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Antisémitisme : racisme envers les Juifs & IsraëlEtranger : deux types de réactions qui sentent l'antisémitismeL'épilogue de l'Affaire Shalit a entraîné principalement deux types de réactions à l'étranger, qui correspondent chacun à la manifestation inconsciente d'un antisémitisme larvé. La première provient principalement des dirigeants occidentaux, si critiques en général envers Israël, et qui soudain, ne tarissent pas d'éloges envers le Premier ministre israélien et sur « l'attitude noble et digne du peuple israélien et de la famille Shalit ». La raison en est simple et elle se vérifie à chaque fois avec la précision d'une montre suisse : on aime Israël et les juifs lorsqu'ils cèdent, lorsqu'ils plient le genou et jouent le rôle de la victime digne. C'est ce que Guy Konopnicky résumait ainsi...
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C'est pourquoi il était très important que Guilad réapparaisse en uniforme.
" le « New York Times » de mercredi titre : « Netanyahou dit oui au Hamas mais non à l’AP » ! Et au lieu de donner un peu de crédit à la décision de Premier ministre israélien, l’éditorialiste y voit une « preuve que Netanyahou ne veut pas de la paix et refuse un compromis avec Abou Mazen alors qu’il en a fait un avec le Hamas ». « Si Netanyahou est capable d’affronter les familles endeuillées et de tourner le dos à ses principes idéologiques concernant le terrorisme, il devrait l’être aussi dans le domaine du processus de paix », poursuit l’article. Le « New York Times » se dit « très inquiet que l’épilogue de l’Affaire Shalit ne porte un coup fatal au processus de paix, car Netanyahou, pour récupérer ses électeurs de droite déçus par sa souplesse face au Hamas, va être plus dur encore envers Abou Mazen ». L’article conclut « que Netanyahou a cherché des avantages politiques en signant l’accord avec le Hamas ».
Même son de cloche en Espagne, avec « El Païs » qui ne ménage pas ses critiques sur Israël : « Alors que l’AP d’Abou Mazen n’a pas réussi à obtenir l’arrêt de la construction juive dans les ‘territoires occupés’, le Hamas a lui obtenu de Netanyahou un accord extrêmement avantageux pour lui ». Et poursuit avec un raisonnement qui ne vaut pas un peso: « La modération de l’AP (sic) n’a pas fait bouger le gouvernement israélien, mais la force a obligé les Israéliens à céder : 1000 prisonniers contre un seul soldat ».
Dans je ne sais plus quel fil de discussion
j'essayais tout à l'heure d'attirer l'attention sur l'article du " NYT " et sa signification politique : à mon sens, ce qui inquiète diablement tous ceux qui, de Washington à Madrid, en passant par Londres et Paris, ont ponté sur le tueur de Ma'alot et sa bande, c'est que ce qui vient de se passer ne profite politiquement au 'Hamas ( il n'y a, en effet, qu'à voir des images de la " rue arabe " ) au détriment de l'AP. Celle-ci s'essouffle dans une peu glorieuse pantalonnade à l'ONU, dont elle ne tirera même pas un succès d'estime, tandis que le 'Hamas s'apprête à engranger les dividendes politiques qui vont résulter de la libération d'un millier de tueurs arabes.
Il y a donc risque d'une marginalisation complète de l'AP ainsi que de ce dont elle est porteuse : la ( pseudo - ) " solutions à deux Etats " . Car il y a fort peu de chances de voir le 'Hamas se rallier, en plein triomphe, à cette combinazzione politique enfantée par les funestes accords d'Oslo. Le 'Hamas ne veut pas d'un [ deuxième, puisqu'existe déjà la Jordanie ] Etat palestinien arabe aux côtés de l'Etat palestinien juif ( Israël ) : il veut un Etat arabe " du fleuve à la mer " , c'est-à-dire la liquidation totale d'Israël.
Or, c'est le 'Hamas qui risque bien d'émerger désormais, après la libération des 1027 tueurs arabes, comme la force dominante du mouvement " palestinien " ( sic ).
