer une opinion différente de la leur ( comme de faire le choix d'aider Maurice AUTREMENT)

Ensuite ils se sont pris avec Jocelyne sur la question de Vichy...minimisant la collaboration de ceux qui livraient les juifs aux allemands... la situant sur une échelle de valeur moindre que l'action des nazis...Là encore je n'étais pas d'accord. Mais quand on pense différemment de Jean-Hilda, on est bon pour le "peloton d'insultes patentées".... "Bique" est un mot doux à comparer à ceux qu'il a utilisé à mon endroit...

Voilà la triste réalité !
Envoyé par Hélène - le Jeudi 28 Janvier 2010 à 13:31
http://www.juif.org/politique-israel/119595,il-faut-que-ca-brille.php?pg=2#comments

J-H vous menez cette campagne de sallissage sur deux blogs de juif.org

Je vous réponds sur les deux...

Jean-Hilda vos propos sont notés et postés à qui de droit.
Ma réponse également.

Julia, allez-voir la discussion dans son ensemble, je fais référence à des réponses de RABBINS...pour étayer ma position concernant le regret des enfants nazis des comportements IGNOBLES de leurs parents....et la possibilité qu'ils ont de se dégager du lien qui les unit au comportement sadique de leur parent. Je peux d'autant plus en témoigner car j'ai travaillé avec des enfants ayant cet horrible vécu: avoir comme père un homme abuseur, violeur, menteur, abuseur ou meurtrier... LEUR LIEN à D.ieu, à la vie, à la BEAUTÉ leur appartient, ils ne sont pas OBLIGÉS de suivre es traces de leurs parents. Ils peuvent même les blâmer pour leurs actions, se révolter, et se distancier d'eux définitivement...

Voilà les propos qui m'ont été reprochés par "Hilda-Jean"
(Les initiales de Dr J et Mr H ..Quelle coïncidence...)

Envoyé par Hélène - le Jeudi 28 Janvier 2010 à 13:46
http://www.juif.org/politique-israel/119595,il-faut-que-ca-brille.php?pg=2#comments

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