Si tel est bien le cas ( il faudra voir, car - et l'article du " NYT " l'indique clairement - les partisans
occidentaux de l'AP vont lancer toutes leurs forces pour " sauver le soldat Abbas " ), la " solution à deux Etats " ne sera plus portée par personne du côté arabo-palestinien, Abbas ayant achevé de perdre le peu de représentativité qu'il pouvait encore posséder. Cette fameuse " solution " ayant été en quelque sorte imposée à Israël, étranglé par les funestes accords d'Oslo, ne trouvera dès lors plus guère d'appuis ni d'avocats dans la région.
Ce serait donc quelque chose comme la mort des accords d'Oslo ( s'il ne se trouve plus, pour en porter le point essentiel - la création d'un deuxième Etat palestinien arabe en Judée-Samarie et à Jérusalem-Est - de forces crédibles ou fiables sur place ).
Or, existe-t-il, du côté des Occidentaux, une solution de rechange à Oslo ? - On peut peut-être s'attendre à tout de leur part, mais on ne voit guère pointer une telle solution. Il n'y a, du moins pour le moment, nul " plan B " en vue.
Le " New York Times " , c'est le haut establishment intellectuel et politique de la gauche démocrate, les milliardaires " liberal " voire " radical " de la Nouvelle-Angleterre, les Juifs de gauche de " J-Street " e tutti quanti. Un édito comme celui dont on trouve des extraits ci-dessus peut donc être tout à fait considéré comme, non pas un article marginal émanant de quelque hurluberlu, mais comme parfaitement représentatif. Il transpire la colère contre Benyamin Netanyahu. Ce qui se conçoit si l'on songe que c'est la deuxième fois en moins
de six mois que Benyamin Netanyahu déjoue brillamment le piège où l'on croyait, à la Maison Blanche, pouvoir l'enfermer ( la fois précédente étant, on s'en souvient, en mai - je crois - , lorsque Baraq 'Hussein Obama avait vu Bibi retoquer, en sa présence et devant la presse internationale, sa tentative de lui faire avaler les prétendues " frontières de 1967 " , avant d'aller recevoir, du Congrès américain, un triomphe d'imperator romain ... ).
Je vois, ce matin, que " Ha-aretz " est sur la même ligne que le " New York Times " . Selon " Ha-aretz " , l'échange de Guilad contre un millier de tueurs arabes a permis au 'Hamas de relever la tête en Judée-Samarie " et cela avec l'aide d'Israël. Car l'échange de prisonniers lui offre une planche de salut " ... " ... Israël a réussi ... à affaiblir le camp palestinien de la paix " .
Ce que " Ha-aretz " qualifie de " camp palestinien de la paix ", c'est bien évidemment le tueur de Ma'alot et sa clique de corrompus de Ramallah.
Il y a donc bien levée de boucliers généralisée, contre Benyamin Netanyahu, des partisans de la prétendue " solution à deux Etats " . Selon eux, Bibi met en danger cette politique en affaiblissant ceux qui, dans le camp arabo-palestinien, s'en sont faits les porteurs. Perso, je partage modestement cette analyse et - faut-il le préciser ? - je m'en félicite. Car il y a des mois que j'espère ce que j'appelle en m'amusant le " Schritt zurück aus " , le " pas en arrière pour sortir " des funestes accords d'Oslo. Nous y sommes peut-être, beezrat HM.
Qu'est-ce qu'il aurait fallu dire pour ne pas passer pour un antisémite alors ?!
Je n'avais pas, ci-dessus, commenté l'édito d' " El Pais " . Mais il est de la même veine que ceux du " New York Times " et de " Ha-aretz " : la rancoeur et la rage contre Benyamin Netanyahu, accusé de torpiller l'AP. " El Pais " , c'est, en Espagne, un peu l'équivalent du quotidien antisémite français " Le Monde " ( avec lequel il a d'ailleurs - ainsi qu'avec le " New York Times " - des accords éditoriaux, pour, si je ne me trompe, l'édition d'un supplément hebdomadaire commun ) : la haute bien-pensance des élites internationales acquises - pour des raisons et selon des modes divers - à l' " apeasement " vis-à-vis de l'islamisme.
Je disais juste que l'article se plaint des réactions positives des médias occidentaux. Je me demande alors ce qu'il aurait fallu dire pour plaire à l'auteur de l'article.